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mardi 31 janvier 2012

THRIVE : Un documentaire étonnant à découvrir

Voici le lien vers le documentaire Thrive que je trouve très bien construit. A chacun de se faire son idée à ce sujet et de creuser ce qui lui semble intéressant.




Le film est accessible directement en VOSTF  et en intégralité Ici.

LE CRASH DU BOEING 747 D'EL AL EN 1992 : Retour sur un petit mensonge entre Amis

Nous sommes le 4 octobre 1992, le Boeing 747 Cargo de la compagnie israélienne EL AL en provenance de New York se pose à l'aéroport de Schipol à Amsterdam. Officiellement le 747 transporte 114 tonnes de Parfum, d'électroménager et de produits divers.



Trois heures plus tard, l'avion israélien redécolle. Quelques minutes à peine après le décollage, l'équipage signale une panne électrique puis un incendie sur l'un des moteurs. Après une dizaine de minutes, c'est au tour d'un autre moteur de prendre feu, puis les deux moteurs en feu sont littéralement arraché des ailes suite à la rupture de leurs attaches. L'aile droite prends alors feu en raison du kérosène qui se répands.

L'avion tente alors de faire demi tour afin de venir se poser en catastrophe, mais il continue à perdre de l'altitude de manière très dangereuse. Le pilote décide alors d'actionner le Vide vite pour lâcher du carburant et alléger très rapidement l'appareil. Hélas sa manoeuvre ne fera qu'amplifier l'incendie de l'aile de l'appareil.

L'avion continue à chuter et finit sa course folle contre la façade d'un immeuble de  étages le coupant en deux littéralement. On estima alors le nombre de victimes à 50.





Le rapport de l'avion civile au terme de l'enquête qui fût menée, conclut à un accident provoqué la rupture des fixations moteurs.
L'histoire aurait sans doute pu s'arrêter là. Mais plusieurs jours voir plusieurs semaines après le crash, plusieurs riverains du site du crash ainsi que des pompiers et des forces de polices ont développé différentes pathologies allant de simples gênes respiratoires à des cancers très graves, des troubles nerveux.
Tous ces braves gens affirmèrent alors haut et fort que leurs problèmes de santé étaient liés à cette catastrophe.

Pourtant il aura fallu 6 ans pour que les autorités hollandaise sous la pression finissent par ouvrir une enquête parlementaire afin d'éclaircir le mystère de la cargaison de ce 747 israélien et ne fasse pression sur le gouvernement de Tel Aviv pour que la vérité éclate.

Ce même gouvernement israéliens qui par le biais de son premier ministre de l'époque Mr Rabin s'était dit très affecté par cette catastrophe et avait offert plusieurs tonnes de jouets aux enfants de ce quartier défavorisé appelé Ghana Town.

C'est donc à partir de 1998 que l'on commença à s'intéresser fortement à ceux que pouvait bien contenir les soutes du Cargo. Les documents relatifs au fret étaient non seulement incomplets, mais on découvrira même plus tard qu'ils ont été falsifiés peu de temps après le crash.
La cargaison contenait 6.6 tonnes de produits dit dangereux (cosmétiques, colle, peintures et diluants) et 104.7 tonnes de produits non dangereux (matériel militaire, électronique).
Cependant entre le poids réels des matériaux dit non dangereux et la déclaration détaillé il manque 20 tonnes.
De ce fait lorsque la commission parlementaire hollandaise demanda des explications aux israéliens, ces derniers leur opposèrent un fin de non recevoir prétextant que ces précisions ne pouvait être donné sans porté gravement préjudice à la sûreté de l'Etat israélien.
Autre fait troublant. Bien que la boite noir contenant les enregistreur de vol fut rapidement retrouvé, celle contenant les enregistrement des conversations elle, ne fût jamais retrouvée et ce malgré une prime substantielle offerte par les autorités. De la même façon lors de l'enquête, on découvrit qu'il manquait 32 cassettes vidéos retraçant les opérations de sauvetages. Elles ont tout simplement disparues des archives de la police. Des enregistrements audio ainsi que des témoignages ont été également effacés.

Pourquoi tant de mystère autour d'une cargaison composé initialement de produits cosmétiques et d'électroménager selon les autorités israéliennes?

C'est en 1998 par l'intermédiaire du journal NRC Handelsblad que des éléments de réponse apparurent. Le quotidien révèle alors que l'avion transportait en réalité des produits chimiques servant à la fabrication du gaz Sarrin. toujours selon le quotidien, ces produits chimiques provenaient de l'usine SOLKATRONIC CHEMICAL située à MORISVILLE aux U.S.A et devaient être livré à l'ISRAEL INSTITUTE FOR BIOLOGICAL RESEARCH de NES TZIONA près de Tel AVIV.

Le journal indique que le ministre des Transports hollandais de l'époque avait cette information en sa possession depuis 2 ans et que les parlementaires de la commission d'enquête bien qu'ayant les preuves de la présence de produits chimiques à bord du Cargo d'EL AL n'avaient pas chercher à en savoir plus.

Les révélations du quotidien eurent pour effet de booster l'efficacité de la commission parlementaire qui se remit au travail , ainsi que l'ouverture d'une enquête judiciaire. On cherche dès lors à savoir la nature des produits transporté par le vol 1862 d'El Al et les mobiles de ceux qui ont caché la vérité.
Étrangement le chef de la sécurité aérienne de l'aéroport retrouva une cassette audio contenant l'enregistrement de conversations téléphoniques entre le centre de contrôle aérien et un responsable d'El Al.
Dans cet enregistrement, on entends le responsable d'El Al expliquer après l'accident que le Cargo contient des explosifs, des munitions à l'uranium appauvris, du poison, des produits inflammables ainsi que du gaz. Ce dernier précise que ces informations ne doivent pas être communiquées et son interlocuteur de lui répondre  : "Ils n'en sauront rien!"
Devant la commission parlementaire, le chef du contrôle aérien a affirmé que depuis 1973 la consigne était de garder le secret au sujet de tout ce qui concernait la compagnie EL AL notamment la nature de ses cargaison.

Alors que les autorités médicales hollandaise réclamait la levé de ce secret afin de trouvé un traitement pour les patients contaminés, les autorités hollandaises elle ont longtemps douté du bien fondé d'un quelconque rapport entre l'accident et les pathologies de ces malades.
Pourtant les témoignages de ces gens sont explicites. Ainsi l'agent de quartier P. VEEN, qui fût l'un des premiers sur les lieu de la catastrophe, déclara : "J'avais l'impression que mon sang bouillait à l'intérieur de mes veines.". Or d'après une expertise médicale, il souffre d'une affection bactériologique semblable à celle qui frappe les soldats US revenu de la première guerre du Golf.

Peu de temps après, le journal TELEGRAAF mis en évidence le lien entre le BVD et le MOSSAD dans la falsification des feuilles de vol juste après le Crash. Ce même quotidien  a également mis en avant que le statut de la compagnie EL AL dans les aéroports internationaux, lui permettait de ne pas avoir à déclarer le contenu de ses avions cargo, y compris s'agissant de matière dangereuse comme le nucléaire ou les produits chimiques. Le quotidien a également mis en avant le lien entre la compagnie civile EL AL et l'armée israélienne ainsi que le fait qu'à cette époque personne n'était en mesure de dire combien d'avions possédaient la compagnie de transport.

D'autre fait troublant apparaissent au grand jour après l'enquête. Selon des rapports établis par les pompiers intervenus sur les lieux du Crash, plusieurs hommes en combinaisons blanches auraient été aperçus travaillant sur les débris de l'appareil. Lors de l'enquête les pompiers n'ont jamais été entendu à ce sujet.

En outre, le matin suivant le crash, de nombreux avions appartenant à UPS ont été affrétés par EL AL à la demande des officiels israéliens et ont décollé pour Tel Aviv. L'information fut confirmé un peu plus tard par Mr  Shapiro de la société UPS.

On se rends bien compte dans cette affaire, que le secret d'Etat l'emporte souvent sur les intérêts des citoyens. Mais cette affaire mais aussi en avant la connivence entre les Pays Bas et l'Etat Israélien.
Libre à vous de vous renseignez ensuite sur le pourquoi d'une telle connivence.

En marge de ce sujet, je tiens à porter à votre attention le fait que ce crash a été le sujet d'une autre polémique sans rapport avec ce qui est décris ici. En effet, après les attentats du 11/09, on se souvient tous des prises de positions de Thierry Meyssan alors membre du réseau Voltaire sur une opération False Flag menée par les services secrets US pour justifier l'intervention américaine au Moyen Orient.
Vous vous souvenez sans doute également qu'en Europe cette théorie n'avait pour le moins pas été accueillie favorablement loin s'en faut. Mais quel rapport entre Thierry Meyssans et le 11/09 d'un coté et l'affaire du crash d'EL AL de l'autre?
Et bien pour beaucoup d'opposants à la théorie de Mr Meyssan, les photos du crash d'Amsterdam démontre qu'un avion peut se crashé dans un bâtiment sans que de traces visible du fuselage ne soit apparentes. Ce qui leur a permis de mettre en doute la version de Mr Meyssan sur le crash du Pentagone.
Cependant quand on voit ici tout le mystère qui entoure ce vol et l'ensemble des dissimulations et falsifications menées par le Mossad dans cette affaire, on peut douter du bien fondée de cet exemple pour discréditer les thèse de Mr Meyssan.

Pour finir au delà du mystère qui entoure cette affaire, cette dernière mets sur la tapis une question pertinente.
Est il pertinent d'installer des contrepoids en Uranium appauvri dans les avions compte tenu des risques liées à l'aviation civile? Sujet dont se sont bien gardé de parlé les autorités française à la suite du crash du Concorde.
Pourtant les deux sociétés françaises qui usinent des pièces à l'uranium appauvri à savoir la SICN et la CERCA attestent bien qu'elles sont fournisseurs de pièces pour l'aéronautique et la CERCA présente même officiellement AIR FRANCE comme l'un de ses clients.

SOURCES :

http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/

http://www.obsarm.org/publications/cahiers-obsnuc/cahier-en-ligne/cahier5.pdf
http://www.liberation.fr/monde/0101273643-intox-sur-le-boeing-toxique-d-el-al-l-avion-israelien-qui-s-est-ecrase-en-1992-sur-amsterdam-transportait-gaz-et-explosifs
http://www.planetenonviolence.org/Le-Crash-de-Bijlmer-Hollande-Dissimulation-D-un-Enfer-Chimique-Responsables-les-Sionistes_a921.html
http://www.telegraaf.nl/
http://www.francenuc.org/fr_sites/rhone_ann_f.htm

samedi 14 janvier 2012

2007 - 2012 : Le Bilan des Années SARKOZY

Puisque nous sommes à moins de 100 jours des élections présidentielles, c'est le moment de faire un bilan de 5 longues années de SARKOzisme.

Pour rappel, voici le programme du candidat SARKOZY en 2007 : http://www.elections-president.fr/programme/promesses-sarkozy/

Intéressons nous à présent au bilan de SAS Nicolas 1er, le chanvre de l'ultra libéralisme à la française.

Dernier fait en date, la perte du AAA de la France. En soit rien de catastrophique si ce n'est que cette note détermine le taux d'emprunt de l'Etat Français sur les marché financier (Et oui pour ceux qui ne le savent pas encore depuis 1973, l'Etat ne se finance plus via sa banque centrale mais sur les marchés financiers).
Les merdias nous indiquent qu'il ne faut pas s'affoler que ce n'est pas si grave (Tchernobyl non plus n'était pas si grave), que de toute façon les marchés ont déjà intégré et digéré cet état de fait puisque depuis le 5/12/2011 on nous annonce cette dégradation.
Rappelons quand même qu'avec 1.700 milliards d'euro de dettes et quelques centaines de milliards d'euros à emprunter, les intérêts des emprunts français vont s'envoler, ce qui ne manquera certainement pas de peser sur le portefeuille des ménages et des entreprises (enfin celles qui travaillent encore pour le pays à savoir les PME).
En revanche, les requins de la finance se frottent les mains car eux vont s'en mettre plein les fouilles.

Puisqu'il est question de Dette, voyons l'évolution de la dette de notre beau pays de 2007 à 2011 :

  • 2007 : 1211.6 milliards d'euros soit 64.2% du PIB
  • 2008 : 1318.6 milliards d'euros soit 68.2% du PIB
  • 2009 : 1492.7 milliard d'euros soit 79% du PIB
  • 2010 : 1591.2 milliards d'euros soit 82.3% du PIB
  • fin mars 2011 : 1646.1 milliards d'euros soit 84.5% du PIB
Déficit Public français en 2011 : 98.5 milliards d'euros.

Ce qui ne manquera évidement pas de poser  des problèmes de financement et une augmentation de la charges de la dette pour les acteurs économique. Ce qui ne manquera pas non plus d'augmenter le prix des importations, l'augmentation du coût des crédits pour les ménages et les entreprises, d'où une baisse prévisible de la consommation, une augmentation de l'inflation, une baisse du pouvoir d'achat, sans parler de l'impact sur l'emploi. Bref autant dire de suite que si la vie vous parait difficile pour le moment, ce n'est rien à coté de ce qui vous attends.

Notons que d'après une étude de la cour des comptes, 62% des problèmes financiers (soit 4.2% du PIB) sont dues au pouvoir en place, et le reste en raison de la crise.

Mais au delà de l'actualité économique, le sarkozysme c'est aussi :

  • l'affaire Karachi
  • l'affaire Takiedine
  • l'affaire GDF
  • l'affaire Tapie
  • l'affaire Clearstream
  • l'affaire Bettencourt
  • les affaires Wildenstein
  • l'affaire César
  • l'affaire Pleyel
  • l'affaire de l'hippodrome de Compiègne
  • l'affaire Abdallah Senoussi
  • l'affaire Djourhi
  • l'affaire du financement de la campagne de 2007 par Omar BONGO 
  • l'affaire du Fetia Api
  • Les inombrables dérapages de Mr Sarkozy dans ses discours comme à Metz, Nice, Caen etc...
  • l'invitation des dictateurs pour le 14 juillet, celle de Kadhafi, puis son assasinat, celle de Bachir El Assad en décembre 2010, puis sa dibolisation un an plus tard.
  • les silences sur le Tibet, le Darfour, le Prix Nobel de la Paix, les JO de Pékin.
  • Les voyages officiels des fils de Sarkozy à l'étranger à la charge de l'Etat
  • la gestion catastrophique de la crise Georgienne, celle encore plus catastrophique de la crise financière, l'application de la politique européenne.
  • l'affaire Pérol
  • l'affaire Yannick Blanc
  • la gestion de la crise du H1N1 (Merci Roselyne)
  • l'utilisation des service du renseignement pour les affaires privées
  • les légions d'honneurs décernés aux amis du SARKOppresseur
  • l'Air Sarko One (250 millions d'euros) et autres frasques digne du roi soleil
  • l'affaire des rémunérations illégales de Sarkozy entre septembre et décembre 2007
  • la circulaire Hortefeux
  • la nomination à la tête des medias d'amis du pouvoir
  • la réforme constitutionnelle
  • le cumul des mandats, la non séparation de l'exécutif et du législatif, le retour sans éléction des députés virés du pouvoir
  • les classement sans suite de nombreuses affaires par les parquets
  • le site France.fr qui ne sert à rien
  • la Scientologie
  • l'affaire Servier dont le président à été l'avocat
  • le scandale MAM
  • les vacances de Fillon payées par Moubarak
Et on ne parle pas non plus des nombreux conflits d'intérêts entre le Président Sarkozy et ses frères comme dans le cadre de la réforme des retraites qui bénéficie avant tout à Guillaume Sarkozy, PdG du groupe Malakof Mederic.

La liste n'est pas exhaustive car on pourrait aussi parlé des nominations de dignitaires de l'état en pour service rendu à sa majesté Nicolas, des failles de la justice de plus en plus sélective dans ses condamnations, des affaires de pédophilies qui n'aboutiront jamais etc....

Il nous reste donc 99 jours pour préparer notre révolution et non seulement choisir le candidat du changement mais aussi et surtout nous doté de moyens pour le forcer à tenir ses réformes après son élection.

Je le répète car c'est inscrit dans notre constitution, le pouvoir est donné par le peuple, pour le peuple.
Il est donc temps que le Peuple se décide de reprendre ce qui lui appartient. Il ne s'agit pas ici de changer radicalement du jour au lendemain notre société, car le changement ne pourra se faire sans une phase de transition.

Quand  on parle de rendre le pouvoir au Peuple, il ne s'agit pas de verser dans un communisme ou un pseudo socialisme primaire, il ne s'agit pas non plus de verser à nouveau dans la lutte des classes.

Non il s'agit bien ici de remettre l'Humain au coeur des préoccupations de la vie de la cité, de favoriser la créations de richesse par l'Humain plutôt que la spéculation financière et de rappeler à chacun dans ce pays sans distinction de fonction, de sexe, d'âge ou d'origine ethnique que si vivre en société octroie des droits, cela implique aussi des obligations auxquelles nul ne peut se soustraire sous peine de se voir mis au banc de cette société.

Les solutions existent déjà, comme ici, et d'autres encore existe et dans tout les domaines, alors il ne tient qu'à nous de cesser de se laisser bercer d'illusions, de se laisser diriger par la peur, l'ignorance et la douceur d'une vie oisive favorisé par une certaines forme d'assistanat (je ne parle pas ici des aides sociales, mais du fait de laisser aux autres le pouvoir de prendre des décisions pour éviter d'avoir à en assumer les conséquences).

NOUS SOMMES A LA CROISÉE DES CHEMINS, ALORS UNISSONS NOUS ET CONSTRUISONS TOUS ENSEMBLE NOTRE AVENIR MAINTENANT ET PAR NOUS MÊME.

NE LAISSONS PAS DES GENS AVIDES ET CUPIDES DÉCIDER A NOTRE PLACE DE CE QUI EST BON OU PAS POUR NOUS!

RÉVEILLONS NOUS? BRISONS NOS CHAÎNES ET COMPORTONS NOUS EN HUMAINS!

mercredi 11 janvier 2012

CES LIEUX OU LA RADIOACTIVITE NATURELLE DEFIE LES LOIS DE LA NATURE

Il existe sur Terre des endroits où la radioactivité "naturelle" dépasse de loin les normes. Ce phénomène ne trouve aucunes explications scientifiques, voir même ne semble pas intéressé grand monde. D'ailleurs pour certains lieux ils sont quasi désertique alors qui s'en souciera, pourtant il se pourrait que comprendre l'origine de ce phénomène nous permette de mieux comprendre le passé de l'Humanité.

Depuis toujours l'Homme est soumis aux rayonnements solaires et cosmiques ainsi qu'aux rayonnements des éléments radio actifs présents dans notre environnement comme le quartz ou l'uranium.
Depuis les années 50 il faut en plus ajouter le rayonnement provoqué par le nucléaire civils, les essais nucléaires, les explosions nucléaires et les accident nucléaires (civils ou militaires).

Certains de ces rayonnements sont appelés ionisants ou radio actifs. C'est à dire que ce rayonnements modifie les charges d'un atome ou d'une molécule qui n'est donc plus neutre et deviens un ion. Ces rayonnements peuvent altérer la matière.

Quand des éléments radioactifs se désintègrent, ils émettent des rayonnements de 3 types. Alpha Beta et Gamma.
Alpha et Beta sont des particules et sont arrêtés assez facilement, alors que Gamma est une onde éléctromagnétique qui est très difficile à arrêter.

Tous les radio éléments n'ont pas la même durée de vie et ne sont pas éliminés naturellement à la même vitesse et peuvent s'accumuler dans l'organisme.
Tous les organismes vivants sont capables de s'adapter aux risques radio actifs et sont capable de corriger jusqu'à un certains point les dégâts liés à une irradiation.

On mesure l'activité d'un radio nucléide, en calculant le nombre de désintégrations par seconde, le résultats est exprimé en Becquerel (Bq).
On mesure la dose reçue par un corps exposé à un rayonnement en calculant la quantité d'énergie absorbée par le corps, le résultat est exprimé en Gray (Gy). Un Gray correspond à une énergie de 1 joule par kg de matière irradié.
Enfin on mesure l'effet biologique d'une irradiation, il s'exprime en Sievert (Sv). La valeur de la dose étant généralement très petite on exprime souvent cette mesure en Milli Severt.

En France par exemple, la dose annuelle est de 2.5mS/an en moyenne, toute sources confondues.

Concernant le nucléaire militaire, il faut savoir que les effets des deux premières bombes A de l'histoire sont aujourd'hui quasi nuls, en tous cas inférieurs à la radio activité naturelle même au niveau de l'épicentre. Cela est du à l'utilisation de matériel fissible léger. L'armement nucléaire actuel lui utilise du matériel lourd dont les effets  se feraient sentir pendants des millénaires.

Venons en maintenant à ces curieux endroits ou les mesures de radioactivités défie toute logique.

Commençons avec le Désert de Gobi.

LE DESERT DE GOBI





Des experts en Radio Nucléides y ont effectués des relevés et ont notés des mesures de l'ordre de 82mS/an, soit un taux 50 fois supérieur à la normale.

D'aucun diront que ces mesures sont dues soit au 600 essais nucléaires Russes et Soviétiques de Semipalatinsk au Kazakstan, soit aux 50 essais nucléaires chinois dans le Lopnor.
Or en réalité un site d'essais nucléaires affecte surtout la zone où ont lieu les explosions et les nucléotides dispersé dans l'air suivent les vents dominants, mais pas deux vents venants de 2 directions opposés.
D'autant que dans l'ex URSS la plupart des essais ont été réalisé sous terre pour éviter l'espionnage US.
Il semble donc très peu probable que le nucléaire militaire puisse à lui seul expliqué ces relevés. D'autant que la totalité du ressenti nucléaire du aux militaires est de 0.04 mS/an donc pour parvenir à un tel degré de contamination il faudrait faire exploser une bombe 2.000 fois plus puissante que la totalité des essais nucléaire réalisé sur l'ensemble de la planète en 1 an. Fort heureusement pour nous nous n'avons pas encore une telle puissance.

LE KERALA 







L'état du Kerala sur la cote sud-ouest de l'Inde est aussi une région étrange en matière de radioactivité naturelle, puisque les relevés indique 30mS/ an.
Tout comme pour le désert de Gobi, il faudrait une explosion de 700 fois la puissance de la totalité des essais militaires de la planète en 1 an.
On peut donc naturellement se demander ce qui a pu se passer dans cette région de l'Inde?

C'est dans les livres anciens que se trouve peut être l'explication. Il faut alors aller regarder du coté du Ramayana.
Ce livre sanscrit nous raconte le parcours de Rama et on peut y lire que Rama voulant délivrer Sita, enlevé au Sri Lanka par Ravana, livra une grande bataille qui dura 2 jours entiers.
Rama sentant peu à peu ses forces le quitter se mit à prier Surya le Dieu Soleil. Après avoir regardé l'Astre Lumière, il sentit ses forces lui revenir et grâce à l'arme de Brahma, celle qui ne doit être utilisé qu'en ultime recours, il tua Ravana.

Tout le details de ce récit ici

LA VALLEE DU JOURDAIN 


En Israel, il est très difficile d'avoir des mesures exactes de la radioactivité. Et on comprends aisément pourquoi. Le pays affirmant ne pas détenir d'arme Nucléaire alors que tout le monde sait que ce pays est sans doute dans les 10 premières puissances nucléaires mondiales.

Quoiqu'il en soit, tout ce qu'on sait c'est que des relevés effectués dans le sud du pays indique des mesures  de l'ordre de 12.5mS/ an.
Afin de laisser planer le doute et ne pas avoir à se justifier sur son arsenal militaire, Israel affirme que ces mesures sont dues à des fuites à la centrales Thermonucléaire de Dimona dans le désert du Néguev.
Cependant pour que de simple fuite puisse expliquer ces relevés il faudrait que la fuite soit 250 fois plus importante qu'à Tchernobyl.

Sodome et Gomorrhe. De nombreux expertisent scientifiques affirment qu'une explosion de typez Thermonucléaire pourrait produire les effets décrits dans la Bible à propos de ces deux villes.


Que pouvons nous pensez de tous cela?

En l'absence d'explication convaincante, il semble que les livres anciens nous fournissent eux une cause possible à ces mesures pour le moins Hors normes.
Néanmoins cela implique que si de telles explosions ont eu lieu il y a de cela des millénaires, avant même la naissance du Christ, des civilisations hautement avancés ont existé bien avant la notre et que leur technologie équivalait à la notre voir la surpassé.

Cela voudrait également dire que notre vision du passé est totalement fausse et que les récits de civilisations comme les Atlantes, Mû ou d'autres ne sont pas si fantaisiste qu'il y parait.

Cela voudrait dire aussi que les Livres anciens ne sont peut être pas à interpréter comme nous le faisons mais comme la transcription de faits lointains relatés par les hommes de l'époque avec le vocabulaire à leur disposition pour relater des faits relevant pour eux de la magie et des Dieux au vu de leur connaissance bien inférieure à cette époque.

Personnellement j'aurais surtout tendance à y voir le fait que si cette hypothèse était juste, ceux là même qui nous prive aujourd'hui de cette connaissance nous amène à réitérer les erreurs du passé plutôt qu'à les éviter et à grandir. Ce faisant ils nous enferme dans un cycle nouveau.

mardi 10 janvier 2012

LE PEUPLE JUIF UNE INVENTION ? : L'Histoire d'un peuple selon Shlomo Sand

Les Juifs forment-ils un peuple ? A cette question ancienne, un historien israélien apporte une réponse nouvelle. Contrairement à l’idée reçue, la diaspora ne naquit pas de l’expulsion des Hébreux de Palestine, mais de conversions successives en Afrique du Nord, en Europe du Sud et au Proche-Orient. Voilà qui ébranle un des fondements de la pensée sioniste, celui qui voudrait que les Juifs soient les descendants du royaume de David et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars.


Tout Israélien sait, sans l’ombre d’un doute, que le peuple juif existe depuis qu’il a reçu la Torah (1) dans le Sinaï, et qu’il en est le descendant direct et exclusif. Chacun se persuade que ce peuple, sorti d’Egypte, s’est fixé sur la « terre promise », où fut édifié le glorieux royaume de David et de Salomon, partagé ensuite en royaumes de Juda et d’Israël. De même, nul n’ignore qu’il a connu l’exil à deux reprises : après la destruction du premier temple, au VIe siècle avant J.-C., puis à la suite de celle du second temple, en l’an 70 après J.C.
S’ensuivit pour lui une errance de près de deux mille ans : ses tribulations le menèrent au Yémen, au Maroc, en Espagne, en Allemagne, en Pologne et jusqu’au fin fond de la Russie, mais il parvint toujours à préserver les liens du sang entre ses communautés éloignées. Ainsi, son unicité ne fut pas altérée. A la fin du XIXe siècle, les conditions mûrirent pour son retour dans l’antique patrie. Sans le génocide nazi, des millions de Juifs auraient naturellement repeuplé Eretz Israël (« la terre d’Israël ») puisqu’ils en rêvaient depuis vingt siècles.
Vierge, la Palestine attendait que son peuple originel vienne la faire refleurir. Car elle lui appartenait, et non à cette minorité arabe, dépourvue d’histoire, arrivée là par hasard. Justes étaient donc les guerres menées par le peuple errant pour reprendre possession de sa terre ; et criminelle l’opposition violente de la population locale.
D’où vient cette interprétation de l’histoire juive ? Elle est l’œuvre, depuis la seconde moitié du XIXe siècle, de talentueux reconstructeurs du passé, dont l’imagination fertile a inventé, sur la base de morceaux de mémoire religieuse, juive et chrétienne, un enchaînement généalogique continu pour le peuple juif. L’abondante historiographie du judaïsme comporte, certes, une pluralité d’approches. Mais les polémiques en son sein n’ont jamais remis en cause les conceptions essentialistes élaborées principalement à la fin du XIXe siècle et au début du XXe.
Lorsque apparaissaient des découvertes susceptibles de contredire l’image du passé linéaire, elles ne bénéficiaient quasiment d’aucun écho. L’impératif national, telle une mâchoire solidement refermée, bloquait toute espèce de contradiction et de déviation par rapport au récit dominant. Les instances spécifiques de production de la connaissance sur le passé juif — les départements exclusivement consacrés à l’« histoire du peuple juif », séparés des départements d’histoire (appelée en Israël « histoire générale ») — ont largement contribué à cette curieuse hémiplégie. Même le débat, de caractère juridique, sur « qui est juif ? » n’a pas préoccupé ces historiens : pour eux, est juif tout descendant du peuple contraint à l’exil il y a deux mille ans.
Ces chercheurs « autorisés » du passé ne participèrent pas non plus à la controverse des « nouveaux historiens », engagée à la fin des années 1980. La plupart des acteurs de ce débat public, en nombre limité, venaient d’autres disciplines ou bien d’horizons extra-universitaires : sociologues, orientalistes, linguistes, géographes, spécialistes en science politique, chercheurs en littérature, archéologues formulèrent des réflexions nouvelles sur le passé juif et sioniste. On comptait également dans leurs rangs des diplômés venus de l’étranger. Des « départements d’histoire juive » ne parvinrent, en revanche, que des échos craintifs et conservateurs, enrobés d’une rhétorique apologétique à base d’idées reçues.

Le judaïsme, religion prosélyte

Bref, en soixante ans, l’histoire nationale a très peu mûri, et elle n’évoluera vraisemblablement pas à brève échéance. Pourtant, les faits mis au jour par les recherches posent à tout historien honnête des questions surprenantes au premier abord, mais néanmoins fondamentales.
La Bible peut-elle être considérée comme un livre d’histoire ? Les premiers historiens juifs modernes, comme Isaak Markus Jost ou Leopold Zunz, dans la première moitié du XIXe siècle, ne la percevaient pas ainsi : à leurs yeux, l’Ancien Testament se présentait comme un livre de théologie constitutif des communautés religieuses juives après la destruction du premier temple. Il a fallu attendre la seconde moitié du même siècle pour trouver des historiens, en premier lieu Heinrich Graetz, porteurs d’une vision « nationale » de la Bible : ils ont transformé le départ d’Abraham pour Canaan, la sortie d’Egypte ou encore le royaume unifié de David et Salomon en récits d’un passé authentiquement national. Les historiens sionistes n’ont cessé, depuis, de réitérer ces « vérités bibliques », devenues nourriture quotidienne de l’éducation nationale.
Mais voilà qu’au cours des années 1980 la terre tremble, ébranlant ces mythes fondateurs. Les découvertes de la « nouvelle archéologie » contredisent la possibilité d’un grand exode au XIIIe siècle avant notre ère. De même, Moïse n’a pas pu faire sortir les Hébreux d’Egypte et les conduire vers la « terre promise » pour la bonne raison qu’à l’époque celle-ci... était aux mains des Egyptiens. On ne trouve d’ailleurs aucune trace d’une révolte d’esclaves dans l’empire des pharaons, ni d’une conquête rapide du pays de Canaan par un élément étranger.
Il n’existe pas non plus de signe ou de souvenir du somptueux royaume de David et de Salomon. Les découvertes de la décennie écoulée montrent l’existence, à l’époque, de deux petits royaumes : Israël, le plus puissant, et Juda, la future Judée. Les habitants de cette dernière ne subirent pas non plus d’exil au VIe siècle avant notre ère : seules ses élites politiques et intellectuelles durent s’installer à Babylone. De cette rencontre décisive avec les cultes perses naîtra le monothéisme juif.
L’exil de l’an 70 de notre ère a-t-il, lui, effectivement eu lieu ? Paradoxalement, cet « événement fondateur » dans l’histoire des Juifs, d’où la diaspora tire son origine, n’a pas donné lieu au moindre ouvrage de recherche. Et pour une raison bien prosaïque : les Romains n’ont jamais exilé de peuple sur tout le flanc oriental de la Méditerranée. A l’exception des prisonniers réduits en esclavage, les habitants de Judée continuèrent de vivre sur leurs terres, même après la destruction du second temple.
Une partie d’entre eux se convertit au christianisme au IVe siècle, tandis que la grande majorité se rallia à l’islam lors de la conquête arabe au VIIe siècle. La plupart des penseurs sionistes n’en ignoraient rien : ainsi, Yitzhak Ben Zvi, futur président de l’Etat d’Israël, tout comme David Ben Gourion, fondateur de l’Etat, l’ont-ils écrit jusqu’en 1929, année de la grande révolte palestinienne. Tous deux mentionnent à plusieurs reprises le fait que les paysans de Palestine sont les descendants des habitants de l’antique Judée (2).
A défaut d’un exil depuis la Palestine romanisée, d’où viennent les nombreux Juifs qui peuplent le pourtour de la Méditerranée dès l’Antiquité ? Derrière le rideau de l’historiographie nationale se cache une étonnante réalité historique. De la révolte des Maccabées, au IIe siècle avant notre ère, à la révolte de Bar-Kokhba, au IIe siècle après J.-C, le judaïsme fut la première religion prosélyte. Les Asmonéens avaient déjà converti de force les Iduméens du sud de la Judée et les Ituréens de Galilée, annexés au « peuple d’Israël ». Partant de ce royaume judéo-hellénique, le judaïsme essaima dans tout le Proche-Orient et sur le pourtour méditerranéen. Au premier siècle de notre ère apparut, dans l’actuel Kurdistan, le royaume juif d’Adiabène, qui ne sera pas le dernier royaume à se « judaïser » : d’autres en feront autant par la suite.
Les écrits de Flavius Josèphe ne constituent pas le seul témoignage de l’ardeur prosélyte des Juifs. D’Horace à Sénèque, de Juvénal à Tacite, bien des écrivains latins en expriment la crainte. La Mishna et le Talmud (3) autorisent cette pratique de la conversion — même si, face à la pression montante du christianisme, les sages de la tradition talmudique exprimeront des réserves à son sujet.
La victoire de la religion de Jésus, au début du IVe siècle, ne met pas fin à l’expansion du judaïsme, mais elle repousse le prosélytisme juif aux marges du monde culturel chrétien. Au Ve siècle apparaît ainsi, à l’emplacement de l’actuel Yémen, un royaume juif vigoureux du nom de Himyar, dont les descendants conserveront leur foi après la victoire de l’islam et jusqu’aux temps modernes. De même, les chroniqueurs arabes nous apprennent l’existence, au VIIe siècle, de tribus berbères judaïsées : face à la poussée arabe, qui atteint l’Afrique du Nord à la fin de ce même siècle, apparaît la figure légendaire de la reine juive Dihya el-Kahina, qui tenta de l’enrayer. Des Berbères judaïsés vont prendre part à la conquête de la péninsule Ibérique, et y poser les fondements de la symbiose particulière entre juifs et musulmans, caractéristique de la culture hispano-arabe.
La conversion de masse la plus significative survient entre la mer Noire et la mer Caspienne : elle concerne l’immense royaume khazar, au VIIIe siècle. L’expansion du judaïsme, du Caucase à l’Ukraine actuelle, engendre de multiples communautés, que les invasions mongoles du XIIIe siècle refoulent en nombre vers l’est de l’Europe. Là, avec les Juifs venus des régions slaves du Sud et des actuels territoires allemands, elles poseront les bases de la grande culture yiddish (4).
Ces récits des origines plurielles des Juifs figurent, de façon plus ou moins hésitante, dans l’historiographie sioniste jusque vers les années 1960 ; ils sont ensuite progressivement marginalisés avant de disparaître de la mémoire publique en Israël. Les conquérants de la cité de David, en 1967, se devaient d’être les descendants directs de son royaume mythique et non — à Dieu ne plaise ! — les héritiers de guerriers berbères ou de cavaliers khazars. Les Juifs font alors figure d’« ethnos » spécifique qui, après deux mille ans d’exil et d’errance, a fini par revenir à Jérusalem, sa capitale.
Les tenants de ce récit linéaire et indivisible ne mobilisent pas uniquement l’enseignement de l’histoire : ils convoquent également la biologie. Depuis les années 1970, en Israël, une succession de recherches « scientifiques » s’efforce de démontrer, par tous les moyens, la proximité génétique des Juifs du monde entier. La « recherche sur les origines des populations » représente désormais un champ légitimé et populaire de la biologie moléculaire, tandis que le chromosome Y mâle s’est offert une place d’honneur aux côtés d’une Clio juive (5) dans une quête effrénée de l’unicité d’origine du « peuple élu ».
Cette conception historique constitue la base de la politique identitaire de l’Etat d’Israël, et c’est bien là que le bât blesse ! Elle donne en effet lieu à une définition essentialiste et ethnocentriste du judaïsme, alimentant une ségrégation qui maintient à l’écart les Juifs des non-Juifs — Arabes comme immigrants russes ou travailleurs immigrés.
Israël, soixante ans après sa fondation, refuse de se concevoir comme une république existant pour ses citoyens. Près d’un quart d’entre eux ne sont pas considérés comme des Juifs et, selon l’esprit de ses lois, cet Etat n’est pas le leur. En revanche, Israël se présente toujours comme l’Etat des Juifs du monde entier, même s’il ne s’agit plus de réfugiés persécutés, mais de citoyens de plein droit vivant en pleine égalité dans les pays où ils résident. Autrement dit, une ethnocratie sans frontières justifie la sévère discrimination qu’elle pratique à l’encontre d’une partie de ses citoyens en invoquant le mythe de la nation éternelle, reconstituée pour se rassembler sur la « terre de ses ancêtres ».
Ecrire une histoire juive nouvelle, par-delà le prisme sioniste, n’est donc pas chose aisée. La lumière qui s’y brise se transforme en couleurs ethnocentristes appuyées. Or les Juifs ont toujours formé des communautés religieuses constituées, le plus souvent par conversion, dans diverses régions du monde : elles ne représentent donc pas un « ethnos » porteur d’une même origine unique et qui se serait déplacé au fil d’une errance de vingt siècles.
Le développement de toute historiographie comme, plus généralement, le processus de la modernité passent un temps, on le sait, par l’invention de la nation. Celle-ci occupa des millions d’êtres humains au XIXe siècle et durant une partie du XXe. La fin de ce dernier a vu ces rêves commencer à se briser. Des chercheurs, en nombre croissant, analysent, dissèquent et déconstruisent les grands récits nationaux, et notamment les mythes de l’origine commune chers aux chroniques du passé. Les cauchemars identitaires d’hier feront place, demain, à d’autres rêves d’identité. A l’instar de toute personnalité faite d’identités fluides et variées, l’histoire est, elle aussi, une identité en mouvement.


Shlomo Sand
 Historien, professeur à l’université de Tel-Aviv, auteur de Comment le peuple juif fut inventé, à paraître chez Fayard

LE RACISME : Une histoire de conditionnement?

Jusqu’à la fin du 18e  siècle, il n’y a pas de théorisation ni de hiérarchisation de ce qu’on entend aujourd’hui par race », explique l’historien Éric Deroo. En fait, le concept de races est alors lié aux classes sociales : on parle de la pureté du sang bleu de la noblesse qui risquerait d’être contaminé par celui de la vulgaire roture.

« Surtout, l’Occident est dominé par une construction religieuse du monde », poursuit le chercheur. Et elle offre une simplicité biblique : tous les individus ont été créés par Dieu, et ils disposent par conséquent d’une âme, quelle que soit leur couleur, qui n’est en rien liée à une éventuelle infériorité.




Bien sûr, l’épisode des Amérindiens découverts avec stupéfaction en  1492 sème le doute : puisque ces êtres étranges ne sont pas mentionnés dans La Cité de Dieu de saint Augustin, sont-i ls vraiment humains ? Mais la vision mono géniste, qui considère une origine commune à tous les hommes, tous descendants d’Adam et Ève, tient bon la rampe et exclut tout concept racial biologique. Du côté des savants, on acquiesce religieusement, mais on brûle de comprendre pourquoi l’espèce humaine présente des teintes si variées.

"Au milieu du 18e siècle, Bufon avance, pour sa part, le concept de dégénération selon laquelle l’homme, d’un blanc originel, prend différentes couleurs en fonction du climat sous lequel il habite. Mais cette thèse, certes dépréciative, est exempte de connotation raciale, car le processus est jugé réversible : selon lui, des hommes à la peau noire deviendraient blancs en climat tempéré, précise l’historien Claude Blanckaert.

Tout cela vole en éclats quand, lors des grandes expéditions du Paciique, on découvre de sensibles variations physiques chez les hommes qui habitent une même latitude. » Le climat ou le genre de vie n’explique donc pas tout. …

On passe alors à une conception qui dominera tout le 19e siècle, le polygénisme, qui imagine plusieurs couples, et pas seulement Adam et Ève, à l’origine des hommes. 

« Dès lors, on peut concevoir l’existence de plusieurs humanités différentes », souligne Éric Deroo. La porte est donc ouverte pour que se mette lentement en place une hiérarchisation que l’on somme la biologie d’expliquer. « C’est le siècle de la mesure, rappelle Gilles Boëtsch. Volumes des crânes, texture des cheveux, angle facial, tout y passe. Les typologies les plus folles se multiplient, avec parfois des centaines de critères. »

Cette obsession scientiste et rationaliste veut pallier le déclin de la vision religieuse et chrétienne du monde, sérieusement écornée depuis la Révolution française : après tout, le roi auquel on a coupé la tête n’était rien de moins que le représentant de Dieu sur Terre !

 C’est dans ce contexte qu’émergent, au début du 19 e siècle, les prémices de la théorie de l’évolution, dans lesquelles, providentiel, l’Africain apparaît parfois comme le chaînon manquant idéal entre le primate et l’homme.

 Aujourd’hui, le concept de races humaines est scientifiquement dénué de sens.

La paléoanthropologie, qui fouille les archives du sol et du sous-sol pour retracer l’évolution de l’homme, en a fourni la preuve avec la mise au jour des premiers restes humains fossiles dans la grotte belge d’Engis, près de Liège, en 1830. Tout ce que les chercheurs d’os ont découvert depuis bientôt deux siècles plaide en faveur d’« une origine unique, africaine et tropicale de l’homme », assure Yves Coppens, titulaire de la chaire de Paléoanthro pologie et Préhistoire du Collège de France et membre du laboratoire Dynamique de l’évolution humaine du CNRS.

« Les fossiles indiquent que le genre Homo est apparu il y a 2,5 à 3 millions d’années, à la faveur de changements d’environnements imposant des climats moins humides en Afrique. Ce qui revient à dire que nous sommes tous des Africains d’origine et qu’il n’existe aujourd’hui qu’une seule et même famille humaine. »

Les fossiles permettant de retracer les tout débuts de l’histoire évolutive de notre lignée – tel Sahelanthropus tchadensis, dit Toumaï, vieux de quelque 4  millions d’années – démontrent, pour l’anthropologue, que « c’est déjà en Afrique tropicale, voilà probablement 10 millions d’années, que la route des chimpanzés s’est séparée de celle qui mène aux hommes actuels » et qu’est apparu notre grand-père à tous.

 Certes, il a bel et bien existé, dans un passé récent, plusieurs espèces du genre Homo. Homo neanderthalensis a cohabité en Europe avec Cro-Magnon il y a seulement 35 000 ans. Homo denisovaensis, identifiée en  2010, était elle-même contemporaine de Néandertal. Homo floresiensis, découverte en Indonésie en  2003, vivait il y a encore 13 000  ans. Mais toutes se sont éteintes. C’est notre espèce, Homo sapiens, l ’humain, qui a fini par prévaloir.

 Le goût pour la bougeotte des pionniers était si grand, et les migrations et les conquêtes, si nombreuses, que les gènes humains n’ont cessé de se mélanger. Autant de brassages qui permettent aux chercheurs d’airmer que les gènes des membres de l’espèce humaine sont aujourd’hui semblables à 99,9 %.

Et que subdiviser l’humanité en races relève, biologiquement, de l’arbitraire le plus total.
L’homme moderne étant relativement jeune – Homo sapiens serait né il y en environ 200 000 ans –, la diversité génétique parmi les 7 milliards de Terriens est très faible.

En outre, « de très nombreuses études, depuis une quinzaine d’années, montrent qu’il peut y avoir plus de différences entre les génomes de deux individus d’une même population qu’entre les génomes de deux individus appartenant à des populations différentes », intervient Lluis Quintana Murci, directeur de recherches au CNRS et chef de l’unité Génétique évolutive humaine à l’Institut Pasteur.

UNE FAIBLE DIVERSITÉ GÉNÉTIQUE  :
Autrement dit, même s’ils appartiennent de longue date à la même population, un Strasbourgeois et un Lyonnais peuvent présenter bien plus de différences l’un avec l’autre dans leur génome qu’avec celui d ’un Inuit , d ’un habitant de l ’Andhra Pradesh ou d ’un Pygmée congolais.
En d’autres termes, « la plus grande différence génétique apparaît au niveau interindividuel, quelle que soit la population d’origine », indique Lluis Quintana-Murci.

Impossible de nier, pourtant, qu’il y ait des Blancs, des Noirs, des Jaunes…
 Cette variété phénotypique prouve qu’il existe des mutations propres à certains groupes ethniques et liées à la couleur de la peau, à la morphologie du visage, à la texture des cheveux, etc. Mais les marqueurs génétiques caractérisant uniquement les Européens, les Africains, les Asiatiques, etc., sont « très peu nombreux, remarque le chercheur.

Ces différences, qu’il serait absurde de nier, concernent une proportion infinitésimale du génome humain » et sont bien trop ténues pour accréditer l’existence de races.

DES COMBINAISONS SUBTILES
Quant aux études qui concluent à l’existence de 5 à 6 grands groupes humains 1 correspondant à autant de grands ensembles géographiques (Amérique, Afrique, Eurasie, Australie…), notre généticien des populations en souligne sans surprises les limites :

« Il s’agit d’une simplification de la réalité, mal interprétée par certains qui désirent répartir les hommes en races. Les individus appartiennent toujours à une combinaison d’ensembles géographiques très proches sur le plan génétique. Par exemple, un citoyen des États-Unis catégorisé comme afro-américain peut très bien avoir des ascendants européens, africains et nord américain d’origine. »

Et Lluis QuintanaMurci de conclure : « Certains de nos gènes sont un miroir de la géographie, mais personne n’appartient à 100 % à un groupe humain. Nos origines sont toujours extrêmement complexes et nous sommes tous un mélange de nombreux ancêtres provenant d’origines très variées. »


Si, à l’heure actuelle, le racisme fondé sur la biologie, qui présuppose une classiication hiérarchique des groupes humains, « est en net recul dans le monde démocratique occidental, l’on ne saurait conclure qu’il est en voie d’extinction sur la planète, note pour sa part Pierre-André Taguief, du Centre de recherches politiques de Sciences Po 2 .

Parallèlement, au cours des . trente dernières années du xx e siècle, on a assisté au surgissement d’un racisme centré sur l’identité culturelle. La question du racisme s’est ainsi décrochée de la vieille question raciale ».

Ce nouveau type de racisme suppose que certaines croyances religieuses, façons de s’habiller, habitudes alimentaires, etc., sont irréductiblement incompatibles avec d’autres cultures. Bref, qu’il existe des groupes humains mutuellement antagonistes. Dans ce néoracisme diférentialiste et culturel, comme dans le racisme biologisant, on rencontre la hantise du mélange, « supposé destructeur de l’identité du groupe d’appartenance, analyse le politologue.

Retranscription d'un article du Journal du CNRS de décembre 2011

CLEARSTREAM : Les dessous d'une affaire à tirroir

Quel lien peut il y avoir entre l'Arche de Zoe, le HCR de l'ONU, Clearstream, les ventes d'armes et le financement des partis politiques en France?


A priori aucun me direz vous, et pourtant.....


Voici les dessous d'une histoire à multiples facettes.

L'histoire commence en 1995 en Ex Yougoslavie en plein conflit des Balkans. Alors qu'un drame humanitaire se joue dans ce pays en pleine implosion ethnique, le Haut Commissariat au Réfugié ou HCR s'emploie à apporter une aide humanitaire aux populations sur place tandis que la ForPrONU s'emploie à agir pour des mission de protection de populations et de maintien de la Paix.

Le HCR se voit doté de budgets spéciaux pour venir en aide aux victimes de ce conflit, néanmoins tous les crédits n'ayant pas été utilisés à la fin de l'année 1995, le HCR comme beaucoup d'administrations se retrouve dans la logique de justifier ses dépenses pour pouvoir prétendre à un budget identique voir supérieur l'année suivante. C'est alors le début d'une manoeuvre politico-financière qui va perdurer au fil du temps.

Le HCR ne pouvant faire plus sur le terrain que ce qui est déjà fait en raison de la difficulté d'intervention dans certaines zones à cause des combats qui font rage va alors s'employer à dépenser ses ressources d'une autre manière. Les sommes non alloués sont alors converties en "lettre d'évidence".

Qu'est ce c'est une lettre d'évidence? 

C'est l'ouverture d'une ligne de crédit sur une durée de trois semaines dans des banques situées dans des paradis fiscaux et qui rapporte 100% à l'heureux dépositaire. Ce bénéficiaire redistribue "tant de%" à la banque qui a ouvert la ligne de crédit, "tant de %" à des intermédiaires, lorsqu'il s'agit de l'O.N.U., par exemple, ou le C.R.H.

 La suite ici

En Clair, admettons que je sois un commissaire au HCR,en fin d'année, ce dernier me confie les budgets qui n'ont pas été dépensés au cours de l'année. Je me mets en contact avec un organisme financier qui pratique la technique de la lettre d'évidence. Ce dernier m'ouvre une ligne de crédit pour l'intégralité de cette somme pour une durée de 3 semaines. Pendant ce laps de temps l'argent est placé par l'organisme et rapporte beaucoup d'argent.
A l'issue de ces 3 semaines, l'argent est restitué au dépositaire avec les intérêts en plus. L'organisme financier qui a déjà fait travailler l'argent pendant 3 semaines, touche une commission. Le dépositaire rends alors l'argent + intérêts à l'organisme d'origine moins une substantielle rémunération et l'organisme préteur récupère quand à lui plus qu'il n'as prêté. Cette somme apparaît dans le bilan de l'organisme comme étant une dépense, elle sort du budget de l'année suivante et devient occulte, permettant de financer d'autres actions.

Concernant l'action du HCR pendant le conflit des Balkans, je tiens à vous rappeler que Mr Bernard Kouchner était l'un des responsables du HCR sur place à cette époque. Je tiens également à vous rappeler qu'il a eu à rendre des comptes plus tard sur son action à cette époque notamment par rapport à des accusations de trafics d'organes. 

Mais malheureusement l'histoire ne s'arrête pas avec la fin du conflit des Balkans. Ayant très vite compris l'intérêt de cette manoeuvre financière, tous les acteurs de cette supercherie ont très vite mis en place un système de financement occulte à la fois très profitable aux différents intervenants mais aussi indispensable à cause de ces ramifications.

Ainsi l'argent récupéré par Mr Kouchner lors de son action au sein du HCR en Ex Yougoslavie, a servie outre son enrichissement personnel à alimenter une partie du financement occulte des partis politiques en France.

Je vous rappel que le HCR dépends de l'ONU à laquelle siège la France entre autre pour son budget mais aussi des dons que les particuliers font.Dès lors on commence à entrevoir que le HCR n'as pas seulement vocations humanitaire et que les états membre de l'ONU qui votent sont budget ont tous intérêts à voté son interventions puisque plus le budget est important plus le système de lettre d'évidence génère d'argent.

De là à souhaiter que des catastrophes humanitaires se produisent, il ne faut pas exagérer me dirais vous! D'autant qu'on ne peut pas prévoir quand aura lieu une catastrophe humanitaire et encore moins la provoqué!

Pas si sur vous répondrais je!

Tout le monde se souviens du drame qui a touché l'Océan Indien le 26/12/2004. Un gigantesque Séisme de magnitude 9.3 a eu lieu au large de Sumatra provoquant un terrible Tsunami qui a ravagé de nombreux pays et faits des milliers de victimes.
Parmi les pays les plus durement touchés, la Thailande.
Une fois encore nous sommes en fin d'années et le HCR et d'autres organismes humanitaires voient énormément de Dons affluer afin d'aider les sinistrés de ce drame.
Sur place un personnage, Mr Eric Bruteau et sa maîtresse sont présent officiellement pour porter secours aux population, mais en réalité pour canaliser ces milliards et les transformer en lettres d'évidence pour certains élus sous couvert du HCR.
Les millions de $ ainsi canalisé transitent par une Banque de Compensation qui deviendra célèbre quelques années plus tard : CLEARSTREAM.
Je sais que pour certains cela peut relever de la folie pure, mais d'autres comprendront le lien qu'il peut y avoir entre des projets secrets de manipulation du climat ou des armes techtoniques comme HAARP, PAMIR3 ou le projet SEAL et la création de façon totalement artificielle de catastrophe naturelles majeures. 
La plupart des catastrophes dites naturelles de ces  deux dernières décennies n'ont rien de naturelles.
Elles sont provoqués par des technologies tout ce qu'il y a de plus humaines et servent à la fois des intérêts financiers et eugéniste si chers aux rois de l'ombre.

HAARP est exploitée par la société ARCO (société Ecran)que ce projet a reçu l'aval de L'ONU dans le cadre d'un projet de recherche internationale. Ce programme basée sur les Terre d'une Compagnie pétrolière est géré par une société civil qui dépends directement du ministère de la défense US. Pas mal d'infos sur HAARP ici.

Mais revenons à notre histoire de lettre d'évidence qui ne s'arrête encore une fois pas ici. 


Après le Tsunami de décembre 2004, Mr Eric Bruteau crée l'association l'Arche de Zoé, une association régit par la loi de 1901 dont le but est de sauver de jeunes orphelins. L'Association s'intéresse alors dès 2005 au problème du DARFOUR son but étant de faire prendre en charge des orphelins par des familles d'accueil française. Le HCR de son coté intervient également au DARFOUR.

On retrouve donc les mêmes acteurs qui se livrent une fois encore aux mêmes activités mais en d'autres lieux. LA seul différence, c'est qu'ici les fonds ne servent pas à fiancer des partis politiques en France, mais à payer des armes pour le régime Tchadien à ses fournisseurs français!


L'affaire des Enfants de l'Arche de Zoé n'aurait probablement jamais eu lieu si la quote part des lettres d'évidence perçu par Mr Bruteau est destinée au gouvernement Tchadien afin de financer l'achat d'armes à la France avait été versé correctement. Mais certaines commissions ont été détournés et par  certains représentant de l'état français dans le cadre de campagne électorales et par Mr Bruteau lui même.

L'affaire s'envenime donc ensuite pour tous ce joli petit monde. Le président Tchadien accepteras finalement de gracier les membres de cette association en Mars 2008 moyennant la rétro cession des commissions qui lui été dues (ce n'est bien sur pas la version officielle)

En cherchant bien dans cette affaire vous pourrez d'ailleurs vous rendre compte qu'un autre acteur déjà connu par son action en 1995 vu impliqué (sans succès) par Mr Bruteau dans cette affaire.

Je ne vous présente ici qu' un tout petit résumé d'une histoire beaucoup trop longue. Mon but n'étant pas de me substituer aux journalistes d'investigations, mais de vous présenter un phénomène de fraude de grande envergure.

Je vous invite à vous renseigner par vous même via internet notamment sur les faits que je rapporte ici et sur les // avec l'affaire Clearstream.


















jeudi 5 janvier 2012

EARTHLINGS : Vous ne pourrez plus dire que vous ne saviez pas!

Voici un excellent reportage sur les conditions de vie et de détentions de nos amis du monde animal pour notre confort.
Je tiens néanmoins à prévenir les plus sensibles d'entre vous que ce reportage comporte beaucoup d'images très choquantes.
C'est d'ailleurs la raison pour laquelle je ne vous mets ici que la première vidéo, libre ensuite à vous de regarder la suite ou pas, c'est entre votre conscience et vous!

Par cette vidéo je ne cherche pas à choquer mais encore une fois juste à éveiller les conscience sur la réalité de notre monde. Cette réalité est peut être bien caché derrière des murs, permettant aux bons citoyens que nous sommes de ne pas vraiment savoir.

Certains diront que c'est bien joli de critiquer mais on peut pas vivre sans cela, et des gens comme moi sont bien contents d'avoir un steak dans leur assiette, donc qu'on a pas à critiquer, ou encore que c'est comme ça et qu'on peut pas faire autrement.

Moi je réponds, est ce que sous prétexte que j'ai commis des erreurs, je dois fermer ma gueule quand j'en prends conscience?
A vous de décider!


lundi 2 janvier 2012

INFOS PELE MELE

  • Samedi, 31 Décembre 2011
    Washington et Riyad signent un contrat militaire de 29,4 milliards de dollars
    Rédaction
    Mondialisme
    Les États-Unis et l’Arabie saoudite ont signé un contrat de vente de 84 chasseurs-bombardiers F-15 et de modernisation de 70 autres appareils, pour 29,4 milliards de dollars au total, a annoncé, jeudi 29 décembre, la Maison-Blanche en pleine montée des tensions avec l’Iran.
 
  •  Selon le journal Al Arabi cité par le magazine en ligne Contrainjerencia le leader de l’ « Armée syrienne libre » est un colonel « étasunien du nom de Cleveland ».

    Présenté comme le responsable de la formation de cette armée dans des camps turcs et à Arbil en Irak il est le véritable dirigeant de cette armée. D’autre part les Frères musulmans disposent de milices entrainées elles aussi pas des instructeurs étasuniens dont l’objectif est de créer des « zones libérées » sur le modèle de Benghazi en Libye, à Daarsa dans le sud syrien et à Jisr Al Shughour dans le Nord.

    Enfin il signale que la page Face-Book « révolution syrienne » est animée par un groupe créé à Bruxelles et lié au site Shaam (en anglais et en arabe) équipé de matériel de communication sophistiqué directement alimenté en données par les satellites US. Bien entendu, comme l’indique le texte de présentation du site Shaam tout ceci est le fait de « patriotes » syriens.
 
  •  D’après des services de sécurité européens, l’Iran a neutralisé un satellite espion de la CIA.

    Des services de renseignements européens affirment que l’Iran a stupéfait l’occident en réussissant à neutraliser un satellite espion de la CIA grâce à une technologie de brouillage de pointe au laser, qui aurait rendu le satellite complètement aveugle. C’est la première fois qu’un incident de ce type est enregistré. Ce constat pourrait indiquer
    que l’Iran a désormais accès à une technologie capable de détecter des véhicules automatiques aériens, une technologie qui lui a peut-être été fournie par la Russie.

    « Certains rapports établissent que la Russie aurait vendu [à l’Iran] un système de brouillage très sophistiqué, il y a peu de temps », a commenté John Bolton, ancien ambassadeur des Etats-Unis à l’ONU. « Nos militaires disent que c’est faux, que le satellite est tombé à cause d’un disfonctionnement. J’espère sincèrement que c’est la vérité, car si la Russie a fourni à l’Iran du matériel de brouillage sophistiqué, cela
    implique bien d’autres risques. »

    Cette information ravive les inquiétudes occidentales quant au niveau technologique réel de l’Iran. En effet, il y a quelques jours, la république islamique a réussi à s’emparer d’un drone américain. Un ingénieur iranien a alors affirmé qu’ils avaient réussi à pirater la fréquence du drone américain, et à le faire passer en mode pilotage automatique afin qu’il se pose. Ils auraient acquis leur savoir-faire en étudiant des drones américains similaires qui se seraient écrasés en Afghanistan.
  •  La France vient de débloquer 5 millions d’euros pour la préservation de l’ancien camp d’Auschwitz-Birkenau, installé par le Troisième Reich dans le sud de la Pologne, a annoncé mardi 27 décembre la direction du musée d’Auschwitz.

    Cet argent sera versé pendant cinq ans, à partir de 2012, a indiqué dans une lettre adressée à Simone Veil, ancienne déportée d’Auschwitz et présidente d’honneur de la Fondation pour la mémoire de la Shoah, le Premier ministre français, François Fillon, cité sur le site internet du musée.

    Au même moment, on apprend que suite à un refus d'une aide par le gouvernement de François Fillon, les Restos du coeurs sont dans l'obligation de lancer un appel à la générosité pour combler un déficit de 5 millions d’euros (ce qui fait environ 5 millions de repas, car un repas coûte à peu près un euro).