Rechercher dans ce blog

lundi 30 septembre 2013

Disparitions étranges

Cet article date un peu dans sa rédaction et j'avoue que bien que je soit particulièrement attentif à ce genre de disparition je n'ai hélas pas eu le temps depuis de le mettre à jour.
J'espère avoir le temps et l'occasion d'y remédier dans un avenir proche.

Je souhaiterais autour de cet article que quiquonque se sente concerné ou aurait des infos complémentaires n'hésite pas à laisser des commentaires ou à me contacter par mail.


4 jeunes hommes ont disparu en ce début du mois de Décembre dans des circonstances similaires. Après m’être un peu penché sur ces affaires je dois dire que la répétition du scénario et l’absence totale d’indices sur les circonstances possibles de la disparition de ces jeunes, apparament sans histoire, est assez troublante. J’avoue que j’ai du mal à comprendre. Simple accident ? crime crapuleux ? enlèvement ? fugue ? Le soucis c’est que dans ces 4 cas, il n’y a aucun liens entre eux, aucun signe de vie, aucun indice tangible, et pour l’instant aucun corps retrouvé… A part ça, les médias ne semblent pas trop interessés par cette affaire…



Deux jeunes disparaissent dans des conditions similaires sans se connaitre
Tout d’abord il y a ces deux jeunes disparus à 24 heures d’intervalle après une sortie en boite à Nantes…

Que sont devenus Rémy Calmejane et Grégoire Rigault ? Le mystère reste entier depuis la disparition, à 24 heures d’intervalle de deux étudiants nantais à la sortie de la même boite de nuit.

Rémy Calmejane, 19 ans, étudiant en STAPS, n’a plus donné signe de vie depuis le 3 décembre vers 4 heures du matin. Il a été vu pour la dernière fois par des amis à la sortie de la discothèque le Calysto à quelques pas de la Loire.

De son côté, Grégoire Rigault, 24 ans, étudiant à l’Institut national des techniques économiques et comptables a été vu pour la dernière fois 24 heures après Rémy Calmejane exactement.

Les appels à témoins et les recherches, effectuées avec des chiens et des plongeurs, n’ont rien donné. Le père de Rémy, Pierre Calmejane, qui semblait en début de semaine privilégier, « soit un accident, soit une mauvaise rencontre », a écarté jeudi soir la piste de l’accident. « Mon fils est un étudiant bon vivant, qui n’a pas de problème de fugue ou de tendance suicidaire, a-t-il expliqué. Il avait bu, c’est clair, mais, selon ses copains, il ne titubait pas, il pouvait marcher, il a une constitution sèche de sportif : s’il est tombé dans l’eau, il n’est pas tombé tout seul ».

Alors que certains avaient émis l’hypothèse que les deux jeunes étudiants étaient amis, Pierre Calmejane s’est dit « sûr et certain » que son fils ne connaissait pas Grégoire Rigault.

La mère de ce dernier, de son côté est certaine qu’il ne s’agit « ni d’un suicide, ni d’une fugue. On était bien avec lui, et proches, il venait de rénover entièrement son appartement que nous l’avions aidé à acheter, il voulait réussir dans la vie, a-t-elle déclaré, très éprouvée.
Les recherches pour retrouverles étudiants n’ont rien donné et aucune piste n’était encore privilégiée par les enquêteurs hier. «Il n’y a pas d’élément permettant d’exclure ou de privilégier» la piste criminelle ou accidentelle, a déclaré le procureur de la République Nantes, Xavier Ronsin. «Il n’a pas été établi procéduralement que les deux disparus se connaissaient», a-t-il ajouté

Un étrange message sur Internet
Les forces de l’ordre se sont notamment intéressées à des messages postés sur le fil info du site internet SFR. Dans les commentaires d’un article consacré à la disparition des étudiants nantais, un internaute surnommé « Montargis » aurait mis en ligne entre le 9 décembre à 23 h 17 et le 10 décembre à 0 h 10 trois commentaires : « 3jeune », « tony enlever », « demain ». Lundi, ces messages étaient effacés, seuls subsistant les réactions d’internautes intrigués : « Montargis tu fais des blagues douteuses. Si tu sais quelque chose dis le clairement ! ».

Dans le doubs et à Calais, deux autres disparition non élucidées
Les enquêteurs sur la trace d’un étudiant disparu depuis dix jours dans le Doubs privilégient la thèse de la noyade, « même si la piste d’un lien avec la disparition des deux étudiants à Nantes n’est pas exclue », indique un proche de l’enquête.

Anthony Carteron, 21 ans, qui s’était rendu à une soirée en discothèque dans la nuit du 9 au 10 décembre, n’a plus donné signe de vie depuis.

D’autres rumeurs tendent à rapprocher ces affaires aux disparitions d’un jeune de 26 ans de Calais, Jérôme Cano, dans la nuit du 10 au 11 décembre, à la sortie d’une soirée en boîte de nuit, et celle de François Thillmann, un étudiant luxembourgeois de 28 ans, qui a été vu pour la dernière fois le 11 décembre à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), alors qu’il venait de quitter une soirée, à 3 heures du matin.

Le parquet de Nantes se refuse cependant à faire un lien entre les différentes affaires…

si on compte bien ça fait bien 4 jeunes dont on est actuellement sans nouvelle et non 2 comme le mentionne l’article de la Dépêche et d’autres articles de presse. En quelques jours dans les mêmes circonstances, ça fait un peu beaucoup non ? Surtout quand un internaute envoie un message 24 h avant pour avertir de la disparition d’Anthony sur Internet et que ce message est effacé (bien que le n°IP de la personne ayant posté ce commentaire aurait peut être pu servir aux recherches ?)

Si on récapitule :
-Rémy Calmejane : dans la nuit du 3 au 4 décembre vers 4 heures du matin à la sortie de la discothèque le Calysto à Nantes
-Grégoire Rigault : dans la nuit du 4 au 5 vers 4 heures du matin : à la sortie de la discothèque le Calysto à Nantes
-Anthony Carteron, 21 ans : dans la nuit du 9 au 10 décembre dans le Doubs
-Jérôme Cano : dans la nuit du 11 décembre à Ivry sur Seine

PineGap

Les Etats-Unis possèdent 3 bases principales en Australie.

Une se situe au Sud (Nurrenger, près de Woomera, T. N.), une autre est dans le New South Wales, et la 3ème Pine Gap de loin la plus grande, est située à environ 230 km du centre géographique du continent, un peu à l'Ouest d'Alice Springs, dans les collines du versant sud de la chaîne de montagnes de Mac Donnel.
Cette une base entièrement souterraine, avec des entrées à peine visible à la surface, ces dimensions sont d’ailleurs à peine croyable, voir plus loin dans l’article.
 
Cette base Top Secret est entièrement financée par le Gouvernement des Etats-Unis, et est officiellement désignée comme le JDSRF. Le but initial de ce complexe fut d'effectuer des recherches scientifiques pour le développement supposé d'une technologie de défense spatiale.
On sait aujourd'hui que son objectif principal a été depuis le début la recherche sur la propulsion électromagnétique.



                                Australie.jpg
  
Qu'est exactement Pine Gap ? 
 
Aussi étrange que cela puisse paraître, même les membres du Parlement Fédéral Australien ne le savent pas. Seul un petit nombre "d'initiés" parmi les membres du Cabinet ont une vague idée de quoi il s'agit exactement.
Les seules informations disponibles au public proviennent de recoupements effectués par des chercheurs privés tels que Jimmy Guieu, en suivant des instructions trouvées dans des magazines américains ou australiens (toujours de courts paragraphes) et récupérant divers témoignages de locaux.
 
Sous Pine Gap se trouve le plus grand trou jamais creusé en Australie plus de 8 km ( soit 25 fois la Tour Effel,  1,6 fois le Mont Blanc) !!
 
Un tel trou est généralement utilisé comme une antenne souterraine permettant de recharger les batteries de sous-marins dans les océans Pacifique et Indien par le biais d'émissions ELF.
Une telle antenne gigantesque peut être utilisée pour générer une énorme onde stationnaire autour de la Terre.
 
Certains pensent que Pine Gap est un énorme générateur nucléaire fournissant de l'énergie à un nouveau type d'émetteur.
 
Il semble également qu'un accélérateur de plasma à haut voltage particulièrement puissant puisse être installé afin de transmettre du courant électrique, ou même de produire un "rayon de la mort", ou tout simplement pour alimenter une arme à plasma.


                             pine_gap_domes_ps.jpg

Tout ceci n'est pas si incroyable qu'il y paraît : on sait aujourd'hui que la base américaine de West Cape possède un type d'émetteur précédemment utilisé à Pine Gap et qui sert à envoyer du courant électrique aux sous-marins américains immergés traînant derrière eux un fil d'antenne. Les courants électriques ainsi transmis sont appelés cellules plasmo-dynamiques.
 
Des habitants locaux eurent en de diverses occasions la possibilité de voir des disques blancs d'environ 30 m de diamètre en train d'être déchargés d'énormes avions-cargos dans les aéroports desservant Pine Gap. Ces disques portaient l'emblème de l'USAF.
 
Il semble qu'ils étaient assemblés et basés à Pine Gap. Le nombre de disques observés la nuit ne laisse aucun doute dans l'esprit de chacun. Une quantité incroyable de matériel fut acheminée par avion depuis les Etats-Unis. Les locaux déclarent également qu'une énorme quantité de nourriture est conservée dans les entrepôts de ce qui pourrait bien être une véritable cité souterraine de plusieurs niveaux.
 
Pine Gap est également bien connue pour être un des centres de contrôle les plus importants de satellites espions tournant autour du globe. Un article publié fin 1973 indique que l'installation de Pine Gap, avec son installation sœur à Guam, fut utilisée pour contrôler les missions photographiques des grands satellites américains en orbite autour de la Terre.
 
 
Pine Gap possède d'énormes ordinateurs connectés à leurs équivalents américains et australiens, collectant l'ensemble des informations relatives à la sécurité dans ces pays, non seulement à propos de la finance et des technologies, mais également sur tout aspect de la vie du citoyen lambda.
Ces ordinateurs sont connectés à des serveurs centraux situés à Guam, à Krugersdorp en Afrique du Sud, et à la base américaine d'Amundsen-Scott au Pôle Sud.


                             amundsen-scott.jpg
 
Notons au passage que l'ensemble des employés plus de 1200, de la base américaine en Afrique du Sud déclarent tous être membres de la mission consulaire Américaine dans ce pays.
 
On notera également à juste titre que la base d'Amundsen-Scott au Pôle Sud est située en un point magnétique sensitif de notre planète possédant exactement la même assiette que Pine Gap, et que l'ensemble des informations sur la plupart des citoyens moyens de l'Europe de l'Ouest est stocké en cet endroit, dans des banques de données situées à des dizaines de mètres sous la glace.
 
Une déclaration du Premier Ministre australien en 1987, assurant que la France devait disparaître du Pacifique, de la Chaîne de Kerguelen et de l'Antartique fit la lumière sur l'importance de cette base polaire pour le monde Anglo-Saxon.


                              Amundsen-Scott4.jpg



                                Pourquoi une telle base ?


La réponse ci-dessous ne va pas plaire :

Traduction d'un texte de
Lucien Cometta, rédigé en 1989. Un texte de tendance complotiste et pessimiste qu'il faut savoir prendre avec des pincettes.
 
‘’ La chose la plus inquiétante à propos de Pine Gap est peut-être le fait que les employés travaillant à la base, et en particulier ceux affectés aux projets de propulsion électromagnétique, subirent des lavages de cerveau et même l'implantation de dispositifs intracrâniens. Ces employés sont devenus de véritables esclaves de leur maître, qui que celui-ci puisse être. Plutôt effrayant, non ?
La motivation des lavages de cerveau subits par ces individus, comme celle des impitoyables tentatives de dissimulation de technologies militaires réellement avancées, apparaîtrons clairement à la fin de cet article.
 
Pour moi, tout commença avec la construction du nouveau Parlement à Canberra, qui coûta plusieurs milliards de dollars. L'Australie possède seulement 18 millions d'habitants, (...) Ce nouvel édifice, énorme, immense et magnifique répondrait facilement aux besoins de l'URSS ou des Etats-Unis, qui ont eux des centaines de millions de citoyens à diriger. Cette construction m'intriguait complètement, et je commençai à en parler jusqu'au jour où je tomba sur un anglais m'apprenant que le Premier Ministre australien, Bob Hawk, était un élève de Rhodes, et en tant que tel travailla sur l'élaboration d'un Gouvernement Mondial, ce à quoi de nouvel édifice parlementaire semblait fortement se rapporter.
 
 
Je tombais peut de temps après sur un pamphlet publié par l'Organisation des Droits de l'Homme à propos d'un groupe d'un centaine de personnes relativement bien placées dans les milieux de la haute-finance, de la politique, et dans les branches judiciaires et du commerce international. Ce groupe était appelé le Club de Rome. D'après ce pamphlet, le Club de Rome obéissait à un consortium contrôlant l'ensemble de la finance internationale. Nombre d'autres groupes similaires à celui du Club de Rome sont également aux ordres de ce consortium financier, et infiltrent divers groupes politiques et religieux dans l'intention d'établir à terme une dictature mondiale.
 
La chose dans son ensemble semblait quelque peu trop irrationnelle pour être vraie, me semblait-il. Cependant, un de mes amis me donna une cassette audio enregistrée par Peter Sawyer, un ancien fonctionnaire Australien de haut-rang, exposant un certain nombre de faits notés alors qu'il était en place.
 
Il parlait en particulier d'une central téléphonique à Camberra nommé le "Centre Deacon". Ce central, construit avec des murs d'une épaisseur de 12 m, coûta des centaines de millions de dollars. Il est équipé de nombreux ordinateurs, répartis en plusieurs niveaux. Il découvrit, lorsqu'il tenta de trouver pourquoi un tel équipement était nécessaire dans un pays de 18 millions d'habitants, que ces ordinateurs étaient connectés à toutes les banques, tous les bureaux de poste, tous les téléphones, tous les postes de police et toutes les maisons de particuliers ; à chaque bureau d'arrivée ou de départ d'avion ou de bateau, et également et par-dessus tout, aux autres centres de données collectant des données sur les citoyens moyens... résidant aux Etats-Unis comme en Europe.
 
Cette installation de la rue Deacon est donc un Centre où toutes les données relatives à chaque citoyen du Monde Occidental sont stokées. Tous les informations financières, économiques, politiques et militaires, aussi bien que les informations concernant chaque habitants de ces pays. Bien évidemment, tous les habitants de l'Australie sont mis sur ces fichiers.
 
Peter Sawyer découvrit également que le président de la Fondation Rockfeller vint pour un long séjour en Australie afin de superviser en personne la construction de 20 luxueuses résidences à Camberra (dont le gouvernement Australien paya la note), au sein du merveilleux cadre d'un Parc National, où la loi n'autorise personne à construire quoi que ce soit.
 
L'enquête menée par Sawyer établit, tout d'abord, que le nouvel édifice parlementaire a pour but de satisfaire les exigences du gouvernement mondial à venir ; et, ensuite, que les 20 luxueuses résidences seront attribuées aux différents membres étrangers de ce gouvernement... Mais pourquoi choisir Camberra comme quartier-général de ce nouveau gouvernement mondial ? Simplement parce que l'Australie est un pays paisible, comprenant peu d'habitants susceptibles de se rebeller, et parce que, par-dessus tout, c'est un pays anglophone. Aucun autre pays anglophone ne peut offrir une sûreté plus grande que celle qu'offrira l'Australie au jour de l'avènement de ce Gouvernement Mondial. Les soulèvements sont monnaie courante en Amérique et en Europe, et l'Amérique du Sud n'a pas seulement le défaut de ne pays être anglophone : elle est un réservoir bien connu de révolutions et de désordres sociaux.
 
L'Australie se révèle donc un endroit idéal pour une telle entreprise. Mais comment l'avènement d'un Gouvernement Mondial pourrait-il donc être possible dans l'avenir ? Relativement facilement, comme nous allons le voir.
 
Qui sont donc, tout d'abord, ces internationalistes voulant s'emparer de la planète ?
 Ceux qui entendent instaurer un Gouvernement Mondial sont regroupés en une quinzaine de familles possédant déjà le contrôle de l'ensemble de la finance internationale et exerçant un contrôle serré sur la plupart des gouvernements au travers du contrôle de leurs finances et de leur économie intérieure. Ces magnas de la finance établirent leur plan après la première guerre mondiale, et travaillent depuis sur un insidieux processus destiné à déstabiliser l'ensemble de l'économie occidentale.
 
Si ces financiers sont souvent nommés capitalistes, c'est là un terme bien futile si l'on considère que, en fait, ils n'ont jamais cessé de tenir les rennes des partis progressistes comme des partis conservateurs. Leur idée est logique et repose simplement sur la déstabilisation des pays occidentaux aux niveaux politiques, économiques et religieux. Il peut paraître surprenant de savoir que ces innovateurs ont infiltré les plus hautes sphères des principales institutions religieuses, et à quel point si peu d'années leur suffirent à leur conférer un tel pouvoir potentiel...
 
La déstabilisation économique est mise en œuvre d'une manière plus lente, mais plus efficace encore. Ce processus (déjà en action) est destiné à amener le système financier occidental dans son ensemble à s'effondrer. Les individus impliqués dans ce système sont les mêmes que ceux ayant provoqué la montée en flèche du prix du pétrole et qui, après avoir convaincu les voisins Européens d'accepter ces augmentations de prix, transférèrent le produit de ces plus-values à la Banque de Réserve Mondiale, qui est entièrement à leurs ordres. La Banque de Réserve manipule les fonds au travers d'une holding de banques qui prête d'énormes quantités d'argent aux pays du tiers-monde à des taux d'intérêt dépassant toute mesure.
 
La banque holding place l'argent provenant des paiements de ces intérêts par les pays sous-développés dans une autre banque de holding qui, en retour, investit de grandes quantités d'argent pour le compte des pays Arabes.
 
Ces investissements sont faits dans d'importantes affaires florissantes. Dans le même temps, seulement peu d'intérêts sont communiqués aux pays Arabes.
 
Ceux qui mirent ce plan au point étaient en effet parfaitement informés de la tentation des pays sous-développés à mettre dans leur poche une bonne partie de l'argent perçu.
 
La Banque de Réserve Internationale avertira alors les pays Arabe de l'échec des investissements de la banque holding, de la disparition de leurs biens, et que le plus aucun intérêt ne peut espérer être payé. Les pays Arabes n'auront alors plus d'autres choix que de mettre l'ensemble de leurs fonds sur le marché, ainsi qu'une quantité non négligeable de propriétés achetées par la seconde banque holding. Une bonne partie de ces possessions seront alors gelées, parce qu'acquises avec l'aide de l'argent de prêts non encore totalement remboursés, et seront alors partie intégrante des possessions de la première banque holding, qui aura fait banqueroute. L'incroyable quantité d'actions mise sur le marché au même moment provoquera alors un effondrement du marché si important que l'ensemble des économies nationales de l'occident s'effondreront en même temps.
 
La planète se trouvera alors dans une situation désespérée. L'argent n'aura plus aucune valeur, et le risque d'une révolte généralisée (et planifiée !) sera grand.
 
L'utilité de bases comme Pine Gap devient maintenant évidente. Si une révolte généralisée venait à survenir, ces bases seraient un lieu sûr pour divers politiciens et leurs équipes, comme pour les financiers internationaux, ainsi que leurs familles et amis.
 
Si une telle révolte ne survenait pas, les financiers adopteraient alors une attitude bienveillante en proposant la substitution de l'ensemble des monnaies par des cartes de paiement assurant une véritable égalité pour tous, l'abolition des droits de tous les propriétaires, et en proposant l'instauration d'un Gouvernement Mondial garantissant la paix.
 
Les masses, dans leur conscience de groupe, réaliseront alors la nécessité d'assurer la Paix et la Justice Sociale par tous les moyens, y compris la force. Le potentiel mis en place grâce à l'équipement des bases souterraines rendra alors possible la disparition sans trace de ceux ne se conformant pas ou qui entraveraient la joie du peuple. Il assurera également l'écrasement rapide de toute rébellion. Il pourrait également arriver que nos nouveaux maîtres finissent par dire au peuple qu'ils disposent du soutien des extra-terrestres et que nous sommes arrivés à l'aube du nouveau millénaire, un âge d'or... ce sera la pire dictature que le genre humain ait jamais connu.
 
Il ne fait aucun doute que d'autres bases ont été construites dans les Etats-Unis et ailleurs dans l'hémisphère Nord. Il se peut même que les bases occupées par les Gris, dans le territoire Américain, soient du même type. Une rumeur prétend qu'un représentant des Gris peut être trouvé dans chacune des bases souterraines américaines de l'hémisphère Sud.
 
Rien ce que qui vient d'être dit n'a à voir avec la science-fiction. Tout ce que je dis dans ce texte est vrai, et ne donne pas une image gaie de l'avenir. ‘’
 
Tiré du site original :       http://www.rr0.org/PineGap_Gille.html
 
Je me pose comme question celle-ci par exemple :
A chaque fois que l’on descend de 100 m sous terre, on gagne 2 à 3°C en moyenne, la radioactivité naturelle des roches produisant des quantités énormes d’énergie, en faisant un calcul simple :  
8 000 / 100 * 2.5 = 200,  Pine Gap sous 8 000 mètres de terre 200 °  !!
 

PARADIS ET ENFER : Invention de l'esprit humain ou réalité tangible?

Je vous propose une série d'articles sur le mythe du paradis et de l'enfer.
Vous trouverez ci dessous le premier article de cette enquête que j'ai moi même réalisé en compilant plusieurs de mes lectures.

Je joindrai à la fin du dernier article consacré à cette enquête la liste de toute mes sources pour les personnes intéressées.

Je précise par avance, le sujet étant par définition plutôt "sensible" que je ne cherche pas ici à heurter les croyances des uns et des autres. Je m'efforce juste de proposer une analyse parmi d'autres possibles d'un sujet qui m'intéresse.


PARADIS ET ENFER

Invention de l'esprit humain ou réalité tangible?



Depuis l'avènement des sociétés élaborées il y a de cela environ 5.000 ans, l'homme s'interroge sur le devenir de son âme après être passé de vie à trépas.

Si longtemps l'homme « sauvage » a voué un culte à ses morts, il a connu peu après sa révolution néolithique, une autre révolution tout aussi importante mais bien plus spirituelle.

Avec l'avènement des religions et particulièrement des religions monothéistes, le déni de la mort a conduit les hommes à imaginer peu à peu la survie d'une part invisible de l'individu dans un séjour d'outre tombe.
Si l'étude des vestiges légués par les rites funéraires permet de supposer que les conceptions sur l'immortalité de l'âme et l'au delà ont émergé à l'aube de l'histoire, sous différentes influences plus ou moins exotiques et sous des formes plus ou moins variées, ont peu cependant affirmé, que c'est bien la morale des religions monothéistes qui ont contribué à l'élaboration des notions de paradis et d'enfer.


I/ Premiers états d'âme



Le paradis et l'enfer sont des concepts apparus tardivement dans l'histoire des religions. Néanmoins bien avant que l'esprit humain ne se mette à élaborer des notions morales de Salut ou de Damnation éternelles, d'autres auparavant ont imaginé des formes de survie dans l'au-delà.

De fait, le désir d'éternité, si présent dans l'histoire humaine semble puiser ses racines dans les fondements même de ce monde qui émergea du néolithique après que de nombreux bouleversements entre autre climatique eurent modifier le monde de façon durable à bien des niveaux.
Depuis lors, l'homme semble s'être mis en quête de transcender son état de finitude.

En étudiant les vestiges des pratiques funéraires ancestrales, les chercheurs cherchent à mieux cerner les conditions de cette émergence.
Un constat s'impose alors, le soucis de la mort semble être universel pour l'espèce humaine.
Toutefois d'autres espèces du règne animal semble montrer un intérêt particulier pour le corps de leurs morts, tel le chimpanzé.

Faut il en déduire pour autant que le fait d'observer au sein d'une espèce des comportement funéraires implique une croyance en l'au delà?

Selon l'archéologue Francesco d'Errico, l'émergence d'un concept d'au delà implique de disposer d'un langage symbolique assez important. Selon lui il faut en effet nécessairement pouvoir concevoir une réalité dual à la fois tangible et matérielle et en même temps symbolique, mais aussi disposer des outils pour pouvoir la transmettre afin de pouvoir la transformer en réalité sociale.
(c'est l'une des premières fonctions de la religion et particulièrement des religions monothéistes)



Dans les premières sociétés post néolithiques, la mort est irreprésentable. Les rites funéraires sont une réaction des Hommes face au traumatisme que provoque cet état à l'opposé de toute chose connu d'eux.
Dans ces premiers petits groupes humains organisé en collectivités interdépendantes, la mort de l'individu devient symboliquement celle d'une partie de cette collectivité et de ces inter actions entre individus. Cet événement concerne la collectivité qui par voie de conséquences le prends en charge.
Il devient alors important de donner un sens à cette étape de la vie et ces collectivités ainsi que les sociétés qui en découleront plus tard, se mettent à construire des représentations symboliques pour se substituer au néant brutal de la mort et faire de la mort une sorte de passage vers autre chose.
Comme une façon de vaincre un état de fait intolérable. La vie ne s'arrête pas avec la mort.



L'homme cet être si supérieur aux autres espèces vivantes ne peut être soumis à un sort aussi funeste, il ne peut pas être une créature finie (qui connait une fin).
Peu à peu, la Mort est appréhendé comme une forme de survie qui diffère selon les système de croyance. Pour certains c'est l'âme qui survie à la mort physique, pour d'autre encore c'est l'esprit et pour d'autre enfin, c'est une sorte de double immatériel de l'individu.

Peu à peu la mort, cet état de la vie inconnu et effrayant devient une renaissance voir une métamorphose vers un ailleurs, où le mort continu souvent de détenir un pouvoir à l'identique de son vivant.
Ainsi le pharaon qui entreprend le grand voyage demeurera dans l'au delà un puissant roi qui siégera au firmament des Dieux.

Les rites funéraires s'inscrivent dès lors comme une organisation entre les vivants et les morts notamment par le biais d'une mise en scène plus ou moins riche.

On continu ainsi à honorer le défunt comme de son vivant et on lui permet de rejoindre le groupe des morts et d'accéder à un nouveau statut.
Peu importe la forme que revêt le rite, peu importe la croyance qui l'accompagne, sa fonction première est à la fois d'honorer le mort, de s'en séparer et de jouer sur l'articulation symbolique entre le monde des vivants et celui des morts.
Faire preuve de respect envers les défunts c'est aussi égoïstement penser à son devenir au moment de passer de vie à trépas, c'est s'assurer que les inter actions entre les vivants et les morts ne soient pas défavorables.

A cette époque, le maintien de la cohésion du groupe prime sur tout et ces rites deviennent un moyen de maintenir cette cohésion y compris dans l'au delà.

Selon Frédéric Lenoir, philosophe et sociologue des religions, les notions de réincarnations ou de transmigration comme de résurrection participent à un mouvement individualisation et d'évolution éthique des sociétés, qui se dotent progressivement d'une morale de rétribution dans l'au delà, fournissant un cadre à l'élaboration des notions de Paradis et d'Enfer.

Remonter précisément aux origines et aux causes de ce mouvement est difficile pour plusieurs raisons.
Primo, les comportements funéraires antérieurs aux premières sépultures nous sont inaccessibles la plupart du temps.
Segondo, lorsque nous y avons accès, pour peu qu'il remettent en cause les dogmes couramment admis, les informations sont au mieux mise de coté, au pire mise sous clé.

Pourquoi les chasseurs cueilleurs du paléolithique, engagés dans une lutte pour leurs propres survies se sont ils attardés subitement à inhumer leurs morts?

On peut imaginer que dans un premier temps, il s'agissait là d'une ultime façon de rendre hommage à l'un des leurs en préservant sa dépouille des méfaits du temps ou des prédateurs.

On peut également imaginer que les conditions de vie étaient peut être plus propices à une certaine forme de sédentarisation plus précoce qu'on ne pourrait le penser, qui a permis à ces groupes d'hommes de s'organiser différemment et d'avoir plus de temps pour se livrer à des occupations jusqu'à lors impossible pour des groupes de chasseur toujours en mouvement.

On pourrait enfin imaginer qu'une certaine forme de conception de l'au delà existait déjà (nous ne débattrons pas ici de son origine pour éviter une trop longue disgréssion).

A moins qu'il ne s'agisse un peu des trois, ou de plus encore...

Néanmoins , le dépôt des corps dans leur sépultures en position fœtale semble évoquer une certaine forme de renaissance et les rares vestiges animaux retrouvés, des offrandes préparant le mort à un long voyage figuré et ce même si rien dans tout cela ne semble démontrer une préoccupation d'ordre métaphysique.

On peut remarquer que des le paléolithique supérieur (-35.000 à -12.000 ans), la pérennité des rites funéraires codifiés implique une forte maitrise du groupe sur la gestion de la mort.

A partir de la fin de l'age glaciaire, on assiste à une complexification des rites funéraires qui va de paire avec celle des sociétés et de leur organisation.
On passe peu à peu d'un simple rite d'hommage aux défunts à des rites de préparation de ce dernier à un voyage vers un au delà complexe et symbolique.

Peu à peu l'au delà devient à l'image de l'Ici bas.

Le monde des morts, à bien des égards ressemble à celui des vivants, au fur et à mesure que les sociétés se complexifient.
Cependant à l'image du chaman indien qui accompagne le défunt pour franchir de terrifiants obstacles pour parvenir dans le royaume de l'au-delà, l'idée d'un voyage initiatique et éprouvant pour celui passé de vie à trépas se repends de plus en plus dans les sociétés de l'époque.

Il est d'ailleurs intéressant de noter que plus le royaume de l'au delà se complexifie plus cette notion d'épreuves à traverser pour les mourants se renforce.
Si dans les premières communauté humaine l'au delà est accessible directement à chacun une fois la vie achevée, peu à peu commence à apparaître l'idée que l'au delà se mérite et qu'il nécessite de s'en montrer digne.

Dans certaines civilisations, comme en Afrique, l'accès à ce royaume s'acquière de son vivant par certaines conditions à remplir. Les actions des vivants et la façon dont ils meurent déterminent la qualité du passage dans l'au delà.

Celui qui connait une mort violente peux craindre pour son passage dans l'au delà, alors que celui qui meurt âgé ou avec une progéniture nombreuse accèdera au statut d'ancêtre.

Devant la mort qui fragilise le groupe social, la société des hommes redit ce qu'elle est ou ce qu'elle veut être au travers de sa vision de l'au delà.
Dans les premier temps comme nous l'avons vu plus haut, le but des rites funéraires était principalement de préserver la stabilité du groupe suite à un décès.

Mais la modernité initié naturellement ou non dès le néolithique, modifie les règles du vivre ensemble.
Des visions d'un au delà stratifié se dessine alors, autorisant une différenciation du statut des morts en fonction de différents critères allant des caractéristiques personnelles aux actions menées par les uns et les autres.

La lente genèse de l'Enfer et du Paradis des chrétiens constitue une adaptation aux codes de la conduite morale et à l'avènement de la notion de responsabilité individuelle en Occident, quand le brahmanisme et le bouddhisme eux répondent à l'individualisation des sociétés par une aspiration à la fusion dans un Tout, un idéal où se dissout toute existence individuelle.

La suite à venir



Gobleki Tepe

Aurions nous bâti des temples avant les villes?

La chronologie classique du Néolithique nous dis que les villages sont apparus en premier sans doute dans le croissant fertile, puis que grâce à l'agriculture et l'essort du commerce, les villages sont devenus des villes.
De ces villes de plus en plus complexes, serait né entre autre le culte.

Cependant certaines découvertes archéologiques semblent remettre sérieusement en question cette vision des choses.

La révolution néolithique enclenché il y a environ 13.000 marque sans doute le plus grand changement dans l'histoire de l'Humanité pourtant veille de 200.000 ans selon la Chronologie officielle.
Ce sont les fondements même de notre mode d'existence qui changèrent à cette époque.

Nos ancêtres passèrent d'une vie de nomades à une vie sédentaire dans de petits villages qui au fil des millénaires allaient se transformer en villes. De chasseurs cueilleurs, ils devinrent agriculteurs puis éleveurs (sans que l'on sache d'ailleurs bien expliqué à ce jour ce qui amena cette mutation, ni comment).
D'une organisation plutôt égalitaire, nos ancêtres s'organisèrent peu à peu en société pyramidale, à l'opposé de leur façon de vivre durant des millénaires. Ils changèrent même leur système de croyance passant peu à peu du culte des ancêtres et des forces de la nature à celui du panthéon des dieux.

Ces bouleversements drastiques dans notre mode de vie sont les plus importants que nous n'ayons jamais connus et ils sont également les plus mystérieux car ils remontent à une époque où l'écriture n'existait pas et nous n'en avons donc aucune trace écrite.

Cette période marque la transition entre deux époques dont l'une est encore bien obscure pour nous et dont l'autre nous est totalement inconnue.

Pourtant peu à peu notre vision de se lointain passé se précise au fur et à mesure que l'archéologie et l'anthropologie font de nouvelles découvertes.

Les manuels d'histoire classique nous propose une vision assez linéaire de l'Histoire de l'Homme sur Terre.

Largement influencé par le Darwinisme, l'homme moderne s'est longtemps imaginé être le fruit d'une longue évolution linéaire l'ayant fait passé du stade de singe à celui d'hominidé et à celui d'homme moderne.
Dans ce concept linéaire simpliste l'homme serait en quelques sorte le stade ultime de l'évolution et le seul et unique spécimen bipède.

Or si effectivement, nous sommes le fruit d'une longue et lente évolution, cette dernière n'est pas si linéaire que ça, d'une part, et notre précieuse bipédie dont nous aimons tant nous vanter, n'est pas l'apanache de notre espèce.

Nous connaissions le créationisme et l'evolutionnisme, il faudra à présent compter sur la théorie de la bipédie initiale : http://contre-la-pensee-unique.org/blog/2012/01/04/theorie-bipedie-initiale-francois-de-sarre/

Longtemps, on nous a présenter les choses de la façon suivante. L'Homme descends du singe, avec un homo sapiens qui tiendrait le rôle de la quintescence de l'évolution et le chimpanzé dans le rôle du modèle primitif et inachevé.Il ne restait plus qu'à trouver le chaînon manquant entre le chimpanzé et nous.

Hélas pour Darwin et ses partisans, cette vision des choses ne tient plus la route aujourd'hui. D'abord l'Homme ne descends pas du singe, il en est un lui même, ensuite le chimpanzé n'est pas notre ancêtre puisqu'il est lui même le fruit d'une très longue évolution. Nous ne sommes donc pas ses lointains descendants mais plutôt ses lointains cousins.
Dans ces conditions, plus question de chercher un chaînon manquant, il s'agit plutôt de retrouver notre dernier ancêtre commun ou D.A.C

A quoi donc pourrait bien ressembler ce DAC? Pour ce faire, certains scientifiques ont entrepris de comparés les fossiles d'hominidés qui ont été retrouvé. Si une caractéristique est présente chez chacun d'eux, elle devait normalement se retrouver chez ce DAC.
Ce qui nous amène à revoir notre conception de l'évolution car il parait aujourd'hui évident qu'il y avait de l'Homme avant l'Humain et chimpanziforme avant le chimpanzé.
Partant de ce constat, il apparait comme fort probable que le model de la bipédie soit remis en question.
Certains de nos lointains ancêtres ont sans doute été bipèdes bien avant nous et notre DAC l'aurait sans doute aussi été.
Pour affirmer cela les scientifiques se basent sur le fait que tous les premiers hominidés découverts sont à la fois bipèdes et arboricoles, comme nous l'explique Brigitte SENUT du muséum d'histoire naturelle.
Ces allégations sont également confirmées par Lee BERGER de l'université d'Afrique du Sud qui a découvert un australopithèque inconnu jusqu'à lors vieux de 2 millions d'années qui possède des long bras trappus comme LUCY (plus agée de 1 million d'années)mais qui possède également un bassin quasi similaire à celui d'homo sapiens.

Même TOUMAI avec ses 7 millions d'années, présente des caractéristiques physionomiques qui indique une bipédie (position antérieure du trou occipital.)

Plus surprenant encore, l'étude des différents fossiles tends à démontrer qu'il n'y a pas eu une seul bipédie (la nôtre) mais plusieurs bipédies ayant chacune suivi une évolution.

Autre Croyance concernant l'Humanité qui peu à peu s'effrite celle du berceau de l'Humanité.

On a longtemps affirmé que l'Afrique était le berceau de l'humanité, or la mise à jour de grand hominidés datant du Miocène en Europe et en Asie semble remettre en cause cette vision des choses.

La théorie dites de l'East Side de Mr Coppens qui faisait de l'Afrique de l'Est le berceau probable de l'humanité a été elle aussi remise en question par la découverte d'Abel en 1995 et de Toumai en 2001

http://fr.wikipedia.org/wiki/Toumai
http://www.onnouscachetout.com/forum/forum/87-les-technologies-secr%C3%A8tes-ou-sous-exploit%C3%A9es/

Autre coup de poignard venant remettre en cause les théories africaines. Selon les dogmes admis, l'Homme aurait quitté l'afrique il y a environ 60.000 ans, or des outils caractéristiques de l'Homme moderne ont été retrouvés sur le site de Jebel Fayat (Emirats Arabes Unis) datant de 125.000 ans.

http://sciences.blog.lemonde.fr/2011/01/27/quand-nos-ancetres-ont-ils-quitte-lafrique/

Les scientifiques semblent s'accorder aujourd'hui pour dire que plus qu'une région géographique c'est une zone climatique qui est le berceau de notre évolution. Une zone climatique tropicale.

Mais revenons donc à l'origine du genre HOMO. Apparu il y a environ 2 Millions d'années genre Homo a longtemps cohabités avec d'autres hominidés, les Parantropes et ce pendant 1 million d'années.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Paranthropus

Puis le genre homo a finalement pris le dessus avec Homo Abilis, Homo Ergaster, Homo erectus, Homo Rhodesiensis pour arriver à Néanderthal que l'on nous présente souvent comme une sorte d'Homme rustre et peu évolué.
Ce dernier apparu il y environ 500.000 ans a longtemps cohabité avec le genre Sapiens apparu lui il y a 120.000 ans.











Or on découvre peu à peu que l'Homme de Néanderthal n'étaient pas le rustre qu'on s'est longtemps imaginé.
De même on s'est longtemps imaginé que l'homo Sapiens avait un temps cohabité avec Néanderthal et qu'il avait fini par le dominer et qu'il avait d'une manière où d'une autre largement contribué à sa disparition, et qu'il n'y avait eu finalement que peu d'interactions entre ces deux hominidés.
Or de récentes découvertes prouvent que non seulement, Néanderthal a du cohabiter intimement avec Sapiens.
Au point que l'on retrouve même des traces ADN de notre lointain cousin dans notre propre ADN.
On sait aujourd'hui que le chromosome X présent dans notre ADN provient en partie de Néanderthal ce qui implique un croisement génétique des deux races. Plus surprenant encore ce marqueur sur notre chromosome X se retrouve uniquement chez les peuples extérieurs à l'Afrique.

http://sciencesetavenir.nouvelobs.com/archeo-paleo/20110717.OBS7194/hors-d-afrique-neandertal-et-
sapiens-ont-fricote.html

Découverte corroborées par les chercheurs de l'Institut Max Planck :

http://www.hominides.com/html/actualites/adn-neandertal-dans-sapiens-0303.php

Autre fait étonnant concernant notre lointain cousin, non seulement comme nous venons de le voir, il y a eu un brassage génétique entre les deux espèces, mais leurs interactions ne s'arrête probablement pas là.
En effet, en 2008 en effectuant des fouilles dans la region de DENISOVA en Sibérie, Svante Päabo et Johaness Krausse de l'institut Max Planck de Leipzig ont fait découvertes surprenantes.

La première. En fouillant dans une grotte, les chercheurs ont retrouvé dans la même couche géologique des restes d'Homo Sapiens, ainsi que des objets dit  "moustériens" typiques de Néanderthal. Ils ont retrouvé également des traces de ces objets dans la même couche géologique mais à une centaine de km de la grotte.

Cette découverte tends à prouver que les deux races ont cohabité de façon proche et les découvertes dans la grotte de Denisova laisse même penser qu'elles se seraient rencontrées et auraient inter agit l'une avec l'autre.

La deuxième plus surprenante encore. Quelques fragments d'os (sans doute une phalange) ont été extrait de cette couche géologique. Mais ces quelques 30 milligrammes de poudre d'os ont amené les chercheurs de l'Institut Max Planck à faire une surprenante découverte.
Ce groupe de chercheur avait déjà fait parler de lui en 2006 en réalisant le premier décryptage partiel du génome de Néanderthal, récidive en 2008 en réalisant une analyse génétique de ces fragments osseux et découvre avec une certaine stupeur que le matériel génétique ainsi découvert n'appartenait ni au genre Néanderthal ni au genre Sapiens, mais à une nouvelle espèce.
Ce nouveau type d'hominidé fut provisoirement appelé Homme de DENISOVA.




http://www.hominides.com/html/actualites/homme-denisova-la-famille-se-precise-0646.php

Cette découverte est pour le moins surprenante car jusque là la science moderne pensait que le genre Homo n'était représenté que par Sapiens et Néanderthal.

Le genre Homo s'aggrandit donc avec Néandertal apparu il y a 500.000 ans jusqu'à il y a 30.000 ans
Sapiens apparu il y a 120.000 ans et donc DENISOVA qui aurait vécu en Sibérie il y a 40.000 ans.

Mais les récentes découvertes permettent d'avoir une vision plus large de la famille des Homo, et la vision que nous en avont aujourd'hui est celle d'un genre multiple et d'une famille nombreuse.

Ainsi en 2003, une autre découverte était venu boulverser l'ordre établi.



Sur l'ile de Flores, des chercheur avait fait une découverte étonnante là aussi dans une grotte sur l'ile de FLORES. Un squelette partielle d'un Hominidé de toute petite taille.
La découverte fit longtemps controverse et divisa la communeauté scientifique.
Les chercheurs traditionnel voyant dans ce squelette celui d'un Sapiens mal formé.


https://fr.wikipedia.org/wiki/Homme_de_Flor%C3%A8s

Voilà qui remet en cause la vision que nous avions de l'Histoire du genre Homo.

catastrophe sur MArs

   Un Cataclysme Martien Gigantesque...
Des chercheurs annoncent l’identification d’un immense cratère sur la planète Mars.
Il résulte de l’impact d’un astéroïde ou d’une comète qui serait à l’origine de l’asymétrie existante entre les deux hémisphères.
  Plan de coupe instantané de Mars 5 minutes après avoir été heurté par l'astéroïde.
L'impact expulse une patie de la croûte (orange) dans l'espace, tandis qu'une onde de choc se propage dans au coeur de la planète (jaune).  



C’est sans doute le plus grand cratère du système solaire, il fait plus de :
 10 000 Km de long
,
et il se serait formé à une époque où un phénomène similaire sur la Terre aurait donné naissance à la Lune, soit environ quatre milliards d’années.

Le bassin formé par l’impact d’un astéroïde ou d’une comète est maintenant partiellement effacé mais des traces sont encore décelables dans la région de Tharsis, une zone volcanique. Ce choc violent expliquerait un aspect mystérieux de la planète : l'hémisphère Nord est relativement plat, constitué de plaines, alors que le sud est beaucoup plus en relief, révélant une croûte plus épaisse que dans le Nord. En effet, lors de l’impact une partie de la croûte martienne aurait été expulsée dans l’espace.

Une équipe du California Institute of Technology (Caltech) à Pasadena (Californie), a calculé, grâce à des simulations en trois dimensions, la taille et la trajectoire qu’aurait eu le corps céleste : il mesurait entre 1 600 et 2 700 Km de diamètre et aurait heurté la planète rouge selon un angle de 30 à 60 degrés à une vitesse de 6 à 10 Km/s.
Source : Nouvel Obs.


On nous annonce un trou énorme en fait, seulement détecté aujourd"hui !

J'aime bien aussi cette phrase : formé à une époque où un phénomène similaire sur la Terre aurait donné naissance à la Lune, on nous prend vraiment pour des boeufs !
Mars et les planètes du systeme Solaire n'ont pas finit de nous surprendre soyons en certain, tout comme notre Terre...

Pierre de Dashka




Une fantastique découverte par les scientifiques de l'Université de la République Russe de Bachkirie vient jeter un nouveau pavé dans la mare "bien tranquille" de l'Histoire de l'Humanité : Une tablette en pierre représentant une carte en relief de l'Oural, estimée à 120 millions d'années !
 
Docteur en sciences physiques et en mathématiques, professeur à l'Université d'état de Bachkirie, Alexandre Chuvyrov et son étudiant chinois Huan Hun, décidèrent, en 1995, d'étudier l'hypothèse d'une migration ancienne possible des chinois en Sibérie et en Oural. Au gré de leurs expéditions en Bachkirie, ils trouvèrent plusieurs gravures rupestres en vieux chinois ( traitant surtout de commerce, de mariage et de décès ), confirmant ainsi leur hypothèse.
 
Pendant leurs recherches, ils découvrirent dans les archives du Gouverneur général d'Ufa des notes du 18ème siècle qui rapportaient l'existence d'environ 200 tablettes de pierre gravées inhabituelles près du village de Chandar, dans la région de Nurimanov. D'autres notes indiquaient qu'aux 17ème-18ème siècles, des expéditions de scientifiques russes dans l'Oural avaient étudié 200 tablettes blanches comportant des signes et des motifs. D'autres notes encore, indiquaient qu'au début du 20ème siècle, l'archéologue A. Schmidt avait également vu ces tablettes blanches en Bachkirie.
 
En 1998, le Pr Chuvyrov et son équipe se mirent en quête... mais sans succès ; à tel point qu'ils commencaient à penser que tout cela n'était que légende. C'est alors que le 21 juillet 1999, Vladimir Kraïnov, ex-président du conseil local de l'agriculture, révéla au Pr Chuvyrov l'existence d'une tablette enfouie dans sa cour . Une semaine plus tard, les travaux commencèrent pour extraire la pierre de Dashka qui fut emmenée à l'Université d'Ufa pour étude.

Après l'avoir nettoyée, les scientifiques n'en crurent pas leurs yeux... cette pierre était une carte tridimensionnelle !
 
Cette pierre de près d'une tonne, mesure :
  • 1m 48 de hauteur
  • 1m 06 de large
  • 16 cm d'épaisseur
Elle est composée de trois couches :
- La base, épaisse de 14 cm est en dolomite.
- La deuxième couche, ( la plus intéressante ), sur laquelle "l'image" est gravée, est en diopside, mais la technologie de son "traitement" nous est encore inconnue...
- La troisième couche, épaisse de 2 mm, est en porcelaine de calcium et assure donc la protection de la carte contre tout impact extérieur.

Son passage aux rayons X a révélé qu'elle était d'origine artificielle. Cette pierre a été usinée à l'aide d'outils de précision, son relief n'a pas pu être exécuté par un graveur de pierre. Elle ferait partie d'un "puzzle" de 340 m x 340 m, et le Pr Chuvyrov pense pouvoir localiser 4 autres éléments de l'ensemble... à suivre...
 
Comme le relief général de la Bachkirie n'a pas trop changé en quelques millions d'années, ils parvinrent assez rapidement à identifier le mont d'Ufa et surtout son canyon, tout ceci en tenant compte de la géologie locale ainsi que des mouvements tectoniques. A l'aide de spécialistes en cartographie, physique, géologie etc., les différentes rivières de l'Oural ainsi que la faille d'Ufa à Sterlitimak, etc. furent identifiées. Tout ceci confirme la grande ancienneté de la carte à l'échelle 1:1,1 km.
 
Plus étonnant encore, en plus de toutes les différentes rivières de la région, cette carte montre un système géant d'irrigation avec notamment deux systèmes de canaux de 500 m de large, 12 barrages entre 300 et 500 m de large pour 10 km de long et 3 km de profondeur chacun. Ces barrages servant à alimenter les différents réseaux ont nécessité l'extraction d'au moins 1024 m3 de terre. En comparaison, le canal de la Volga au Don semblerait n'être qu'une simple éraflure. La Belaya actuelle semble avoir été à l'origine une rivière artificielle.
 
Les scientifiques ont pensé tout d'abord que cette carte pouvait être l'oeuvre des anciens chinois à cause des inscriptions verticales qui figurent sur la tablette. Mais les inscriptions n'ont pu être déchiffrées même si le Pr Chuvyrov pense qu'un des symboles représente la latitude d'Ufa. Le Pr Chuvyrov et son équipe pensèrent également que la carte datait de 3000 ans, mais plus son étude avançait, plus son âge grandissait. Les datations au radiocarbone ont donné des résultats erratiques et non concluants.
 
Une analyse plus fine de la pierre a révélé la présence en son sein de deux coquillages caractéristiques, l'un de 50 millions d'années, l'autre de 120 millions d'années. Mais rien ne permet de dire que ces coquillages n'étaient pas déjà à l'état de fossile lors de la création de la carte. Le Pr Chuvyrov et son équipe pensent que cette carte a été fabriquée alors que le pôle magnétique était situé en Terre François Joseph il y a 120 millions d'années !
 
De nombreuses questions concernant cette pierre restent en suspens, non seulement en ce qui concerne sa datation mais également sur ses auteurs et sa fonction ? Selon le Centre de Cartographie Historique du Wisconsin, USA, qui a étudié les éléments de la pierre de Dashka, cette carte de navigation n'a pu être effectuée qu'à partir de relevés aériens. Ce type de travail est en cours au Etats-Unis. Il nécessite un traitement informatique extrèmement puissant et l'utilisation de données satellitaires. Les américains prévoient l'achèvement de ces travaux d'ici 2010.
 
Il semble que ceux qui vivaient à cette époque et qui ont construit cette carte n'utilisaient que les voies maritimes ou aériennes car il n'y a aucune trace de route. Les auteurs de cette carte ( une civilisation antérieure disparue ? ) n'habitaient peut-être pas à cet endroit mais prévoyaient-ils une colonisation ? Le Pr Chuvyrov est évidemment très circonspect quant aux auteurs de cette carte :
"Je n'aime pas parler d'OVNI ou d'extraterrestres. Appelons donc l'auteur de cette carte simplement - le créateur".
 
 

La source concernant cette découverte est un article paru dans le quotidien russe La Pravda le 30 avril 2002.
 


                                         Pierre-dashka.jpg

Seuls des relevés aériens auraient permis le traçage de cette carte !!
 
 
Alexandre Chuvyrov est docteur en physique et sciences mathématiques. Il dirige actuellement la faculté de physique technique. Ses travaux de recherche portent notamment sur les matériaux (cristaux, métaux, verre anti-radiations) et la physique appliquée.
 
 
La carte confirme l'existence d'une civilisation avancée a l’air secondaire, à l’époque du crétacé !!
 
 
 
 
Crétacé ?
Si on représente l’histoire de la vie en 24 heures, le Crétacé correspond environ au temps entre 23 h et 23 h 30.     
L’être humain est apparu une minute et demi avant minuit, et la civilisation moderne à moins d’une seconde de minuit.
La Terre s’est formée il y a 4,6 milliards d’années et la vie est apparue 800 millions d’années plus tard.
Le Crétacé est une période qui s’étend de 145 à 65.5 millions d’années avant aujourd’hui. Son nom se réfère au dépôt qui a l’aspect de la craie.

                                             Terre-Permien-Trias-Cretace-1.jpg
 
 Conclusions :
Cette carte en pierre qui date de 120 millions d’années, nous montre à quel point nous sommes complètement ignorant de notre passé bien mystérieux !

Si on y regarde de plus prés, on s’aperçoit que nous ne savons pas grand chose de notre passé, de notre présent, et encore moins de notre futur.
 
-         Pour notre passé :  On le voit bien, avec cette pierre, avec les pyramides  seulement 4 000 ans, les Incas, les mayas, avec Jésus, Sumer, L’Atlantide etc etc…
On échafaude des hypothèses, des théories qui sont remises en cause à chaque découverte, et ainsi de suite…
          
                              undefined
-  Pour notre présent : on connaît à peine 10% des fonds marins qui représentent 71% du globe terrestre, et l’homme n’a jamais foulé environ 10% des terres ( surtout les continents Arctique, et Antarctique). Donc plus de 70% de notre planète nous sont totalement inconnus !  
Et nous on est la, avec notre petite prétention humaine bien arrogante, on croit tout savoir sur tout, alors que l’on est ignorant de tout pratiquement. Combien de mystères nous restent ils à découvrir à élucider rien que sur notre planète, je ne parle même pas de notre système solaire, et encore moins de l’univers !
 
Qu’avons nous appris à l’école qu’apprenons-nous à nos enfants sur la vie, sur la terre, sur l’univers etc, des hypothèses, des théories, bourrées d’erreurs, bourrées de sornettes, du grand n’importe quoi en sommes, un seul exemple : La théorie de l’évolution  !