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vendredi 13 décembre 2013

LE GAZ DE SCHISTE : Mode d'Emploi

Tout le Monde a entendu parler du Gaz de Schiste au moins une fois. Peu de gens en revanche savent ce que c'est exactement, ni pourquoi cette technique d'exploitation fait couler autant d'encre.
C'est ce que nous allons tacher de voir ensemble.

 Qu'appelle t on gaz de schiste?


Le Gaz de schiste est un gaz naturel emprisonné dans les roches anciennes appelées schistes. Ces roches ont pour particularité d'avoir un aspect feuilletée et de se débiter en plaques fines.

 Comment exploite t on le gaz de Schiste?


Pour vous expliquer cela simplement, vous trouverez une petite application ici

http://app.owni.fr/gaz/




Les gaz de schiste, comment ça marche ?


L'utilisation de gaz naturel s'est fortement répandue, cette ressource énergétique, non renouvelable représente actuellement 20 % de la consommation énergétique mondiale. En France, en 2009, la consommation de gaz naturel représentait 40 millions de m3. (source des données : planetoscope). Or le gaz consommé en France et en Europe est largement importé, notamment de Russie, avec dans ce cas un interlocuteur unique : Gazprom. Les ressources mondiales en 2006 sont présentées dans cet article. Cette situation est problématique. En 2009, un conflit entre la Russie et l'Ukraine avait fortement perturbé l'acheminement de gaz vers l'Europe par exemple. De plus cette source d'énergie est une énergie fossile, les gisements actuels se tariront bien un jour ou l'autre, et il faut dès à présent envisager d'autres sources d'approvisionnement.


Devant cette situation, les fournisseurs de gaz ont cherché d'autres gisements. Dans le sous-sol, legaz naturel peut se trouver sous diverses formes :
  • gaz naturel non associé : poches de gaz, dans lesquels on peut forer pour l'extraire (forme la plus simple à exploiter). C'est la forme la plus exploitée actuellement.
  • gaz naturel associé : il est en solution dans le pétrole, et extrait lors de la raffinerie de celui-ci
  • diverses formes de gaz associé à la tourbe, au charbon ou au schiste : dans ces cas le gaz est contenu dans des matériaux poreux duquel il faut l'extraire

Le gaz de schiste est contenu dans cette roche métamorphique qui vient de boues accumulées au fond des océans et qui ont subi de fortes pressions et températures au cours des transformations géologiques. Le schiste a un aspect feuilleté, les ardoises par exemple en sont une forme particulière. Du gaz s'est retrouvé piégé dans cette pierre sûrement dès l'origine (boues accumulées au fond des océans). Ces boues devaient contenir du méthane résultant de la décomposition d'êtres organiques. Les fortes pressions ont concentré ces gaz et empêché son évasion vers l'atmosphère.

Ces schistes contiendraient donc du gaz. Un eldorado pour certains, un enfer pour d'autres.

L'eldorado c'est notamment le fait que ce gaz se trouve en France, sous nos pieds. Plus de dépendance vis-à-vis de la Russie, ou de l'Algérie. La carte ci dessous présente les gisements pressentis à l'exploitation dans le sud de la France (source owni).


L'enfer c'est si l'on se place du point de vue où l'on conçoit les répercussions sur l'environnement et la santé de cette extraction. En effet, le gaz étant piégé dans la roche (à plus de 2 000 mètres de profondeur), en de multiples micro-poches, il faut fracturer celle-ci, la noyer dans de l'eau contenant quelques adjuvants bien polluants et aspirer le tout. 

Donc on récapitule :
  • un puits foré à 2 000 mètres, qui peut traverser les nappes phréatiques par exemple
  • une explosion qui fissure le schiste
  • 50 à 70 % du liquide qui n'est pas récupéré, des milliers de litres d'eau perdus
  • des fuites probables sur le puits, entraînant des fuites vers les rivières ou la surface

Vous allez me dire, je vous connais, et je serais tenté de dire la même chose parfois, « mais arrêtez d'essayer de nous faire peur ! ».

Le problème c'est que ces dégâts ont déjà eu lieu. Aux Etats Unis et au Québec notamment (là-bas, le couloir du Saint-Laurent fait l'objet d'une multitude de permis de forer pour extraire ces gaz de schistes). Et les conséquences relatée par owni font l'objet d'un documentaire : Gasland de Josh Fox Le débat chez nous commence à peine. Au québec il fait rage. 


« Du sable, de l’eau et de la pression ». Sur le site officiel d’Halliburton, la recette de l’extraction des gaz de schiste ressemble à celle d’un pâté de sable. Le mélange original n’en était peut-être pas loin quand il a été injecté pour la première fois par la compagnie en 1947 pour remuer le fond des puits de pétrole ou de gaz du champs de Hugoton au Texas afin d’en extraire les dernières gouttes. Mais ses derniers perfectionnement dans les années 1980 et 1990 ont poussé la technique de « fracturation hydraulique » à des degrés de raffinement qui confinent au secret défense : interrogé par l’Agence de protection de l’environnement américaine, le géant des hydrocarbures a refusé de livrer la recette de sa potion magique, soupçonnée par les autorités sanitaires d’avoir empoisonné les réserves d’eau potable aux abords de certains puits d’extraction de gaz de schiste utilisant sa technique. Pour toute aumône aux curieux,Halliburton livre une dizaine d’ingrédients, dont trois types de sables et de l’eau, sur son site internet. Mais, comme pour le Coca, la touche qui fait la différence manque à l’énumération.
De simple système « d’activation » des puits de pétrole et de gaz, cette technologie, alliée à des matériaux souples résistants à de très hautes pressions et à de nouveaux systèmes de forages horizontaux, a rendu accessible les immenses réserves de gaz contenues dans les couches de schistes, dissimulées à 1200, 2500 et parfois même 3000 mètres sous la surface de la terre. Présentes quasiment partout sur la planète, ces gisements de milliers de milliards de mètres cubes de gaz représentent une autonomie énergétique potentielle pour les pays… et une manne de contrats pour Halliburton et ses concurrents, Schlumberger ou Baker Hughes.

“A la sortie du puits : CO², NOx et autres gaz à effet de serre”

Pour chaque puits, le principe est le même : les ingénieurs creusent les fondements du puits, installent un coffre de béton et commencent un forage vertical de 30 cm de diamètre jusqu’à plus de 1200 mètres de profondeur avant de « couder » le forage qui avance, horizontalement, dans la couche de schiste censée renfermer du gaz. Après avoir fait exploser une charge au fond du puits, les ingénieurs y injectent à très haute pression un mélange d’eau, de sable et de divers produits chimiques facilitant le processus : propulsé à 600 bars (deux fois la puissance d’une lance à incendie Cobra), le liquide écarte les fissures formées par l’explosion que le sable garde ouvertes pour en faire échapper le gaz qui remonte avec la moitié du liquide (le reste était capturé par la roche). Pour chacune de ses fracturations 7 à 15000 mètres cubes d’eau son nécessaires, sont seulement la moitié remonte à la surface. Or, c’est justement sur le chemin du retour que les dégâts commencent à se faire sentir.
A peine sorti, le gaz est injecté dans un séparateur qui le dissocie de l’eau remontée du puits avant d’être pompée vers un condensateur, sorte d’immense réservoir de 40000 à 80000 litres. Le gaz y est séparé de ses autres composantes, laissant échapper des vapeurs d’hydrocarbures : CO², Nox et autres gaz à effet de serre. Autant de polluants dont la dispersion dans l’air était inconnue avant les travaux du Professeur Al Armendariz du département d’ingénierie civile et environnementale de l’université méthodiste de Dallas.

61% des maladies causées par l’exposition aux gaz toxiques

Autre petit secret, les mystérieux liquides de fracturation s’échappent parfois par des failles dans le coffrage du puits, atteignant des sources ou des roches poreuses par lesquelles ils s’infiltrent parfois avec du gaz jusqu’à atteindre des nappes phréatiques et à remonter dans les tuyaux, mêlés à une eau plus potable du tout. Pour percer le mystère de ces 0,5% de composants “autres” que l’eau et le sable, le docteur Wilma Subra a suivi en Louisiane) le ballet des camions amenant les produits chimiques pour le mélange et celui des tankers emportant au loin les eaux usagées jusqu’à pouvoir prélever un échantillon à la composition bien plus complexe que la dizaine d’ingrédients suggérés par le site d’Halliburton. Dans ses éprouvettes, elle a énuméré plus de 596 substances chimiques qui, en plus de leurs qualités d’inhibiteur d’acides, d’anticorrosif ou encore d’épaississant, ont pour certains des effets dramatiques sur la santé (cancérigènes, tels que l’ethylbenzène, perturbateurs endocriniens, comme le diethylène glycol).

Prenant pour échantillon représentatif la ville texane de Dish, Wilma Subra a conclut que 61% des problèmes de santé constaté chez les habitants de la ville étaient causés par des taux de polluants supérieurs aux normes environnementales admises : exposés à des quantités importantes d’ozone, de soufre, de gaz naturel ou d’ether, les habitants ressentaient plusieurs fois par jour nausés, maux de tête, vomissement… jusqu’à des affections respiratoires : 58% des personnes observées souffraient de problèmes de sinus.
La corrélation entre fracturation hydraulique et activité sismique reste à établir : Brian Stump et Chris Hayward chercheurs à la Southern Methodist University de Dallas, ont enquêté sur le site de Fort Worth au Texas. Ils mettent en garde :

Nous avons établi un lien entre la sismicité, le moment et le lieu de l’injection d’eau [ndlr : dans le puits de fracturation] ; ce qu’il nous manque ce sont des données sur la sous-surface de cette zone, sur la porosité et la perméabilité de la roche, le chemin qu’empruntent les fluides, et comment ces éléments pourraient provoquer un séisme.

Les chercheurs et les gaziers s’accordent à dire que la technique d’extraction en elle-même provoque des micro-séismes, “jusqu’à une magnitude de 3,4 sur l’échelle de Richter en surface” selon le géologue Aurèle Parriaux, docteur en géologie de l’ingénieur à l’université polytechnique de Lausanne. Un faible tremblement de terre, perceptible par l’être humain. Cependant le réel impact de la fracturation hydraulique reste à prouver, et des études sont encore nécessaires pour déterminer l’influence de ces fissures dans des zones sismiques.
Afin d’établir au plus vite les conséquences de ce procédé, Brian Stump a appelé à une “collaboration entre les universités, l’Etat du Texas, les autorités locales, le secteur de l’énergie, et, éventuellement, le gouvernement fédéral pour l’étude de la question de la sismicité”.Vue leur mauvaise volonté à livrer la recette de leurs potions magiques, difficile de croire que les sociétés gazières reconnaîtront demain être les auteurs de tremblement de terre.

Sources : 






SOUS LES ¨PYRAMIDES D'EGYPTE : Des vestiges gênant d'une science avançée ?

Tiré du NEXUS N°33



Le Sphinx et les Pyramides ne sont que la partie visible d’un fabuleux iceberg. 





De nombreux témoignages historiques ou contemporains permettent d’être convaincus de la présence, sous le plateau de Gizeh et l’ancienne cité du Caire, d’un savant enchevêtrement de passages, conduits, salles, cavernes naturelles, de lacs, et d’une grande cité, renfermant des artefacts sophistiqués révélant un très haut niveau de technicité.

L’information relayée par les médias jusqu'en 1935 est depuis soustraite au public par les autorités archéologiques.

L'histoire oubliée des pyramides : 




Pour bien saisir les connaissances secrètes de la Bible, il est important de prendre conscience de l’ampleur du système de galeries souterraines et celle des équipements des salles qui en dépendent, sous la surface du plateau des Pyramides. Car c’est là que se développèrent les éléments majeurs des enseignements de l’Ecole de Mystères.

Ce qui s’est déroulé sous les sables il y a des milliers d’années n’est pas repris par les manuels d’histoire actuels, même si les découvertes effectuées ces 80 dernières années le confirment.

Le district de l’Oasis Fayoum, situé à seulement quelques kilomètres au-delà des limites du Nome de Memphis, présente un site d’un intérêt exceptionnel. C’est dans cette riche vallée fertile que les Pharaons, se nommant eux-mêmes les “maîtres des chasses royales”, pêchaient et chassaient au boomerang.

Le Lac Moeris avoisinait autrefois l’Oasis Fayoum et sur ses rives se trouvait le célèbre Labyrinthe, décrit par Hérodote comme “une infinie merveille”. Celui-ci comprenait 1.500 pièces et autant de salles souterraines supplémentaires que l’historien grec ne fut pas autorisé à explorer.

Selon les prêtres du Labyrinthe, “les passages étaient déroutants et complexes”, destinés à sécuriser les nombreux manuscrits qu’ils affirmaient cachés dans les salles souterraines. Ce complexe massif impressionna particulièrement Hérodote qui le citait avec une crainte révérentielle :

Je vis douze palais régulièrement disposés, communiquant entre eux, émaillés de terrasses et répartis autour de douze grandes cours. Il est difficile de croire qu’ils étaient l’oeuvre d’hommes. Les murs étaient recouverts de portraits sculptés, et chaque cour, construite en marbre blanc de façon exquise, etait entourée d’une colonnade.

Près de l’angle où se termine le labyrinthe, s’élevait à 80 mètres une pyramide ornée de grands portraits sculptés d’ animaux dont l’entrée s’effectuait par un souterrain. J’appris de source très sûre que les salles et les passages souterrains la reliaient aux pyramides de Memphis. Ces dernières étaient celles de Gizeh qui, en effet, s’appelait Memphis à l’origine “Gizeh anciennement Memphis”, sur la carte de Nordan extraite de Voyages en Egypte et en Nubie, 1757, page 152.

Beaucoup d’auteurs antiques confirment la description par Hérodote des passages souterrains reliant les pyramides les plus importantes, et l’évidence de leur existence jette un doute sur la vraisemblance de l’histoire de l’Egypte présentée traditionnellement. Crantor (300 av. J.C.) déclarait que certains piliers souterrains en Egypte offraient un récit de la préhistoire gravé dans la pierre et relataient les voies reliant les pyramides.

Dans son étude célèbre, Des Mystères, en particulier ceux d’Egypte, de Chaldée et d’Assyrie, Jamblique, un Syrien du quatrième siècle très représentatif de l’Ecole d’Alexandrie dans les matières mystique et philosophique, rapporta cette observation au sujet de l’entrée de la Grande Pyramide par le corps du Sphinx :

Cette entrée, aujourd’hui obturée par le sable et les décombres, peut être retrouvée entre les pattes avant du colosse accroupi. Elle était autrefois fermée par une grille de bronze dont seuls les Mages pouvaient actionner le mécanisme caché. Elle était protégée par la vénération publique, et une sorte de terreur sacrée maintenait son inviolabilité mieux que ne l’aurait fait une protection armée.

Dans le ventre du Sphinx étaient creusées des galeries menant à la partie souterraine de la Grande Pyramide. Ces galeries s’entrecroisaient le long du parcours vers la Pyramide avec un tel art que, quiconque s’y engageant sans guide retournait inévitablement à son point de départ.

Les antiques cylindres scellés des Sumériens racontent que la demeure secrète des Anunnakis était “un lieu souterrain… où l’on pénètre par un tunnel dont l’entrée est cachée par le sable ainsi que par ce qu’ils nommaient Huwana… dont les dents sont semblables à celles d’un dragon, et la face, à celle d’un lion”.

Ce texte ancien remarquable, dont il ne reste malheureusement que des fragments, ajoutait que “Il (Huwana) ne peut ni avancer, ni reculer”, mais qu’en grimpant sur lui par l’arrière, le passage vers “la demeure secrète des Anunnakis” n’était plus bloqué. Les notes sumériennes fournissent une description probable du Sphinx de Gizeh, et si cette grande créature était construite pour garder ou obturer d’anciens escaliers et des passages inférieurs menant aux parties souterraines au-dessous et alentour, alors, ce symbolisme était parfaitement opportun.

La tradition locale arabe du 19ème siècle affirmait qu’il existait des salles souterraines sous le Sphinx, renfermant des trésors ou des objets magiques. Cette croyance fut étayée par les écrits de l’historien romain du premier siècle, Pline l’ancien, selon lesquels, profondément en-dessous du Sphinx, est dissimulée la “tombe d’un dirigeant appelé Harmakhis qui contient un grand trésor” et, de façon assez étrange, le Sphinx lui-même fut appelé autrefois “Le Grand Sphinx Harmakhis qui montait la garde depuis le temps des Descendants d’Horus”.

Ammianus Marcellinus, autre historien latin du quatrième siècle fit des découvertes supplémentaires au sujet de l’existence de caveaux souterrains qui semblaient mener à l’intérieur de la Grande Pyramide.

Des inscriptions, dont les Anciens soutenaient l’existence, étaient gravées sur les murs de certaines galeries souterraines et des passages furent construits dans l’obscure profondeur pour empêcher la sagesse ancienne d’être perdue dans les inondations.

Un manuscrit, rédigé par l’écrivain arabe du nom Altelemsani et conservé au British Museum, relate l’existence d’un long passage souterrain, de section carrée, entre la Grande Pyramide et le Nil et cite une “étrange chose” bloquant l’entrée, côté fleuve.

Il rapporte l’épisode suivant : 

A l’époque d’Ahmed Ben Touloun, un groupe entra dans la Grande Pyramide par le tunnel et découvrit dans une salle latérale une coupe de couleur et de texture rares. En s’en allant, ils semèrent un membre du groupe et, comme ils retournaient le chercher, celui-ci vint à eux nu et disait en riant : “Ne me suivez pas et ne me cherchez pas”, avant de se précipiter à nouveau dans la Pyramide. Ses amis comprirent qu’il avait été ensorcelé.

Apprenant que d’étranges événements se déroulaient sous la Pyramide, Ahmed Ben Touloun exprima le désir de voir la coupe de verre. Pendant l’examen, elle fut remplie d’eau et pesée, puis vidée et pesée de nouveau. L’historien écrivit : “elle avait le même poids à vide ou remplie d’eau”. Si l’histoire est exacte, ce manque de poids supplémentaire prouve de manière indirecte l’existence à Gizeh d’une science extraordinaire.

Selon Massoudy, au 10ème siècle, des statues mécaniques, dotées de propriétés stupéfiantes, gardaient les souterrains situés sous la Grande Pyramide. Anciennes de mille ans, on peut comparer leur description à celle des robots informatiques que l’on voit de nos jours dans les films du genre “La Guerre des Etoiles”.

Massoudy raconte que les automates étaient programmés pour être sensibles à l’intolérance, parce qu’ils détruisaient tout “sauf ceux dont la conduite leur valaient d’être admis”. Massoudy prétendait que “les manuscrits des Sages et les acquis dans divers arts et sciences étaient profondément cachés, qu’ils pouvaient ainsi constituer une mémoire réservé aux intérêts futurs de ceux qui pourraient un jour les comprendre”.

C’est une information phénoménale, dans la mesure où il est possible que, depuis l’époque de Massoudy, des personnes “dignes” aient vu les mystérieuses salles souterraines. Massoudy avoua : “J’ai vu des choses impossibles à décrire de crainte que l’on ne se mette à douter de ma santé mentale… mais cependant je les ai vues”.

Autre auteur du même siècle, Mouterdy décrit un étrange incident qui survint dans un passage étroit sous la terre de Gizeh. Un groupe de personnes fut horrifié de voir un de ses membres mourir écrasé par une porte de pierre qui, d’elle-même, bascula soudain à l’entrée du passage et ferma le couloir devant eux.

Hérodote affirme que les prêtres égyptiens lui racontèrent leur antique tradition de “l’organisation de salles souterraines” par les créateurs originels de Memphis.

Les plus anciennes inscriptions suggèrent aussi qu’il existait une sorte de complexe de très grandes salles sous la surface des terrains entourant le Sphinx et les pyramides. Ces anciens récits furent confirmés par la découverte d’une large cavité lors d’une surveillance sismique sur le site en 1993.

La nouvelle fut annoncée publiquement dans un documentaire intitulé “Le Mystère du Sphinx”, vu par 30 millions de téléspectateurs sur NBC fin 2003. L’existence de salles en dessous du Sphinx est bien connue. Les autorités égyptiennes rendirent compte d’une autre découverte en 1994, sa révélation fut annoncée dans un article de journal sous le titre :


Mystérieux Tunnel dans le Sphinx : 





Des ouvriers réparant le Sphinx ailé ont découvert un ancien passage menant profondément dans le corps du monument mystérieux.

Le Directeur des Antiquités de Gizeh, M. Zahi Hawass, établit que, sans doute possible, le tunnel était très ancien. Toutefois, ceci est inexplicable : qui construisit le passage ? Pourquoi ? Et où mène-t-il…? M. Hawass dit qu’il n’avait pas l’ intention d’enlever les pierres empêchant le passage. Le tunnel secret se creuse un chemin dans la face nord du Sphinx, à peu près à mi-chemin entre les pattes étendues du Sphinx et sa queue.

L’hypothèse courante que le Sphinx est le vrai portail de la Grande Pyramide a survécu avec une surprenante ténacité. Cette croyance fut alimentée par des plans vieux de 100 ans élaborés par les initiés Francs-Maçons et Rosicruciens, montrant que le Sphinx était l’ornement surmontant un espace qui communiquait avec toutes les Pyramides par des passages souterrains en étoile.

Ces plans furent dressés à partir d’informations découvertes à l’origine par le fondateur présumé de l’Ordre de la Rose-Croix, Christian Rosenkreuz, qui, à ce que l’on prétend, s’introduisit dans “une salle secrète au-dessous du sol” et y trouva une bibliothèque d’ouvrages regorgeant de connaissances secrètes.

Les croquis furent tirés de l’information détenue par les archivistes de l’Ecole des Mystères avant le début du désensablement en 1925. Ils révélèrent des ouvertures secrètes menant à des salles de réception oubliées depuis fort longtemps, de petits temples et autres enceintes. (Ces plans sont inclus dans la section “Le Plan Principal” à la fin du livre.)

En 1935, la connaissance des Ecoles des Mystères fut renforcée par une série de découvertes remarquables qui fournirent la preuve de souterrains et de salles supplémentaires s’entrelaçant dans l’espace sous-pyramidal.

Le complexe de Gizeh présentait les éléments majeurs d’une construction intentionnelle, d’une structure unitaire avec le Sphinx, la Grande Pyramide et le Temple des hommes du Soleil reliés directement les uns aux autres, en surface et en sous-sol.

Ces quelques dernières années un séismographe sophistiqué et un équipement radar pénétrant le sol (GPR) établirent l’exactitude de ces plans. L’Égypte utilise aussi avec succès des satellites de pointe afin de repérer les cités enfouies sous la surface du sol à Gizeh et ailleurs.

Le nouveau système de repérage fut lancé début 1998 et permit de déterminer avec précision l’emplacement de 27 sites non encore fouillés sur 5 secteurs. Neuf de ces sites sont situés sur la rive Est de Louxor, les autres à Gizeh, Abou Rawash, Sakkarah, et Dashour.

Les clichés du secteur de Gizeh montrent une masse presque incompréhensible constituée d’un entrelacs de tunnels et de salles en réseau, se recoupant et s’entortillant réciproquement comme un treillis s’étendant à travers tout le plateau.

Avec cet important travail d’étude depuis l’espace, les égyptologues sont capables de déterminer l’emplacement d’un site majeur, son entrée probable et la taille des salles avant de commencer les fouilles.

L’attention est attirée sur trois lieux secrets : un endroit dans le désert à quelques centaines de mètres en direction de l’ouest/sud-ouest de l’emplacement originel de la Pyramide Noire, autour de laquelle on construit actuellement un ensemble d’enceintes de béton, haute de sept mètres et couvrant huit kilomètres carrés ; l’ancienne grande route qui reliait le temple de Louxor à Carnac; et le “Chemin d’Horus” à travers le nord Sinaï.




De gros titres d'actualités : 


Chez les mystiques ou les membres des écoles de mystères Egyptiens, la tradition enseignait que la Grande Pyramide était importante à plusieurs titres. En dépit du fait que l’on n’y pénétra pas avant l’an 820, les écoles secrètes de l’Egypte pré-chrétienne maintenaient qu’elles en connaissaient bien le tracé intérieur. Elles n’avaient de cesse de prétendre que ce n’était en aucun cas un tombeau ou une chambre funéraire, à l’exception d’une pièce pour l’inhumation symbolique faisant partie du rituel initiatique.

Selon les traditions mystiques, on pénétrait progressivement à l’intérieur à des niveaux variés grâce à des passages souterrains. On dit qu’il y avait différentes pièces à la fin de chaque phase de l’avancée, avec le niveau d’initiation le plus élevé représenté par ce que nous appelons maintenant la Chambre du Roi.

Peu à peu, les découvertes archéologiques vérifièrent les traditions des Écoles des Mystères, et il fut établi en 1935 qu’il existait une connexion souterraine entre le Sphinx et la Grande Pyramide, et entre le Sphinx et l’ancien temple situé sur sa face sud (aujourd’hui nommé le Temple du Sphinx).

En 1935, au moment de l’aboutissement de très importants travaux de déblaiement de sable et de coquillages dirigés par Emile Baraize, qui durèrent onze ans, des histoires remarquables commencèrent à naître au sujet des découvertes réalisées.

Un article de presse, écrit et publié alors par Hamilton M. Wright, traita d’une découverte extraordinaire sous les sables de Gizeh, que l’on refuse aujourd’hui d’admettre. L’article était accompagné de photographies d’origine venant du Dr Selim Hassan, le directeur de l’équipe de recherches scientifiques de l’Université du Caire qui fit la découverte.

Il déclarait : 

"Nous avons découvert un passage souterrain utilisé il y a 5.000 ans par les anciens Egyptiens. Il passe en-dessous de la chaussée menant entre la deuxième Pyramide et le Sphinx. Il permet de traverser la chaussée qui mène de la Pyramide de Chéops à celle de Khephren. A partir de ce souterrain, nous avons déterré une série de puits donnant accès, 125 pieds en contrebas, et de petites pièces et salles latérales."

A peu près au même moment, les médias internationaux publiaient davantage de détails concernant la découverte. Le complexe de connexions souterraines fut construit à l’origine entre la Grande Pyramide et le Temple des hommes-Solaires, car la Pyramide de Khephren fut une structure plus tardive et superficielle.

Le souterrain et ses salles adjacentes furent excavés dans le substratum rocheux ; une prouesse véritablement extraordinaire, si l’on réalise qu’il fut construit il y a des milliers d’années…

Il y a davantage à ajouter à l’histoire des salles souterraines de Gizeh, car les bulletins de presse décrivirent la découverte d’un passage souterrain entre le Temple des hommes-du-Soleil sur le plateau et le Temple du Sphinx dans la vallée.

Le passage avait été dégagé quelques années avant l’autorisation de publier cet article particulier. Les découvertes conduisirent le Dr Selim Hassan et d’autres à croire et à affirmer publiquement que, bien que l’âge du Sphinx ait fait partie des énigmes du passé, il avait pu appartenir au grand projet architectural qui fut organisé et exécuté à dessein en même temps que l’érection de la Grande Pyramide.

Des archéologues firent au même moment une autre découverte majeure. A peu près à mi-chemin entre le Sphinx et la Pyramide de Khephren on découvrit quatre énormes puits verticaux, chacun d’environ 3 m2 conduisant tout droit au fond du calcaire massif. Ces puits portent le nom de “Tombeau de Campbell”, sur les cartes maçonniques et rosicruciennes, et “ce complexe”, dit le Dr Selim Hassan, “se terminait par une cour close, au centre de laquelle une autre cheminée descendait vers une salle flanquée de sept chambres.”

Certaines d’entre elles contenaient d’immenses sarcophages de basalte et granit, scellés, de 6 mètres de haut.

La découverte avançait et, dans l’une des sept chambre, une troisième cheminée verticale menait profondément à une chambre beaucoup plus basse. Au moment de cette révélation, elle était inondée, l’eau recouvrant en partie un unique sarcophage blanc.

Elle fut appelée “Tombeau d’Osiris” et présentée par un montage documentaire télévisé de Mars 1999 comme étant “ouverte pour la première fois”. Explorant ce site en 1935, le Dr Selim Hassan déclara : Nous espérons trouver quelques monuments importants après avoir évacué cette eau. La profondeur totale de cette série de puits est de plus de 40 mètres soit plus de 125 pieds…

Lors du déblaiement de la partie sud du souterrain, on a trouvé une très fine tête de statue, dont chaque détail rend le visage très expressif.

Selon un autre article de l’époque, la statue était un admirable buste sculpté de la Reine Néfertiti, décrite comme “un bel exemple d’un style artistique rare apparu sous le règne d’Amenhotep.”

Aujourd’hui personne ne sait où se trouve cette statue.

L’article décrit aussi d’autres salles et chambres souterraines, toutes reliées par des passages secrets très décorés. Le Dr Selim Hassan révéla non seulement avoir vu des cours intérieures ou extérieures, mais aussi une pièce, qu’il baptisa “Chapelle de l’Offrande”, creusée dans un énorme affleurement rocheux entre le Tombeau de Campbell et la Grande Pyramide.

Au centre de la chapelle, trois piliers verticaux décorés forment un triangle. Ces piliers sont des points d’une haute importance dans cette étude car la Bible signale leur existence.

On peut en conclure qu’Ezra, l’auteur originel de la Torah (397 av. JC), connaissait le tracé souterrain des passages et des salles de Gizeh.

Ce modèle souterrain inspira sans-doute le schéma triangulaire autour de l’autel central des loges maçonniques. Dans Antiquité des Juifs, Josèphe, au premier siècle, écrivit qu’Enoch, figure de l’Ancien Testament, construisit un temple souterrain constitué de neuf salles. Dans un profond caveau à l’intérieur d’une des salles avec trois colonnes verticales, il plaça un lingot d’or de forme triangulaire portant l’inscription du nom absolu de la Divinité (Dieu).

La description des salles d’Enoch était identique à la celle de la Chapelle de l’Offrande sous le sable, juste à l’est de la Grande Pyramide.

Une antichambre ressemblant beaucoup à une chambre funéraire, mais “sans l’ombre d’un doute une pièce d’initiation et de réception” fut découverte plus haut sur le plateau, plus près de la Grande Pyramide, à l’extrémité supérieure d’un passage en pente, taillé profondément dans le roc sur la face nord-ouest de la Chambre de l’Offrande (entre la Chambre de l’Offrande et la Grande Pyramide).

Au centre de la salle se trouve un sarcophage de 12 pieds de long en calcaire blanc de Turah et une accumulation de récipients délicats en albâtre. Les murs sont admirablement sculptés avec des tableaux, des inscriptions et des emblèmes reprenant surtout la fleur de lotus. Les descriptions de récipients d’albâtre et de la fleur de lotus emblématique offrent un parallèle remarquable avec ce que trouva Sir William Petrie en 1904 dans l’atelier du temple au sommet du Mont Sinaï (Horeb).

On découvrit d’autres pièces souterraines, des salles, des temples et des couloirs, certains avec des colonnes de soutènement rondes et d’autres ornées de sculptures murales, portraits délicats de déesses magnifiquement vêtues.

Le rapport du Dr Selim Hassan décrivait d’autres portraits magnifiquement gravés et de nombreuses frises aux splendides couleurs. On prit des photos et un auteur et chercheur qui les vit, le rosicrucien H. Spencer Lewis se souvint qu’il fut “profondément impressionné” par les images. On ne sait pas où sont aujourd’hui ces rares spécimens d’art et ces vestiges, mais selon la rumeur, des collectionneurs privés les passèrents en fraude hors d’Egypte.

Ces détails ne représentent qu’une petite partie du rapport complet du Dr Selim Hassan qui fut publié en 1944 par la Presse Gouvernementale, au Caire, sous le titre Fouilles à Gizeh (en 10 volumes). Cependant, il ne représente qu’un fragment des édifices présents sous le terrain des Pyramides.

Pendant la dernière année du désensablement, des ouvriers mirent à jour la plus surprenante découverte qui fut relatée par les médias internationaux.

Les archéologues responsables de la découverte furent “déroutés” par ce qu’ils avaient sorti de terre : Une cité la plus merveilleusement organisée qu’ils eussent jamais vue. Elle est remplie de temples, de scènes pastorales peintes au pastel, d’ateliers, d’étables et autres bâtiments y compris un palais.

Pourvu de voies navigables hydrauliques souterraines, son parfait système de drainage rivalise avec d’autres équipements modernes.

L’intrigante question qui en découle est : où est aujourd’hui cette cité ? 


Son emplacement secret fut récemment révélé à un petit groupe de personnes qui obtint la permission d’explorer et de filmer la cité. Elle est située au coeur d’un immense réseau de cavernes naturelles du plateau de Gizeh s’étendant loin en direction de l’est sous le Caire. Son accès principal s’effectue par des escaliers taillés dans la roche à l’intérieur du Sphinx descendant jusqu’à la caverne sous le lit du Nil.

L’expédition fit descendre des groupes électrogènes et des radeaux pneumatiques et circula le long d’une rivière souterraine qui menait à un lac d’un kilomètre de large.

La cité, blottie sur les rives du lac, est en permanence éclairée par de larges sphères de cristal présentes aux murs et au plafond de la caverne. On découvrit une seconde entrée de la cité au niveau de l’escalier qui mène aux fondations de l’Eglise Copte du vieux Caire.

D’après les récits d’habitants “vivant sous Terre”, relatés par les livres de la Genèse, d’Asher et d’Enoch, il est possible que cette cité se soit anciennement nommée Gigal.

On fit un court métrage de l’expédition, et un documentaire appelé Chambers of the Deep (Salles des Profondeurs) qui fut par la suite visionné de façon confidentielle. Au départ, il était prévu de présenter les séquences au grand public, mais, pour certains motifs, cela fut différé…

Un objet sphérique en cristal, à plusieurs facettes, de la taille d’une balle de base-ball, fut rapporté de la cité, et son caractère surnaturel fut prouvé lors d’une conférence récente en Australie. Profondément à l’intérieur de l’objet solide, divers hiéroglyphes tournent lentement comme les pages d’un livre quand celui qui tient l’objet en mains en fait mentalement la demande.

Cet objet remarquable révéla une forme inconnue de technologie et fut récemment envoyé à la NASA aux USA à des fins d’analyse…

Des recherches historiques du 20ème siècle relatent que de stupéfiantes découvertes eurent lieu à Gizeh et dans le Sinaï, dont on ne parle plus aujourd’hui, et des rumeurs égyptiennes abondent au sujet de la découverte d’une autre cité souterraine dans un rayon de 45 km autour de la Grande Pyramide.

En 1964, on découvrit plus de 30 énormes cités souterraines dans l’ancien royaume turc de Cappadoce. Une seule de ces cités contenait d’immenses cavernes, des salles et des couloirs que les archéologues estiment avoir appartenus à 2.000 propriétaires, offrant des conditions d’existence à 8.000 ou 10.000 personnes.

Leur existence même prouve de façon évidente que beaucoup de mondes souterrains attendent d’être découverts sous la croûte terrestre.

Les fouilles de Gizeh ont révélé des passages souterrains, des temples, des sarcophages et une cité souterraine qui leur est reliée, et la preuve que les passages souterrains reliaient le Sphinx aux Pyramides est une autre étape vers la confirmation que le complexe a été soigneusement et spécifiquement conçu dans sa totalité.

Démentis officiels : 


Grâce aux fouilles du Dr Selim Hassan et aux techniques modernes de surveillance spatiale, les récits et traditions des anciennes écoles de Mystères d’Egypte qui prétendaient conserver la connaissance secrète du Plateau de Gizeh atteignirent tous le plus haut degré de vraisemblance.

Toutefois, l’aspect le plus énigmatique de la découverte des installations souterrainnes de Gizeh est le démenti répété de leur existence par les autorités égyptiennes et les institutions universitaires. Celui-ci fut si obstiné que les affirmations des Ecoles de Mystères furent mises en doute par le public et suspectées d’avoir été créées de toutes pièces aux fins de mystifier les touristes.

Le comportement formaliste est caractérisé dans une déclaration publique de l’Université de Harvard en 1972 :

"Personne ne doit prêter la moindre attention aux revendications saugrenues concernant l’intérieur de la Grande Pyramide ou les corridors supposés ainsi que les temples, les salles sous le sable entourant la Pyramide, faites par ceux qui s’associent aux soi-disant cultes secrets ou sociétés occultes d’Egypte et d’Orient.

Ces choses existent seulement dans l’esprit de ceux qui cherchent à attirer les amateurs d’énigmes, et plus nous démentons l’existence de ces éléments, plus le public est conduit à supposer que nous cherchons à cacher volontairement ce qui constitue un des grands secrets de l’Egypte.

Mieux vaut ignorer toutes ces prétentions plutôt que de simplement les démentir. Toutes nos fouilles dans le secteur de la Pyramide ont échoué quant à la révélation de quelques passages ou salles souterraines, temples, grottes, ou autres choses du genre que ce soit, à l’exception du seul temple jouxtant le Sphinx."

Cette ligne stratégique aurait pu suffir à contenir l’opinion intellectuelle mais des déclarations officielles démentant formellement l’existence de temples jouxtant le Sphinx avait déjà été émises les années passées.

L’affirmation que chaque pouce de terrain autour du Sphinx et des pyramides avait été exploré en profondeur fut contredite quand le temple proche du Sphinx fut découvert dans le sable et finalement ouvert au public.

Sur des sujets échappant à la politique officielle, il devint évident qu’un haut niveau élevé de censure était appliqué de façon à protéger les religions et conceptions historiques tant occidentales qu’orientales.

Lampes perpétuelles : 




En dépit de découvertes sensationnelles, l’absolue vérité de l’histoire primitive Égyptienne demeure méconnue dans une large mesure, d’où un territoire non cartographié.

Il est dès lors impossible de préciser le nombre de kilomètres de passages souterrains et de salles sous le Plateau de Gizeh qui furent éclairés, mais une chose est sûre : à moins que les anciens aient eu la faculté de voir dans l’obscurité, ces vastes espaces le furent forcément. La même question s’applique à l’intérieur de la Grande Pyramide, et les égyptologues s’accordent sur le fait que l’on n’utilisa pas de torches ardentes car les plafonds ne sont pas noircis.

D’après ce que l’on sait aujourd’hui, il est possible d’estimer à au moins cinq kilomètres de passages sur 10 à 12 étages. Le Livre des Morts et les Textes des Pyramides font tous deux des allusions frappantes aux “Constructeurs de Lumière”, et cette extraordinaire description peut s’appliquer à un corps de métier responsable de l’éclairage des zones souterraines de leurs complexes.




Jamblique rend compte d’un fascinant récit tiré d’un très ancien papyrus égyptien issu d’une mosquée du Caire. Il s’agit d’un extrait, par un auteur inconnu du 1er siècle de notre ère, comptant l’exploration d’un groupe de personnes qui parvint à l’entrée d’une des salles souterraines autour de Gizeh.

Ils décrivirent leur expérience :

"Nous arrivâmes à une salle. Quand nous entrâmes, elle s’éclaira de manière automatique grâce à la lumière d’un tube de la hauteur d’une main d’homme étendue (environ 15 cm), situé à la verticale dans un angle. Comme nous approchions du tube, il brillait davantage...

les esclaves furent effrayés et s’enfuirent en courant dans la direction d’où nous étions venus ! Quand nous le touchâmes, il s’éteignit. Nous fîmes notre possible pour que le tube brilla de nouveau, mais il ne donnait plus de lumière. Dans quelques salles les tubes lumineux fonctionnaient, dans d’autres, non.

Nous brisâmes l’un d’entre eux qui laissa s’écouler des perles d’un liquide argenté qui roulaient rapidement sur le sol jusqu’à disparaître dans les fentes (du mercure ?).

Au fil du temps, les tubes lumineux commençèrent progressivement à s’éteindre et les prêtres les enlevèrent pour les entreposer dans un caveau souterrain spécialement conçu à cet effet au sud-est du plateau.

Ils attribuaient la création de ces tubes lumineux à leur Imhotep bien-aimé, pensant qu’il reviendrait un jour les rallumer."

Une pratique courante des Egyptiens de l’antiquité consistait à sceller des lampes allumées dans les sépultures de leurs défunts comme offrandes à leur divinité ou pour accompagner les décédés sur la voie les menant à “l’autre rive”.

Parmi les tombes proches de Memphis (ainsi que dans les temples de l’Inde brahmanique) , on découvrit des lampes en fonctionnement dans des salles ou des récipients hermétiquement scellés, que la soudaine exposition à l’air libre éteignit ou provoqua l’évaporation du combustible.

Plus tard les Grecs et les Romains maintenirent cette tradition et même la consacrèrent; non seulement avec de réelles lampes, mais aussi par des reproductions miniaturisées de terre cuite, ensevelies avec les morts. Quelques lampes furent protégées dans des récipients cylindriques, et il existe des exemples pour lesquels l’huile d’origine fut retrouvée parfaitement conservée après plus de 2.000 ans…

Il existe des preuves évidentes, confirmées par témoins oculaires, que les lampes éclairaient tant que les sépultures étaient scellées, d’autres rapportant qu’elles brûlaient encore quand les caveaux furent ouverts des centaines d’années plus tard.

La capacité à composer un combustible qui se renouvelait de lui-même aussi rapidement qu’il était consumé fut source d’un différend considérable parmi les auteurs médiévaux, et de nombreux documents existent, avec des ébauches d’arguments.

Après avoir dûment constaté l’évidence même, il semble bien que les anciens prêtres-chimistes égyptiens possédaient, dans l’éventail de leurs compétences, celle de manufacturer de leurs mains des lampes qui brûlaient indéfiniment ou du moins pendant des périodes considérables.

De nombreuses autorités ont écrit sur le thème des lampes perpétuelles, et W. Wynn Wescott estime le nombre d’auteurs ayant pris ce sujet en considération à plus de 150 et H. P. Blavatsky à 173.

Bien que les différents auteurs parviennent à des conclusions variées, une majorité admet l’existence des lampes prodigieuses. Seuls quelques uns soutenaient que les lampes brûlaient éternellement, mais beaucoup voulaient bien admettre qu’elles pouvaient rester allumées plusieurs siècles, sans renouvellement du combustible.

On pensait généralement que les mèches de ces lampes perpétuelles étaient faites d’asbeste tressée ou enroulée, que les premiers alchimistes appelaient ” laine de salamandre”. Il sembla que le combustible fût un produit de la recherche alchimique, peut-être fabriqué dans le temple du Mont Sinaï.

Plusieurs formules de préparation de ce combustible pour les lampes furent sauvegardées. Dans l’œuvre profonde d’H.P. Blavatsky, Isis Dévoilée, l’auteur recopie deux formules compliquées, empruntées aux auteurs primitifs, d’un combustible qui “une fois fabriqué et allumé, brûlera d’une flamme perpétuelle en tout lieu de votre choix”.

Certains croient que les prétendues lampes perpétuelles des temples étaient des dispositifs mécaniques truqués, et l’on colporta des explications bien peu sérieuses.

Il existe en Egypte d’importants gisements souterrains d’asphalte et de pétrole et certains en concluent que les prêtres reliaient les mèches d’asbeste à un gisement pétrolifère par un conduit secret qui reliait une ou plusieurs lampes.

D’autres pensent que la croyance selon laquelle les lampes brûlaient indéfiniment dans les tombes s’explique par certains cas de vapeurs ressemblant à de la fumée qui se déversaient à l’entrée des caveaux nouvellement dégagés.

Des groupes qui y sont entrés par la suite, ayant découvert des lampes répandues au sol, assurèrent qu’elles étaient la source des vapeurs. Il y eut quelques histoires bien documentées au sujet de la découverte des lampes perpétuelles non seulement en Egypte mais aussi en d’autres parties du monde.

Montfaucon de Villars fit ce récit fascinant de l’ouverture du caveau de Christian Rosenkreuz. Quand les Frères entrèrent dans le tombeau de leur illustre fondateur 120 ans après son décès, ils trouvèrent une lampe perpétuelle éclairant brillamment dans une suspension au plafond. “Une statue en armure (un robot ?) détruisit la source de lumière quand on ouvrait la salle.”

Cela se rapproche étrangement des récits des historiens arabes qui affirmaient que des automates gardaient les galeries sous la Grande Pyramide.

Un récit du 17ème siècle donne une autre version de ce robot. Dans le centre de l’Angleterre, on découvrit un tombeau étrange contenant un automate qui bougeait quand un intrus marchait sur certaines dalles du sol du caveau. A cette époque, le différend Rosicrucien était à son apogée, aussi décida-t-on que le tombeau était celui d’un initié Rose-Croix.

Un campagnard découvrit le tombeau et trouva l’intérieur brillamment éclairé par une lampe suspendue au plafond. Comme il marchait vers la lumière, son poids fit glisser les pierres du sol et, instantanément, une silhouette assise dans une lourde armure commença à bouger. Elle se dressa de façon mécanique et frappa la lampe avec une baguette de fer, la détruisant et empêchant ainsi la découverte de la substance secrète entretenant la flamme.

On ignore combien de temps la lampe avait brûlé, mais le compte-rendu fait état d’un nombre d’années considérable…

Par Tony Bushby ” 2003 d’après le Chapitre 8 de son livre The Secret in the Bible publié par Stanford Publishing Group et Joshua Books, PO Box 5149, Maroochydore BC, Qld 4558, Australia.

CES ETRANGES PYRAMIDES DONT ON PARLE PEU

Si nous regardons les civilisations qui ont peuplé notre planète depuis l'aube des temps, la forme pyramidale des monuments semble être plus apprécié par les anciens bâtisseurs et, dans le même temps, le plus énigmatique.

La pyramide a été utilisé comme un type d'architecture en particulier en Egypte et un certain nombre de civilisations précolombiennes dans le 'Amérique centrale. Cependant, plusieurs archéologues contemporains continuent de découvrir des édifices monumentaux de forme pyramidale dans tous les coins de la planète.

En voici quelques unes parmis les moins connues


LES 7 PYRAMYDES DE L'ILE MAURICE





D'énormes murs d'enceinte en pierre, un système d'ancienne route, pavée et en partie des plateformes surélevées avec des falaises impressionnantes,des rampes surplombant la mer, un vaste système hydraulique de terrasses , ainsi que des grottes organisée le long du sud au nord, . Cela pourrait être un vaste complexe construit dans les temps anciens par une civilisation avancée.




CES PYRAMIDES QUE LES EGYPTIENS REFUSENT DE VOIR





Au nord du Soudan, dans le désert de Nubie, se cache un trésor de 220 pyramides, tombeaux des rois et princesses de Méroé et de Napata, classées patrimoine mondial par l’Unesco. Le roi Kashta, ses fils et petits-fils Piânkhy, Shabaka et Tanoutamon y sont enterrés. 
Nous avons visité par le passé ces pyramides situées à une centaine de kilomètres au nord de Khartoum, dans la cité antique de Méroé. De petite forme, pointues et à pente forte, ces pyramides avaient fait la grandeur du royaume koushite. 

Un royaume qui avait connu trois périodes (Kerma, Napata et Méroé). Kerma était un rival de l’ancien empire égyptien. Les Kerméens avaient même réussi à couper les routes qui permettaient aux pharaons d’Egypte d’acheminer des produits de l’Afrique noire. Les pharaons de la XVIIIe dynastie, Ahmosis et ses successeurs, avaient engagé une entreprise coloniale et occupé le royaume de Kerma pendant plus de cent ans.
Les pharaons égyptiens avaient mis tout leur poids pour effacer les traces civilisationnelles de Kerma. Ils avaient échoué. « La prospérité du royaume de Kerma était fondée sur l’exploitation des terres agricoles, le développement de l’élevage, l’exploitation des richesses minières, notamment l’or, mais le pays a su tirer profit de sa position stratégique sur les routes commerciales entre le Sahara et la mer Rouge, l’Egypte et l’Afrique », écrit l’égyptologue Brigitte Gratien.



L’histoire est là

Napata était le royaume qui avait succédé à celui de Kerma et qui était situé à Djebel Barkal, à la frontière entre le désert et les terres cultivées du Nord-Soudan. Napata avait pris sa revanche.
 Le roi Piânkhy avait réussi à dominer toute l’Egypte à partir de la Nubie. Cinq pharaons de la XXVe dynastie étaient originaires de Napata, dont Chabaqa, Chabataqa et Taharqa. Méroé constituait la troisième période du royaume koushite.

 Il avait existé en 2500 avant Jésus-Christ. Méroé était aussi fort que sa voisine du nord. Il était même arrivé à occuper toute l’Egypte pendant presqu’un siècle, marqué par le règne de cinq pharaons noirs.
 Le royaume Méroé ne fut battu que par les Ethiopiens, après un âge d’or particulièrement long. « Les Méroïtes possédaient une administration efficace, des armées redoutées, des temples sans cesse embellis, une écriture ingénieuse, une agriculture prospère.
 Et surtout, ils tenaient les seules voies de commerce terrestre reliant le monde méditerranéen à l’Afrique subsaharienne, les pistes par où transitaient les caravanes convoyant l’or, l’ivoire, l’ébène, les peaux de panthère, les plumes d’autruche, les singes et les fauves », écrit l’historien Claude Rilly.





LES 35 PYRAMIDES DE SEDEINGA AU SOUDAN





Au moins trente-cinq petites pyramides, ainsi que des tombes, ont été découvertes sur un site appelé Sedeinga au Soudan. Découvertes entre 2009 et 2012, les chercheurs sont surpris de voir à quel point les pyramides sont densément concentrées.

En une seule saison, l'équipe de fouilles a découvert treize pyramides entassées sur environ 500 mètres carrés. Elles datent d'environ 2 000 ans, à une époque où fleurissait le Royaume de Koush au Soudan. Il partageait une frontière avec l'Egypte et, plus tard, avec l'Empire romain.


L'aspiration des habitants du royaume à construire des pyramides a apparemment été influencé par l'architecture funéraire égyptienne. A Sedeinga, affirment les chercheurs, la construction des pyramides a continué pendant des siècles.






« La densité des pyramides est énorme », a déclaré le chercheur Vincent Francigny, associé de recherche à l'American Museum of Natural History à New York, et directeur des fouilles de la Mission Archéologique Française à Sedeinga, « Parce que cela a duré des centaines d'années, ils ont construit toujours plus de pyramides, et au bout de quelques siècles, ils ont commencé à remplir tous les espaces qui étaient encore disponibles dans la nécropole. »


Les plus grandes pyramides découvertes ont environ 7 mètres de large à leur base et la plus petite, vraisemblablement construite pour l'enterrement d'un enfant, étant longue de seulement 75 cm !


Les sommets des pyramides ne sont pas joints, probablement endommagés par le passage du temps et la présence d'une route de caravane de chameaux.


Francigny pense que le sommet devait être orné d'une pierre représentant un oiseau ou une fleur de lotus au-dessus d'un orbe solaire.


Les constructions ont continué jusqu'à ce que, finalement, ils aient manqué d'espace pour construire les pyramides. « Ils ont atteint un point où il y avait tellement de gens et de tombes qu'ils ont dû réutiliser les plus anciennes » explique Francigny.

Le cercle intérieur


Parmi les découvertes, il y avait plusieurs pyramides comprenant une structure circulaire interne (Voir photo ci-dessus) reliée aux quatre coins de la pyramide par des croisillons. Claude Rilly, le chef d'équipe, et Francigny ont noté dans leur rapport que le symbole de la pyramide ressemble à un « jardin à la française ».


Seule une pyramide, en dehors de Sedeinga, est connue pour avoir été construite de cette façon. La raison pour laquelle les habitants de Sedeinga utilisaient cette conception reste encore un mystère. « Cela n'ajoutait rien à la solidité ou à l'aspect externe du monument », écrivent Rilly et Francigny.


Cependant, une découverte faite en 2012 pourrait fournir un indice : « Ce que nous avons découvert cette année est très curieux », ajoute Francigny, « la tombe d'un enfant n'était recouverte que par une sorte de cercle, presque complet, en brique. »






Il est possible que lorsque la construction des pyramides est devenue une mode à Sedeinga, elle ait était combinée avec une tradition locale, la construction d'un cercle, ou tumulus. Ce qui aurait entraîné la naissance de pyramides avec des cercles en leur sein.


Une offrande pour grand-mère ?


Les tombes à côté des pyramides ont été largement pillées, peut-être dans l'antiquité, lorsque les archéologues ont fait les fouilles.


Les chercheurs ont trouvé des restes de squelettes et, dans certains cas, des artéfacts.

L'une des découvertes les plus intéressantes était une table d'offrandes trouvée dans les vestiges d'une pyramide. Elle semble dépeindre la déesse Isis et le dieu à tête de chacal, Anubis. Elle porte une inscription, rédigée en langue méroïtique, dédié à une femme appelée « Aba-la », qui peut être un surnom pour « grand-mère », selon Rilly :

Oh Isis! Ô Osiris!

Ceci est Aba-la.
Faites-lui boire de l'eau en abondance.
Faites-lui manger le pain en abondance.
Faites-lui faire servir un bon repas.

La table d'offrande avec l'inscription était un dernier adieu à une femme, peut-être une grand-mère, enterrée dans une pyramide, il y a près de 2 000 ans.
.

A noter également concernant les pyramides soudanaises les fameuses pyramides  de Meroé.



LA PYRAMIDE MYSTERIEUSE DE GALILEE




Des chercheurs ont découvert une structure en pierre géante immergée en mer de Galilée. Clairement construite par l'Homme, elle pourrait bien dater du troisième millénaire avant notre ère... Nurserie de poissons ou tour funéraire ? Retour sur cette mystérieuse découverte. 

Des scientifiques ont découvert une structure de pierre géante sous les eaux de la mer de Galilée. Ce lac d'eau douce, aussi appelé lac de Tibériade, se situe au nord-est d'Israël. Il est principalement alimenté par le Jourdain, qui s'y déverse au nord et continue son chemin par le sud. Habitées depuis des millénaires, les bordures du lac regorgent de vestiges historiques. Le monument a été trouvé à 500 m du site préhistorique Ohalo I et à 1,2 km du site Ohalo II, datant du dernier âge de glace, voilà près de 19.400 ans. 

La construction, de forme conique, présente une base de 70 m de diamètre et mesure 10 m de haut. Les chercheurs estiment que le cône dans son ensemble pèse quelque 60.000 tonnes. La structure aurait été une sorte de cairn géant, constitué de pierres ─ des basaltes ─ empilées les unes sur les autres. La forme et la composition de ce monument ne ressemblent à aucune structure naturelle déjà rencontrée. D'après l'équipe scientifique, dont les résultats sont publiés dans l'International Journal of Nautical Archaeology,ce monticule imposant a donc été construit par l'Homme. 







Un monument construit voilà plus de 4.000 ans ? 

Pour déterminer le rôle d'une telle structure, il faut d'abord comprendre comment elle a été construite. Le mégalithe est submergé, mais l'a-t-il toujours été ? Il se peut que le cairn ait été réalisé sous l'eau. Par ailleurs, ce type de monument rocheux attire les poissons. Le site pourrait alors être une sorte de zone de pisciculture, ou plutôt une nurserie de poissons. Des structures de ce type ont déjà été retrouvées en mer de Galilée. Elles étaient toutefois beaucoup plus petites, leur diamètre ne dépassant pas quatre mètres ! Les nurseries de poissons déjà mises au jour n'ont pas encore été datées. 

Il est aussi possible que ce monument ait été construit à la surface, lorsque le niveau de l'eau du lac était plus bas. L'immersion a pu se produire soit à la suite de mouvements tectoniques, soit à cause de la montée des eaux. Dans ce contexte, établir la relation entre les communautés humaines ayant vécu autour du lac au fil de l'histoire et cette construction est essentiel, pour la dater et déterminer son rôle. D'après les chercheurs, la théorie la plus probable est que la structure soit un mégalithe du troisième millénaire avant J.-C. 







Au cours de l'âge du bronze et de l'âge du fer, la zone où a été décelée la structure mégalithique était un site florissant. Toutefois, c'est seulement au troisième millénaire avant notre ère que de telles structures peuvent être mises en relation avec des groupes de populations humaines établis. Tel fut le cas d'un site mégalithique similaire, Khirbet Beteiha, retrouvé submergé à une trentaine de kilomètres : il comprend trois cercles de pierres concentriques, dont le plus grand affiche 56 m de diamètre. S'il s'agit là de l'hypothèse la plus probable, il faudra attendre l'excavation de la structure pour en être sûr. 


Le Mystere des pyramides de Güimar (Iles Canaries)



Sur la côte est de l'île de Ténérife se trouve un parc ethnologique, c'est celui des pyramides de Guïmar.


Mais qu'est ce donc, une vague fumisterie ? Un parc à touristes supplémentaire ? Une découverte ethnologique et historique de premier ordre ? Pour se faire une opinion, commençons l'histoire à son début.

Découverte des pyramides par Thor Heyerdahl


Tout débute avec Thor Heyerdahl (1914-2002).

Au début des années 1990, ce norvégien, féru d'archéologie, mythologie, botanique, océanographie et d'anthropologie ... s'intéresse de prés à l'île de Ténérife.
En particulier à la région de Guimar ou il étudie les édifices à étages.
Jusqu'alors, sur l'île, ces constructions n'éveillaient que peu d'intérêt. On considérait jusqu'alors qu'elles avaient été construites par les agriculteurs que les pierres gênaient dans leur travail.... ces pierres ont d'ailleurs été réutilisées pour construire les habitations environnantes et si aujourd'hui on compte 6 pyramides sur l'île, il reste des traces prouvant qu'on en a dénombré jusqu'à 9.

Pour Thor, cette thèse des constructions élaborées par les paysans ne tient pas ... certaines pierres sont taillées, et ne proviennent pas des champs alentours mais sont d'origine volcanique, il semblerait de plus que des fondations aient été creusées à la base des pyramides.

En étudiant d'un peu plus prés ces édifices, il se rend compte qu'ils sont très précisément orientés nord-sud, exactement sur l'axe du solstice d'été.

Le chaînon manquant entre les continents


Thor Heyerdhal y voit là une preuve supplémentaire lui permettant d'étayer sa thèse suivant laquelle des peuples auraient traversé l'Atlantique bien avant Christophe Colomb, il imagine immédiatement un lien entre ces pyramides et celles d'Amérique du Sud.
Cela va tout à fait dans le sens des recherches qu'il avait menées jusque là, le point d'orgue ayant été la fameuse traversée du Pacifique par le Kon Tiki en 1948 qui lui a permis de prouver que la traversée des océans était possible avec une embarcation faite de balsa.

Un site ethnologique, mais pas de preuves scientifiques


Dès lors le site de Guimar est considéré comme ethnologique.

Malheureusement Thor n'a pas réussi à dater les pyramides ; mais il est néanmoins parvenu à montrer le fait troublant que l'orientation de celles-ci était exactement sur le solstice d'été, c'est à dire que chaque 21 juin, en se plaçant au sommet des pyramides, on peut observer le rare phénomène de double coucher du soleil. Ce jour là, l'astre se couche dans l'alignement des pyramides derrière un crête dénommée "la Caldera de Pedro Gil" pour réapparaître quelques instants plus tard à travers une ouverture rocheuse.
Ceci confère alors aux pyramides la double fonction de marqueur du solstice et d'observatoire astronomique.

Voilà donc l'histoire des pyramides de Guimar ... alors qu'est ce donc ?

Des constructions élaborées par les paysans pour déblayer leurs champs, faire sécher des fruits ?
Des observatoires astronomiques ?
Des lieux de cultes de civilisations plus anciennes ?
Aujourd'hui le mystère reste entier ... mais pour vous faire votre propre opinion, ne pas hésiter à vous rendre sur site.
En 1998, Thor a ouvert les portes de l'endroit et aujourd'hui à côté des pyramides, un petit musée expliquant les thèses de cet archéologue norvégien passionné est érigé.

En Novembre 2005, les reproductions des embarcations ayant permis à Thor Heyerdhal de traverser les océans ont été fortement endommagées. Afin de les restaurer, son ami bolivien Braulio Corane a quitté les rives du lac Titicaca en Février 2007.


LA PYRAMIDE DE CAIUS CESTIUS ( ROME)





A l’extérieur de la porte San Paolo, se trouve l’étrange Pyramide de Caius Cestius, monument funéraire que ce fonctionnaire a fait ériger pour sa sépulture entre le 18 et le 12 av JC.
Haute de 37 mètres, en ciment recouvert de plaques des marbres, elle s'inspire des modèles égyptiens, très à la mode à Rome après la conquête de l'Egypte en 30 av JC.

Une petite porte sur le côté ouest à été ouverte au XVIIème - lorsque la pyramide a été retrouvée - introduit dans le cunicule qui conduit à la cellule funéraire rectangulaire.
Les murs sont crépis et peints, avec des candelabres qui encadrent des figures féminines.
Au IIIème  siècle le monument a été incorporé au Mur d’Aurélien.



DES PYRAMIDES AU PÔLE SUD



Des chercheurs américains et européens annoncent avoir découvert des pyramides en Antarctique. Les pyramides ont la forme de ceux en Égypte et elles seraient artificielles, donc construite par la main de l’Homme. 



En 2012 la nouvelle avait été sortie de la découverte de ces pyramides, mais maintenant les équipes ont pu aller investiguer directement sur les sites.
L’emplacement n’a pas été précisée, mais les chercheurs affirment que la première pyramide est sur la rive et les deux autres sont situés à 16 kilomètres de la côte.
La datation de ces trois structures serait de 2600 ans avant Jésus Christ.


PYRAMIDE DE GANUNG PADANG (INDONESIE)





Danny Hilman, géologue senior du Centre indonésien de recherche géotechnique et est titulaire d'un doctorat de l'Institut de Technologie de Californie, est sur le point de ce qui pourrait être une découverte choquante sur l'histoire de la plus ancienne pyramide de l'humanité la planète.
L'équipe dirigée par Hilman travaille sur le site de Ganung Padang, une colline cachée parmi les volcans en Indonésie, à environ 120 kilomètres au sud de Jakarta, plein de pierres géantes qui en font le plus grand site mégalithique Asie du Sud.
Le site Ganung Padang, découvert en 1914 par deux colons hollandais, s'étend sur la colline avec une série de terrasses construites avec des pierres rectangulaires énormes d'origine volcanique. Mais, selon Hilman, les mégalithes de la surface ne sont que la pointe d'un immense iceberg. Le chercheur, en fait, croit que les pierres sont visibles sur la colline, en fait, le sommet d'une pyramide, une réalisation beaucoup plus complexe que la simple terrasses.




Hilman est convaincu que l'ancienne structure pourrait précéder le début officiel de l'histoire de dix mille ans ou plus, ce qui suggère que Java peut avoir existé une civilisation très avancée. «Il est vieux de plus de 9000 ans, pourrait remonter jusqu'à il ya 20 mille ans," dit Hilman. «C'est fou, mais ce sont les données." Si l'hypothèse du chercheur est correcte, nous sommes sur le point d'une découverte qui pourrait réécrire l'histoire de l'humanité.
Hilman a trouvé des preuves qui confirment que la plupart de la colline de 100 mètres est en fait artificiel, construit sur des milliers d'années par les trois cultures différentes.
Merci à une série d'enquêtes menées avec le radar au sol, carottage et analyse des murs, les chercheurs ont observé des tendances dans l'agencement des roches qui témoignent de l'origine non-naturelle.
Certains blocs sont maintenus ensemble par une sorte de mortier et sous des tas d'outils en pierre ont détecté l'existence de chambres souterraines, les escaliers et les terrasses, toutes les preuves de construction massive, le résultat de la conception et de la planification.
La découverte la plus excitante a été offert par la datation au radiocarbone d'échantillons trouvés sur le site, ce qui indique qu'il peut y avoir une structure construite il ya plus de 9000 ans.
"La structure du bâtiment est très bien», dit Hilman. "Nous concluons que l'agencement des joints en forme de colonne limite le périmètre entier de la colline. Nous croyons qu'il ya une construction à couche unique, mais plusieurs niveaux ".
Tel que rapporté par le Sydney Morning Herald , Hilman soupçonner que la pyramide a été construite en trois phases au cours de millénaires, et de trois cultures différentes. «C'est vraiment énorme», dit Hilman. «Les gens croient que l'âge de pierre était primitive, mais ce monument montre que c'est une opinion erronée."
La recherche a tellement impressionné le président de l'Indonésie, Sasulo Bambang Yudhoyono, d'avoir nommé un groupe de travail à l'appui de l'enquête, donnant à l'ensemble un contingent militaire de terrain pour la défense de la place. Le président Yudhoyono a demandé à l'équipe de faire des enquêtes rapides, décrivant les travaux de chercheurs comme une "tâche d'importance historique, d'une grande valeur pour l'humanité."

LES MYSTERIEUSES PYRAMIDES EGYPTIENNES






En Août 2012, Angela Micol, archéologue amateur Caroline du Nord, a dit qu'il a repéré deux possibles complexe de la pyramide inconnue en Egypte, l'identification d'un groupe énorme, près de trois fois la taille de la Grande Pyramide de Gizeh.

Les sites ont été identifiés par Micol grâce à des images satellites de Google Earth. [Voir article 2012 ].

Apparemment, certains confirmation viendrait d'une expédition envoyée avant les coordonnées de la découverte, qui a révélé l'existence de cavités et les puits. "En outre, il a été constaté que ces formations sont étiquetés comme des« pyramides »sur des cartes différentes de l'antiquité", a déclaré à Micol Discovery Nouvelles .

"Les images parlent d'elles-mêmes", a déclaré le chercheur quand il a annoncé sa découverte l'année dernière. «Il est très clair que les sites peuvent contenir, mais la recherche de terrain est nécessaire pour vérifier ce qu'ils sont, à savoir des pyramides."

La découverte de Micol couvre deux sites potentiels situés à environ 90 kilomètres de distance. Le premier est situé à seulement 12 kilomètres de la ville d'Abu Sidhum, le long du Nil, offre quatre monticules dans la position inhabituelle.

Le second complexe, cependant, est situé à environ 100 kilomètres au nord du Fayoum Oasis et a un monticule tronqué à environ 150 pieds de large, et trois petits monticules en alignement en diagonale.

"Après les nouvelles de la découverte, j'ai été contacté par un couple d'Egyptien qui prétendait avoir des références historiques importantes à deux sites", a déclaré Michal.Il est Kamal Medhat El-Kady, ancien ambassadeur du Sultanat d'Oman et sa femme Haidy Farouk Abdel-Hamid, un avocat et ancien conseiller à la présidence égyptienne.Le couple est connu pour être le meilleur collecteur de cartes anciennes, de vieux documents, livres, manuscrits et rare historique et politique.
Tel que rapporté par le couple, les formations observés par Micol près d'Abu Sidhum et dans le Fayoum sont tous deux déclarés comme complexe pyramidal dans quelques vieilles cartes et documents.
"Pour ce cas seulement, il n'y a pas moins de 34 cartes et 12 anciens documents qui indiquent les deux sites», a déclaré Farouk El-Kady et Discovery Nouvelles. Comme pour le site près du Fayoum, le couple a poursuivi trois cartes en particulier: une carte de Robert de Vaugoudy datant de 1754, une carte rare dessinée par les ingénieurs de Napoléon Bonaparte, et une carte et documents appartenant au major Brown, irrigation directeur de la Basse-Egypte à la fin des années 1880.
Les documents indiquent l'existence de deux pyramides enfouies qui ajouteraient aux pyramides déjà connues d'El-Lahun et Hawara. "Ils seraient les plus grandes pyramides connues de l'humanité», explique le couple. "Nous ne pensons pas que nous exagérons quand nous disons que les deux structures seraient éclipser les pyramides de Gizeh."
Les sources documentaires indiquent que les anciennes pyramides sur le site du Fayoum auraient été délibérément enterrés, dans une tentative de «damnatio souvenirs», c'est-à dissimuler délibérément la mémoire collective. Mais pourquoi?
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Bien que le site du Fayoum n'a pas encore été étudié de près, il a plutôt atteint une expédition préliminaire de près d'Abu Sidhum, fournissant des données pertinentes à comparer avec les documents fournis par El-Kady et Farouk.
"Ceux qui se cache piles certainement un site antique," il a dit Discovery Nouvelles Mohamed Aly Soliman, un archéologue menant l'expédition. "Tout d'abord, la terre autour du site est un terrain plat normal. C'est juste désert, le sable et les monticules pietre.I, cependant, sont différents. Ils sont trouvés des tessons de poterie et de coquillages partout. "

Citant les travaux de Ioannis Liritzis, professeur de archéométrie de l'Université de l'Egée, Soliman rappelle que les roches utilisées dans la construction des pyramides contiennent jusqu'à 40% de fragments de carapace.
Soliman estime que les habitants avaient soupçonné que les formations étaient d'origine ancienne. En effet, dans le passé, ont essayer de creuser un des monticules, mais a dû abandonner en raison de l'extrême dureté de la roche qui, selon la Micol, pourrait être granit.
«Nous avons utilisé un détecteur de métal sur le monticule et a constaté que les deux sites ont une cavité orientée nord longue", a déclaré Soliman. "Il doit être en métal à l'intérieur de la cavité." Soliman souligne également que la plupart des pyramides égyptiennes montre une entrée de tunnel face au nord, preuves à l'appui de l'hypothèse des deux chercheurs.
C'est possible qu'un groupe d'archéologues amateurs ont fait une découverte qui va éclipser les pyramides de Gizeh? Ou les monticules sont rien de plus que des formations rocheuses naturelles affleurent? "Pour déterminer si c'est quelque chose de naturel ou artificiel, doit effectuer une enquête approfondie sur le terrain. Il ne suffit pas d'identifier une dune de sable dans le désert ", dit l'archéologue Patrick Rohrer Discovery Nouvelles.
Pour cette raison, Micol a créé la Fondation d'archéologie satellite, une fondation à but non lucratif, mais pour la collecte de fonds pour mener à bien la recherche.
"En raison de l'agitation et des difficultés économiques en Egypte, la vie n'est pas facile pour les archéologues», explique Michal. "Pour le moment, nous n'avons pas trouvé de archéologue égyptien intéressés à en savoir un peu plus sur ces sites."
"Maintenant que nous avons un certain document de rétroaction, mon but est d'aller en Egypte avec une équipe de scientifiques et de vidéastes aux États-Unis, avec l'objectif de valider la preuve trouvée dans l'avant-équipe de l'expédition et de montrer que ces sites sont complexes pyramidaux oubliés », a déclaré Michal.



LA MYSTERIEUSE PYRAMIDE DE FALICON






La petite pyramide de Falicon continue à perdre ses pierres. A terme, on ne la dis­tin­guera même plus. (Photo Patrick Blanchard)
A quelques kilo­mètres au nord de Nice, sur le ter­ri­toire de la commune de Falicon(1), une petite pyramide érigée à flanc de colline a de plus en plus de mal à défier le temps.
L’érosion et le van­da­lisme trans­forment pro­gres­si­vement en tas de pierres informe ce monument de huit mètres de côté sur six de haut environ, implanté au-​​dessus de l’ouverture d’un gouffre. Ce qui reste du sommet est très lar­gement dégradé et deux faces sont pra­ti­quement effon­drées. Un état d’abandon regret­table car la plupart des experts en la matière s’accordent à dire que la construction remonte au IIe siècle après Jésus-​​Christ. Certes, de nom­breuses thèses ont été émises à son propos. Trop sans doute, ce qui a cer­tai­nement nui à la cré­di­bilité de sa valeur his­to­rique. Cer­tains y ont vu l’œuvre des Tem­pliers que l’on met à toutes les sauces depuis leur " brû­lante " élimi­nation par Phi­lippe le Bel. On a parlé aussi d’un centre cultuel des Celtes qui occu­paient la région avant la colo­ni­sation romaine.
Tou­tefois, les connais­sances acquises sur ce peuple montrent que celui-​​ci ignorait la forme pyramidale.
Il a quelques années, une thèse a même défendu l’idée que la construction n’avait pas plus de deux cents ans car ce n’est qu’en 1803 que son exis­tence est men­tionnée pour la pre­mière fois dans un livre signé par un auteur niçois. D’après les tenants de cette version, le bâtisseur était un contem­porain de Bona­parte qui avait voulu rendre ainsi un hommage au général devenu Premier Consul après la cam­pagne d’Egypte. Mais on peut alors se demander pourquoi cet homme n’a pas fixé le témoi­gnage de son admi­ration cour­tisane en un lieu plus visible et acces­sible plutôt que dans un coin de cam­pagne, loin des regards.



Le culte du dieu Mithra

En fait, pra­ti­quement tous les véri­tables spé­cia­listes défendent depuis de nom­breuses années l’hypothèse romaine. Le monument aurait été édifié en l’honneur de Mithra, dieu bel­li­queux conduisant ses ado­ra­teurs à la vic­toire. Une divinité très popu­laire parmi les légion­naires de l’époque des Césars qui l’avaient connue et " adoptée " au cours de leurs expé­di­tions sur les bords du Tigre et de l’Euphrate où elle sévissait à l’état " endémique "…
Le culte de Mithra se déroulait tou­jours dans des sanc­tuaires édifiés à proximité ou à l’intérieur de grottes. Or, la pyramide de Falicon domine l’ouverture d’un gouffre, la grotte dite de " Rata­pi­gnata ". Et celle-​​ci pré­sente bien les carac­té­ris­tiques des lieux de culte de Mithra : pré­sence de sept marches d’accès (cor­res­pondant aux sept degrés d’initiation), exis­tence d’un cours d’eau et une entrée donnant vers le midi.
Reste la question de la forme pyra­midale du sanc­tuaire. " Les légions romaines étaient en partie com­posée de troupes auxi­liaires enrôlées dans les pays conquis, explique le pro­fesseur Henri Broch(2), directeur du labo­ra­toire de bio­phy­sique à la faculté des sciences de l’université de Nice-​​Sophia-​​Antipolis. On peut donc penser qu’il y avait des Egyp­tiens parmi la gar­nison de Ceme­nelum (Cimiez). "

On peut d’ailleurs ajouter à l’appui que le culte de Mithra était par­ti­cu­liè­rement répandu en Basse-​​Egypte dans les pre­miers siècles notre ère.
Plus de mystère donc sur l’origine de la pyramide de Falicon ? Il serait auda­cieux d’être aussi formel : la thèse " Mithra " com­porte, elle aussi, une part trop impor­tante de déduc­tions pour qu’on la considère incontestable.
Tou­tefois, à l’avenir, on ne pourra ni l’étayer ni en avancer une autre de manière cir­cons­tanciée si la pyramide de Falicon continue à se dégrader. Pauvre monument qui continue à maigrir car ses pierres se des­cellent et sont emportées par des col­lec­tion­neurs un peu " allumés " ou de simples vandales.
Mais, situé sur une pro­priété privée, cet édifice n’a jamais fait l’objet d’un clas­sement à l’inventaire du Patri­moine qui aurait permis que des mesures de pré­ser­vation soient prises.
Une démarche faite en ce sens au début des années 80 par la muni­ci­palité de Falicon est demeurée sans effet. Et depuis, plus rien n’a été tenté.








LES ETONNANTES PYRAMIDES CUBAINES






En 2000, un groupe de chercheurs tombe sur un site bien étrange, dans les profondeurs au large du cap Saint-Antoine, au nord-ouest de Cuba : une ville enfouie, comme la mythique Atlantide. L'année suivante, un autre groupe de chercheurs se lance dans la même expérience, pour vérifier. Et leur constat a été identique.
Ces ruines ont pu être découvertes grâce à des sonars puissants, pouvant reconnaître des structures de pierre jusqu'à presque 200 mètres de profondeur. Les scientifiques s'y sont très vite intéressés, mais ont gardé la découverte secrète.
Récemment, c'est par hasard qu'un couple de chercheurs d'épaves est tombé sur la cité enfouie. Pour obtenir plus de précisions sur ce qu'ils venaient de découvrir, ils ont envoyé des robots très performants, afin de prendre des photos et récupérer des échantillons. Les résultats montrent qu'il s'agit de blocs de granit très lisse.

Plus anciennes que les pyramides d'Egypte

es recherches ont également démontré que ces structures rocheuses se trouvaient autrefois hors de l'eau, et qu'elles avaient pu être modifiées par l'humain, il y a 6 000 ans de cela, soit 1 500 ans avant l'édification des pyramides d'Egypte.
Certains chercheurs voient déjà dans cette découverte une raison d'envisager une réécriture de l'histoire de la civilisation humaine, voire même un début d'explication au mystère qui entoure l'origine humaine.
Reste que cette ville enfouie comporte des pyramides de taille équivalente à celle du plateau de Gizeh, en Egypte, et que plusieurs sphinx ont été découvert sous l'eau. Des pierres ont même été retrouvées disposées comme sur le domaine de Stonehenge, et des écritures ont été découvertes sur les pierres...


Cette liste n'est bien sur pas exhaustive et je n'ai volontairement pas parlé des pyramides les plus connues, ni de celle construite à l'époque moderne qui sont parfois tout aussi intriguantes.

J'effectuerai d'ici peu une mise à jour concernant les pyramides chinoises et japonaises.