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dimanche 16 décembre 2012

L'ARMEE SE PREPARE T ELLE A FAIRE FACE AU PEUPLE?

Alors que la Suisse a exprimé récemment ses craintes vis à vis d'une crise Européenne qui pourrait être suffisamment grave pour amener de nombreux pays de la zone Euro à prendre d'assaut ses frontières (lien - lien), l'Allemagne, et maintenant la France planifient des entrainements militaires à grande échelle dans le but non avoué de « mater la résistance ».

Il est à mes yeux évident qu'ils se préparent à des manifestations massives à venir des citoyens en vue des prochains plans de restriction qui ont jusqu'ici étés réservés à la grêce, l'espagne, le Portugal et l'Italie dans un quasi-silence médiatique ! Nous sommes les prochains sur la liste, ca ne fait maintenant plus aucun doute...

Alors qu'un article de Mécanopolis révélait, il y a quelques jours, que l'Allemagne s'apprêtait à construire le plus important centre d'exercice européen pour l'entraînement à la lutte contre les émeutes (lien), la France vient d'inaugurer une « ville fantôme équivalent d'une cité de 5000 habitants » afin de faire face aux « nouvelles formes de combat ».

Le programme « Scorpion »

L'armée de terre a présenté le 29 novembre dernier, à Sissonne, les nouvelles techniques de combat dans les villes. Un programme baptisé « Scorpion » qui doit être lancé prochainement et qui devrait coûter 400 millions d'euros chaque année pendant dix ans.

L'exercice, recourant à une vingtaine de véhicules, plusieurs hélicoptères et un peu moins de deux cents combattants s'est déroulé dans le nouveau centre d'entraînement aux actions en zone urbaine (Cenzub) en présence du chef d'état-major, Bertrand Ract-Madoux, d'un aréopage de généraux et d'une quarantaine de journalistes.

Interrogé par le quotidien L'Ardennais (lien), un colonel présente ce qu'il appelle des « constatations sociologiques » : en 1950, les villes abritaient 22 % de l'humanité pour 75 % aujourd'hui. Pas de doute, selon les stratèges, c'est bien dans les cités que les conflits de demain vont se dérouler.

Le gouvernement français, par la voix de Manuel Valls, peut bien prétendre qu'il s'oppose à l'idée de mobiliser l'armée dans les quartiers et les cités, le programme Scorpion démontre manifestement que l'armée s'y prépare.
L'Allemagne se prépare-t-elle à combattre ses citoyens ?

L'Allemagne se prépare manifestement à combattre ses citoyens. Dans le plus grand secret se construit sur une surface de 232 km2, qui était déjà l'un des plus grand terrain d'exercice militaire d'Allemagne, Altmark, en Saxe-Anhalt, le plus important Centre d'exercice européen pour l'entraînement à la lutte contre les émeutes (CRC).

Au centre de l'intérêt se trouve l'entraînement à la répression de soulèvements populaires. Pour atteindre la plus grande réalité possible, on y construit une ville fantôme de plus de 500 bâtiments, couvrant une superficie de 6 km2 pour un budget de plus de 100 millions d'euros. Ce projet comprendrait des installations industrielles, une connexion à une autoroute fictive et un aéroport avec 1700 mètres de piste d'herbe. La Bundeswehr, armée allemande, qui est le maître d'ouvrage, s'apprête à commencer cette année encore la construction de cette ville fantôme.

Par Julian Diesdorf - Mecanopolis

A QUOI SERVENT LES TAXES VERTES,

Alors que le prix du gaz augmente en France, celui de l'électricité va bientôt exploser au Royaume-Uni, suite à une taxe prétendument « verte ». Cette taxe servira notamment à financer les réacteurs EPR qu'ambitionnent de construire EDF et Areva. EDF devrait aussi largement bénéficier de la nouvelle loi sur l'énergie, qui vise à dédommager les opérateurs en cas de manque de rentabilité...

Le gouvernement conservateur de David Cameron prépare une augmentation drastique de la taxe sur les factures électriques, censée financer les énergies faiblement émettrices de CO2. L'objectif est de collecter 9,4 milliards d'euros (7,6 milliards de livres) d'ici 2020. Des analystes financiers estiment qu'il en résultera une hausse de près d'un tiers des factures d'électricité (Lire ici en Anglais), qui sont déjà supérieures de 10 à 15% en moyenne aux factures françaises. Et ce, dans un contexte d'austérité budgétaire particulièrement brutale au Royaume-Uni.

À qui bénéficiera cette taxe « verte » ? Avant tout aux constructeurs de centrales nucléaires, qui pourront s'en accaparer la plus grande part. EDF est la première concernée, puisqu'elle prévoit de construire, avec Areva et Bouygues, quatre nouveaux réacteurs EPR au Royaume-Uni. Le programme de « renaissance nucléaire » initié en leur temps par les travaillistes de Tony Blair prévoyait pas moins de douze nouveaux réacteurs. Le projet d'EDF à Hinkley Point dans le Somerset (deux réacteurs) est le seul qui ait dépassé le stade conceptuel [1]. Son coût est actuellement estimé à 17,3 milliards d'euros. Le projet vient d'obtenir sa première licence administrative, mais sa réalisation est encore loin d'être assurée.
EDF fait-elle la loi à Londres ?

La nouvelle loi sur l'énergie, dévoilée jeudi 29 novembre - et déjà applaudie par EDF selon le Financial Times - instituera également un seuil de prix de l'électricité en deçà duquel le gouvernement britannique dédommagera les entreprises pour assurer la rentabilité de leurs investissements. Le niveau de ce seuil doit être fixé ultérieurement. Certaines sources évoquent jusqu'à 204,5 euros (165 livres) par MWh, soit plus de trois fois le prix actuel de l'électricité - vendue en gros - au Royaume-Uni. Le genre de rumeur qui permettra à EDF d'afficher sa modération tout en obtenant un prix garanti largement supérieure au prix actuel...

L'entreprise publique française est un acteur de poids sur le marché de l'énergie britannique : en plus d'être l'un des six principaux distributeurs du pays - qui vient d'ailleurs d'augmenter ses tarifs de 11% d'un coup, alors même que la filiale britannique réalisait 1,6 milliard de livres de profit -, elle contrôle le parc actuel, et vieillissant, de centrales nucléaires, ainsi que plusieurs centrales au charbon. Elle construit par ailleurs - toujours avec l'aide financière du gouvernement britannique - des parcs éoliens et des centrales au gaz, dont l'une vient d'être occupée pendant une semaine par des militants de la justice climatique.
Lobbying et restaurants chics

Depuis des mois, le groupe français fait monter la pression pour obtenir du gouvernement britannique le maximum de concessions. Ce dernier, confronté à l'héritage de la libéralisation totale du marché de l'énergie dans les années 1980, fait face à des décisions difficiles pour assurer l'avenir de l'approvisionnement énergétique du pays. Le gouvernement est tiraillé entre les partisans de l'énergie éolienne, ceux du nucléaire, et ceux du gaz, emmenés par le chancelier George Osborne, lequel vient d'annoncer une série de mesures pour favoriser l'exploitation des gaz de schiste.

Malgré les déboires accumulés par les chantiers de l'EPR en Finlande et en France, la perspective de nouveaux réacteurs financés à leur corps défendant par les contribuables et consommateurs britanniques reste bel et bien à l'ordre du jour. Le gouvernement a même lancé un plan d'action pour renforcer la chaîne d'approvisionnement du nucléaire (source) en Grande-Bretagne. Un document révélé par le quotidien The Guardian donne une petite idée de la nature du travail de « persuasion » effectué par EDF et les intérêts nucléaires.

Il révèle que les hauts fonctionnaires de l'Office pour le développement du nucléaire ont été régulièrement invités depuis trois ans dans des restaurants londoniens très selects par divers groupes et lobbies de l'industrie nucléaire, mais également par des entreprises directement intéressées, dont les françaises EDF, Areva et Alstom. Ce n'est pas en France qu'on verrait de telles pratiques...

Par Olivier Petitjean

TCHERNOBYL CHRONIQUES DES JOURS GRAVES

Voici une vidéo de

Vladimir Shevchenko, réalisateur de films et caméraman pour la TV Ukrainienne, a couvert le désastre de Tchernobyl depuis les tous premiers jours. Non prévenu, comme beaucoup d'autres, des dangers des radiations, il y laissera sa peau en quelques semaines. Ce petit film d'origine imprécise, monté à partir d'images d'archives, nous fait partager le travail, le destin et la fin tragique de ces hommes, qui ont sacrifié leur vie pour qu'une pollution et une explosion gigantesques ne se produisent pas, ce qui aurait probablement signé entre autres la fin d'une grande partie de l'Europe

Le commentaire original semble contenir quelques erreurs et/ou imprécisions, que je me suis efforcé de rectifier. Par exemple, le but des tunnels creusés par les mineurs [*] sous le réacteur n'était pas de renforcer les fondations d'un bâtiment menaçant de s'écrouler, mais d'arriver sous le réacteur en fusion pour en évacuer l'eau et y creuser une chambre de refroidissement, qui sera ultérieurement remplie de béton pour empêcher le coeur en fusion d'atteindre la nappe phréatique.

Je suppose également que ce n'est pas un cancer généralisé qui a tué Vladimir Shevchenko en quelques semaines, mais plutôt un syndrôme d'irradiation aiguë (SAI)

Vidéos sources provenant du site http://www.elenafilatova.com/
et http://www.consumedland.com/videos_page_en.html


vendredi 14 décembre 2012

LE NOUVEAU PARADIGME IRLANDAIS

Voici une vidéo à voir et à diffuser :

Parfois des images valent mieux que des mots alors....

ETRANGE COINCIDENCE?

Alors que les médias occidentaux tournent en boucles sur le nouveau massacre dans une école US, un homme a poignardé 22 ans enfants devant une école ce vendredi en Chine et ce dans l'indifférence générale de ces même Médias.

"Un homme a poignardé vendredi 22 enfants devant une école primaire dans le centre de la Chine, a déclaré un responsable local, alors que le pays a connu plusieurs attaques similaires au cours des trois dernières années.

L'assaillant "a été placé en détention", selon le porte-parole du district de Guangshan, dans la province du Henan.

"Vingt-deux élèves d'école primaire ont été poignardés, ainsi qu'un villageois adulte", mais aucune victime n'est décédée, a aussi indiqué ce responsable qui n'a pas voulu donner son nom.

L'attaque s'est produite devant l'école primaire, d'après l'agence Nouvelles de Chine, qui a précisé que les blessés n'étaient pas en danger de mort.

Plusieurs attaques se sont produites en Chine ces trois dernières années contre des écoliers, dont une série de cinq incidents en 2010 qui a coûté la vie à 15 enfants et à deux adultes, amenant les autorités à renforcer la sécurité autour des établissements scolaires.

Le nombre des crimes violents augmente en Chine alors que le développement économique a aussi creusé le fossé entre riches et pauvres.

Des études décrivent aussi une augmentation des pathologies mentales, certaines étant liées au stress d'un rythme de vie plus rapide avec l'introduction de l'économie de marché. "

Dans le même temps les USA vivent leurs énième tuerie scolaire, mais une fois de plus les informations filtrent au compte goutte.

Alors Simple coincidence, synchronicité du au hasard, conséquence d'un monde qui presse les gens comme des citrons jusqu' à la folie ou simple folie humaine?

A chacun de se faire sa propre opinion !

LES 10 CHIFFRES DE LA PAUVRETE EN FRANCE

La conférence nationale de lutte contre la pauvreté et les exclusions sociales s'ouvre ce lundi 10 décembre. Elle dure deux jours et doit aboutir à un "plan quinquennal" de lutte contre les exclusions. Un Français sur deux se considère aujourd'hui comme pauvre ou en passe de le devenir, selon un sondage publié la semaine dernière. Dix chiffres qui illustrent l'ampleur du phénomène.

8,6 millions de Français vivent avec moins de 964 euros par mois

Le taux de pauvreté en France en 2010 a atteint 14,1% de la population, son plus haut niveau depuis 1997. 8,6 millions de personnes vivaient ainsi en 2010 en dessous du seuil de pauvreté monétaire (964 euros par mois), la moitié d'entre elles vivant avec moins de 781 euros par mois. Le niveau de vie médian (la moitié de la population est au-dessus, l'autre en dessous) en France métropolitaine atteignait 1.610 euros par mois en 2010.

Un enfant sur cinq est pauvre

Les moins de 18 ans sont plus particulièrement touchés: leur taux de pauvreté a progressé de 1,9 point en 2010, atteignant 19,6%. Les jeunes ne sont pas mieux lotis: la part des 18-24 ans vivant sous le seuil de pauvreté a atteint 22,5%. 19,4% des étudiants vivent sous ce seuil. Dans les Zones urbaines sensibles (ZUS), le taux dépasse même 40%. Plus d'un million de jeunes sont ainsi confrontés à des situations de grande précarité.

Plus de 2 millions de travailleurs pauvres

Ils seraient entre 1,9 et 3,3 millions en France, une fourchette large car les experts peinent à cerner le phénomène croissant des travailleurs pauvres, qu'ils imputent notamment au temps partiel, dans les services à la personne ou la restauration. Selon l'économiste Denis Clerc, "la pauvreté laborieuse concerne plus de 2 millions de personnes". Pour Pierre Concialdi, de l'Ires, la vérité s'établit entre 2 et 3,3 millions.

3,6 millions le nombre de personnes mal logées

En 2012, la Fondation Abbé Pierre évalue à plus de 3,6 millions le nombre de personnes mal logées ou sans abri. Elle recense notamment plus de 685.000 personnes "privées de domicile personnel" (dont 133.000 sans domicile, 38.000 en chambre d'hôtel, 85.000 dans des "habitations de fortune" et 411.000 chez des tiers) et plus de 2,7 millions vivant dans des conditions de logement "très difficiles", sans confort ou dans des logements surpeuplés.

Plus d'un ménage sur cinq souffre du froid

3,8 millions de ménages en France ont un taux d'effort énergétique supérieur à 10% de leur revenu tandis que 3,5 millions déclarent souffrir du froid dans leur logement. Soit 14,8% des ménages. Cette proportion atteint 22 % chez les ménages modestes. Les ménages modestes sont surtout exposés au froid car ils cumulent des contraintes financières et un habitat peu performant. 621 000 ménages souffrent des deux formes de précarité.

Un français sur cinq renonce à se soigner

20% des Français ont renoncé au cours des deux dernières années à des soins, ou les ont retardés, selon une enquête du Centre d'études et de connaissances sur l'opinion publique (CECOP) et l'Institut CSA. Expliquant pourquoi ils ont renoncé à se faire soigner ou ont différé des soins, 57% ont répondu "par manque d'argent", 41% "parce que le remboursement aurait été insuffisant". Selon Médecins du Monde, l'accès aux soins pour les plus pauvres s'est dégradé en 2011 et leur santé s'est détériorée: les 21 centres de soins de l'ONG en France ont accueilli 29.466 personnes et effectué 40.627 consultations (+ 5,2% depuis 2010 et + 22% depuis 2008). Parmi ces patients, 38% (24% en 2010) se sont fait soigner trop tardivement, et plus de 20% ont renoncé à des soins au cours des 12 derniers mois.

6,3 millions de personnes couvertes par les minima sociaux

Pour aider les plus démunis, il existe au total une dizaine de minima sociaux afin d'assurer un revenu minimal à une personne (ou à sa famille) en situation de précarité. Ce sont des prestations sociales non contributives, c'est-à-dire qu'elles sont versées sans contrepartie de cotisations, selon la définition de l'Insee. 3,6 millions de personnes en sont allocataires, 6,3 millions si l'on inclut enfants et conjoints. Soit environ 10% de la population française.

Des milliards d'euros de prestations sociales non réclamés

Chaque année, ce sont 5,3 milliards d'euros de Revenu de solidarité active (RSA), 700 millions de couverture maladie universelle complémentaire (CMU C) et 378 millions d'euros d'aide à l'acquisition d'une complémentaire santé (ACS), qui, selon les estimations, ne sont pas versés à leurs ayants droit. Le non-recours aux droits sociaux est bien plus massif que son pendant, la fraude sociale, estimée à 4 milliards d'euros par an, selon le livre "L'envers de la fraude sociale", écrit par les chercheurs de l'Observatoire des non-recours aux droits et services (Odenore), rattaché au CNRS, et publié début novembre. Ainsi, 33% des personnes éligibles au RSA socle (ex-RMI) ne le touchent pas, faute d'en avoir fait la demande. Le taux de non-recours atteint 68% pour le RSA activité.

293 millions de repas distribués

En 2011, les Restos du coeur ont distribué 115 millions de repas à 870.000 personnes. Les banques alimentaires ont quant à elles distribué l'équivalent de 178 millions de repas à environ 750.000 personnes. Les mères seules avec enfants représentent 40% des personnes accueillies, devant les personnes âgées et les jeunes.

765.000 ménages surendettés

Le surendettement ne cesse de progresser: 207.700 dossiers ont été déposés en moyenne chaque année au cours des cinq dernières années. Au total, le nombre de ménages en cours de désendettement, c'est-à-dire ayant bénéficié ou étant sur le point de bénéficier de mesures destinées à remédier à leur état de surendettement, est d'environ 765.000 en septembre 2012. Entre 5 et 6 millions de personnes sont en situation d'exclusion bancaire, selon des estimations produites en décembre 2011 par la Croix rouge française notamment.


SOURCE : L'EXPRESS

Us detruit l'Irak

Iraq: Les bulldozers américains détruisent le site archéologique d'Ur !
 
Pour le ministre irakien du tourisme et des sites archéologiques, Mohamed Abbas Al Aribi, le site archéologique d'Ur, au sud de l’Irak, n’est plus seulement le lieu de naissance du patriarche Abraham, ancêtre de tous les prophètes, mais aussi et surtout le site le plus menacé par les activités actuelles de l’armée américaine.


 
Le journal irakien Al Mada a rapporté les propos du ministre qui déclare que « les travaux effectués par les américains, avec notamment la création de camps, le creusement de tunnels, l’établissement de murs de fortifications pour protéger leurs troupes, le nivellement des terrains à l’aide d’engins lourds ont gravement endommagé le site ».
 
Ajoutant « que la présence militaire sur un site archéologique est en elle-même illégale et que nous avons adressé de nombreux appels aux américains pour qu’ils évacuent les lieux et s’interdisent de s’en approcher dans l’avenir ». Le ministre a rappelé qu’il agit en coordination avec les ministères de la défense et de l’intérieur, mais que tous ses appels sont restés lettre morte.  
 
Le ministre a ajouté que des photos satellites de la ville d’Uruk-Warka*, proche de Ur, ont choqué l’archéologue allemande Marguerite Von Hess qui avait travaillé sur le site quelque temps avant l’occupation américaine en 2003.
 
L’archéologue allemande a estimé, à la vue des photos, que la colline sur laquelle a été construite la ville a subi de graves dégâts par suite de la construction de la base aérienne de Talil dans les environs de Nassirya au sud de l’Irak et a exprimé sa profonde déception en constatant que les bulldozers avaient fait disparaître tout un quartier de la zone sud-est de la ville.
 
 
L’expert archéologue britannique, Kohn Kurtis, responsable de la conservation des vestiges du proche orient au musé britannique, n’a pas été moins surpris et déçu que sa collègue allemande.
 
Quand Kurtis a visité le sud de l’Irak, il y a un an, il a constaté que l’armée américaine avait édifié des constructions avec toutes leurs dépendances et leurs canalisations souterraines dans la base d’aviation de Talil, appelée aujourd’hui camp d’Adbour et ce, dans une zone d’Ur qui n’a pas encore fait l’objet de fouilles par des archéologues.
 
Selon certains archéologues, la situation actuelle à Ur avec des cimetières datant de près de 3000 ans avant J.C. et dont certaines tombes renfermaient des casques en or ainsi que des instruments de musique et autres objets de valeur inestimable enfouis avec les morts, leur rappelle celle qui prévalait à Babylone.
 
Là aussi les troupes américaines et polonaises avaient infligé de graves dégâts au site et détruit beaucoup de ses vestiges (De Babylone à "Camp Babylone" ). Elles ont fini par l’évacuer suite aux protestations et à la pression internationale.
 
 
Rappelons que Babylone était la capitale du roi Babylonien Nabuchodonosor.
Source: terreentiere.com
 
Les troupes américaines en Irak sont très mal vues par la communauté internationale des archéologues. Malgré tout, on a assisté récemment à une prise de conscience par certains officiers américains de l’importance des ruines babyloniennes, sumériennes et assyriens dans l’histoire universelle dont elles constituent un pan important et qu’elles méritent d’être protégées.
 
C’est ainsi que certains généraux américains ont distribué à leurs troupes des jeux de cartes portant au dos des photos de sites archéologiques irakiens importants. Une de ces photos représente l’arc colossal en briques ou « la voûte de Cyrus » considérée comme la plus importante voûte construite en terre cuite et sans la moindre structure armée.
 
Le dos de la carte porte l’inscription suivante « ce monument a pu traverser dix sept siècles d’histoire, pourra-t-il t’échapper à toi aussi ? » indique le valet, et le 2 de trèfle « l’héritage de l’ancien Irak est une part de votre héritage ».
 
Les archéologues se font aussi du souci pour les vestiges islamiques de Samarra, au nord de l’Irak, considéré par l’UNESCO, depuis 2007, comme patrimoine culturel universel menacé.
 
L’UNESCO a alerté l’opinion internationale que les autorités irakiennes n’étaient pas en mesure de protéger le site de la vieille ville qui remonte au neuvième siècle. D’autres archéologues de la Sorbonne, à Paris, ont vivement critiqué la construction d’une caserne de police à proximité de la mosquée du Calife Al-Moutawakkel, au minaret en spirale et haut de plus de cinquante mètres et considérée comme le symbole de Samarra.
 
Ils ont fait remarquer que cette caserne a été construite à proximité des ruines du palais de Aïssa « Jésus », construit en l’an 852. 
 
Source: bible.archeologie.free.fr
 
 
Les propos du ministre irakien des sites archéologiques et du tourisme concernant le pillage du musée national n’étaient pas plus optimistes que pour les grands sites de Babylone, Ur et Samarra.
 
Il a indiqué en effet que sur plus de quinze mille pièces de tout genre volées lors de l’occupation de Bagdad par les troupes américaines en mars 2003, seules quatre mille ont été récupérées.
 
Selon l’archéologue allemande Von Hes, la plupart des pièces récupérées appartiennent au département des civilisations antiques, relativement moins protégé que les autres et que les pilleurs ont pu pénétrer facilement. Il semblerait que des gangs bien organisés avaient préparé son pillage et c’est pour cette raison que ces objets n’ont pas été retrouvés jusqu’ici ».
 
Mohamed Hantech et Firas Hammad
 
 
Selon Anton Parks dans son livre ‘’ les chroniques du Girku ‘’ Les américains pillent et détruisent toutes preuves du passage des fameux "dieux" Anunnaki des tablettes sumériennes.
 
Pour faire court on peut affirmer haut et fort, que les Américains ont envahi l'Irak pour protéger un secret et détruire ce secret, qui peut changer la face du monde, ou pour être plus précis, qui pouvait changer la face du monde, car nombres de preuves sont définitivement détruitent à présent.
 
Il nous signale que certains sites archéologique ont subit plus de 800 bombardement par missile guidé pour un même lieu, complétement inhabité, afin de réduire en poussière les traces et vestiges du régne des ‘’ Dieux ‘’ Annunaki, et surtout l’histoire inconnu de l’ humanité qui pouvait changer la face du monde.
 
Sur les milliers de site archéologique que compte l’Irak, une minorité à peine 10%, a été fouillée et étudiée, les américains détruisent méthodiquement chaque site qui pourraient révéler au grand jour la véritable histoire des hommes et des ‘’ Dieux ‘’.
 
Dès le début de la guerre en Irak en avril 2003, commence alors, dissimulée par les bruits du conflit, une vaste entreprise de destruction des vestiges sumériens.
 
Les sites de royaumes plus tardifs ne sont pas épargnés : à Babylone, les troupes de la coalition bivouaquent, et les blindés détruisent des dallages vieux de 2600 ans.
 
Les musées de chaque ville conquise sont immédiatement pillés. Le point culminant des dévastations est atteint avec la mise à sac du Musée national de Bagdad, le 11 avril, et la disparition de témoignages inestimables du passé, dont quelques milliers de tablettes d'écriture cunéiforme non encore déchiffrées, ainsi que des pièces uniques de Sumer, des IVe et IIIe millénaires avant J.-C.
 
Les archéologues irakiens disparaissent mystérieusement, le site d'Uruad est détruit lors d'un bombardement. Erreur de cible selmon l’armé, mais hélas les vestiges sont enseveli à jamais, Uruad ne livrera donc jamais ses secrets.
 
Volonté délibérée du gouvernement de l’ombre d'ensevelir les vestiges de la plus ancienne civilisation à nous avoir livré une histoire, grâce à la première écriture connue.
 
effacement méthodique des preuves les plus incroyables de la survivance de Sumer au coeur des mythes fondateurs de l'Occident et de son histoire présente.
 
C’est la, en Irak, toujours selon Anton Parks que se trouverait le plus grand nombre de, sorte de ‘’ porte des étoiles ‘’ qui sont sur la Terre.
 
Pour preuve de l’implication du gouvernement sombre qui régit dans l’ombre du pouvoir officiel, un officier américain a pour mission d'exécuter impitoyablement ceux qui approchent certaines sépultures ancéstrales, et sites interdits.
 
C'est ce que nous dit William Fisher sumérologue anglais, dépêché sur place qui  découvre au bout d'une aventure vertigineuse qui le conduit au coeur de nos mythes originels et de nos concepts religieux.
 
Source : livre ‘’ Uruad ‘’ Jean-Christophe Issartier
 
Des milliers de tablettes sumériennes non encore déchiffrées, sont détruites et perdues à jamais, l’histoire de l’humanité et réduite en poussière par l’armé, controlant ainsi encore un peu plus une humanité désoeuvrée, et complétement ignorante de son passé, le gouvernement de l’ombre détruit le passé pour construire l'avenir…
 
15 000 !  C'est le nombre d'objets d'art volés dans le seul Musée de Baghdad après son bombardement en 2003 par des groupes commando américains très organisé.
 
Dès 1991, violant les Convention de La Haye de 1954 et de l'Unesco de 1970, le Pentagone a fait bombarder Ur, détruisant sa ziggourat, Ctésiphon, détruisant le plus viel arche monumental du monde, Ninive, détruisant le palais d'Assurbanipal, ou encore Mossoul, détruisant une église vieille de 1000 ans...
 
Mais tout n’est pas perdu, car un trafic s’est fait jour, les recettes de ce trafic d'objets d'art, en provenance d'Irak, ont dépassé celles des narcotrafics à l'échelle mondiale.
 
Mais les catalogues archivant les antiquités des musées et des sites archéologiques les plus importants ont été détruits dans les incendies criminels de la Grande Bibliothèque, des Archives de Baghdad et du musée du Coran. La plupart des objets volés ne sera jamais rendue à l'Irak, ne sera jamais rendue à l'Humanité.
 
Nombres d’objets ancéstraux détruit, la conservatrice du musée de Bagdag en larmes, après les saccages.
 
A l'époque de sa toute-puissance, Rumsfeld, interpellé sur les pillages perpetrés sous l'occupation américaine, avait ricané et assimilé ces violations du droit international «à des événements imparables, commis par des garnements, comparables aux émeutes lors des matchs de football»...
 
Pauvres Ur, Sumer, Babylone, votre grandeur n'a d'égales que la veulerie et la noirceur d'âme des barbares qui tentent de vous anéantir.
 
Nouri Al Maliki s'est réjoui de ce que l'Irak sortait d'âges sombres lors de la cérémonie de réouverture du musée, mais les lumières de la Civilisation lui ont pourtant irrémédiablement été dérobées.
 
Signes marquants du pouvoir de l’ombre : d'abord on efface l'histoire, ensuite on efface les peuples.
 
Source : Blog /roses des sables roses des vents.
 
On ne sait pas d'où viennent les Sumériens. Ils ne sont pas originaires de Mésopotamie et leur langue, est mal connue, elle n'est ni indo-européenne, ni sémitique. Le fameux mythe des " sept sages " impute la première civilisation du pays à de nouveaux arrivant étranges " arrivés de la mer ".
 
Voir ce sujet passionnant également :
 
Dans "l'Épopée de Gilgamesh", oeuvre, on devine une source de la mythologie grecque (les exploits d'Héraclès), et de la Bible (le Déluge y est conté).
 
Sumer la ou tout commence, la ou tout fini, en 2000 av JC, le sumérien n'était plus parlé, mais le sumérien devait cependant rester la langue de la religion, de la science, des affaires et du droit pendant encore bien des siècles. Abraham, en 1900av JC, venait selon la bible de Sumer.
 
La civilisation sumèrienne est la première grande civilisation, elle fut fondée il y a 6000 ans, selon la science officielle, mais des preuves d'agriculture sont  décelées 8000 av. JC pourtant, engrain, épeautre, orge, millet, blé amidonnier sont cultivés ! Les sumériens étaient experts en astronomie et astrologie.
 
Les sumériens établissaient un calendrier basé sur la course du Soleil et sur les phases de la Lune. Les tablettes cunéiformes prouvent qu'ils savaient prédire des événements tels que les éclipses avec une précision de l'ordre de quelques minutes.
 
On ne peut s’empêcher de penser à la Nibiru dont nous parlent les tablettes sumérienne, et si cela est une absurdité comme certains le prétendent, on peut alors s’étonner de l’éffacement, de la destruction méthodique, de tous les écris sumérien par les américains.
 
Voir ici les sujets sur Nibiru actuellement :
 
 
Qui dit Nibiru, dit Annunaki… Ceux qui descendaient du ciel sur la Terre :
 
Les temples consacrés à ces dieux ne sont pas décrit comme des lieux de culte mais des résidences temporaires où les Annunaki venaient séjourner. Les sumériens venaient leur demander conseil, voire même un jugement en cas de litige entre cités ou personnes. Ce sont eux encore qui nommaient les chefs ayant un pouvoir législatif et exécutif en leur nom.
 
Les tablettes Mésopotamiennes indiquent que "EA", Prince de la terre, créateur de l'homo sapiens, se rebella, n'acceptant pas les cruautés que ses congénères infligeaient aux hommes, et fonda la " Confrérie du Serpent ".
 
 
Souvenons nous également de la vidéo ‘’ la conspiration d’Orion ‘’  de Seb Janiak, qui nous montre plus de cinquante ans de désinformation et de manipulation dans l’ombre des médias qui ont divisé et appauvri l’opinion publique afin de mieux le contrôler. Voir ici :  La conspiration d'orion . Bien sur, les images sont trucquées, mais cela est fait dans le but de mieux nous imprégner de la vérité, car les images réelles ne sont bien évidemment pas accesible au commun des mortels que nous sommes.
 
Comme le rappel Seb Janiak, ce film époustouflant qu’il réalisa n’est ni une fiction, ni un documentaire, et il fait beaucoup^parler de lui, c’est bien la le but principal, ALERTER l’humanité, et nous l’en remercions pour cela. 
 
Voir ici pour de plus amples information sur SUMER. Dans le blog, et ici, pour la version wikipédia : Sumer - Wikipédia
 
 
Je voudrais faire une dédicace toute particulière à Space Fred un membre du forum, pour m’avoir inspiré cet article en me prêtant, puis m’offrant très gentillement le livre d’Anton Parks voir ici :

Les chroniques du Girku, Tome 1 : Le secret des étoiles sombres ...

 
Pour venir discuter avec nous,et les nombreux membres sur le forum c’est ICI . 
 
En conclusion, je voudrais dire, que bien sur on peut toujours contester les écris de Z.Sitchin, ou la vidéo de Seb Janiak, ou n'importe quoi, mais pourtant, les faits sont la, ils sont bien réels et se déroulent actuellement dans notre présent.

Reprenons trois phrases seulement, de l'article qui nous disent tout :
 

Pauvres Ur, Sumer, Babylone, votre grandeur n'a d'égales que la veulerie et la noirceur d'âme des barbares qui tentent de vous anéantir.
D'abord on efface l'histoire, ensuite on efface les peuples...

Le gouvernement de l’ombre détruit le passé pour construire l'avenir…
                       
                            C’est comme toujours à vous de juger…

jeudi 30 août 2012

TOUTHANKAMON : Une malédiction bien humaine?

Je n'ai pas pour habitude de recopier un texte trouver sur un autre site. Néanmoins cette fois ci je ferais exception à la règle. Je suis tombé sur cette article par hasard en recherchant tout à fait autre chose.
Je trouve que les hypothèses présentées ici sont très intéressantes et mérite qu'on s'y attarde.

Bonne Lecture : 

"Depuis presque un siècle désormais un halo sinistre flotte autour du nom
du pharaon-enfant Toutankhamon. Depuis qu'Howard Carter en découvrit la
tombe - officiellement le 27 novembre 1922 - les personnes les plus au
courant par rapport aux détails des découverts sont toutes mortes,
inexplicablement, en l'espace de quelques années.

Environ 5 mois après la découverte de la tombe, celui qui a financé l'entreprise, Lord
Carnarvon, est piqué par un moustique sur la joue. Suite à ce banal incident, ses conditions de santé se dégrade jusqu'à le conduire à la mort par septicémie.

Ce fut ensuite au tour du demi-fère de Lord Carnarvon, Aubrey Herbert, qui mourut inexplicablement, en 1923, suis à une simple extraction dentaire.

L'archéologue canadien La Fleur, arrivé en Egypte en avril 1923 - en parfait été de santé - pour aider
Carter dans ses travaux, mourrait juste quelques semaines après d'une mystérieuse maladie.

C'est toujours en 1923 que mourut Georges Jay Gould, ami intime du conte de Carnarvon, à cause d'une étrange inflammation pulmonaire.

Juste un an après, en 1924, le célèbre archéologue Evelyn White qui avait collaboré avec Carter pour rédiger l'inventaire du trousseau funéraire du pharaon expirait à son tour. Il fut retrouvé pendu, et la
police conclu qu'il s'agissait d'un suicide.

Quelques mois plus tard Douglas Archibald Reed, le scientifique anglais qui avait été
chargé de faire les radiographie de la momie du pharaon, perdit la vie dans des circonstances pas très claires.

En 1926 la "malédiction" toucha Bernard Pyne Grenfell, l'éminent papirologue consulté par
Carnarvon pour les traductions des textes égyptiens.

Le secrétaire privé de Lord Carnarvon, le noble Richard Bethell, fut retrouvé mort dans son lit, en 1929, suite à un cas atypique d'arrêt cardiaque. Bethell avait aidé H. Carter dans le travail de catalogage
des trésors de Toutankhamon, et la cause de sa mort est toujours restée un mystère.

Lord Westbury, l'ancien père de R. Bethell, mourut à peine quelques mois après son fils, "sautant" par la fenêtre de son appartement de Londres; La police archiva rapidement le cas comme suicide. Dans sa chambre on retrouva un vase en albâtre appartenant à la tristement célèbre tombe de Toutankhamon, un objet précieux qui n'apparaissait pas sur la liste officielles des objets découverts. Le vase avait donc du être pillé durant la première ouverture clandestine de la crypte... ... et cela révélait implicitement que l'ancien
noble avait très certainement été mis au courant des dessous de la découverte directement par son fils.

D'un "mal étrange" mourut également l'égyptologue Arthur Cruttenden Mace, le scientifique qui en
1922 avait collaboré avec Howard Carter à la restauration de la tombe. Avant de mourir Mace avait été très proche de Lord Carnarvon, et il avait contribué à la rédaction du volume "The Tomb of Tut.ankh.amon"
avec H. Xarter. Mais début 1923 déjà, Mace commençait à se plaindre d'un très mauvais état de santé qui le conduit lentement mais inexorablement à la mort, survenue le 6 avril 1928.

En 1929, le "mauvais sort" toucha Lady Almina, la femme de Lord Carnaron, et - comme c'était déjà
arrivé auparavant pour son mari - la cause du décès fut officiellement attribuée à une infection.

Le très fiche prince égyptien Alì Kemel Fahmy Bey, qui s'était beaucoup intéressé aux secrets de la tombes
se positionnant comme acheteur potentiel des trésors pillés, fut retrouvé mort en 1929 dans des circonstances pour le moins obscures. Le crime fut commis dans un hôtel de Londres, et la police anglaise classa rapidement l'affaire attribuant l'homicide à sa femme.

Le frère du prince musulman assassiné mourut comme par hasard de mort violente lui aussi. Dans son cas également, le décès fut rapidement archivé par la police comme suicide.

L'honorable Mervyn Herbert, deuxième demi-frère de Lord Carnarvon, mourut en 1930 à Rome dans des circonstances étranges.

Même "mauvais sort" pour l'égyptologue Arthur Weigallm qui avait collaboré activement avec Carter, Carnarvon et le reste de l'équipe durant les travaux de fouilles. En 1933 il fut touché par une "fièvre inconnue", qui le conduisit rapidement à la mort.

Personne toutefois ne retint nécessaire de solliciter une enquête judiciaire à ce propos, et les journaux de l'époque préféraient trouver une explication des mystérieuse décès dans une fortuite série de coïncidences, ou même dans la rumeur selon laquelle une terrible "malédiction" du pharaon aurait massacré les scientifiques liés à la découverte.

Et plus la "malédiction" faisait de victime, plus la presse alimentait une atmosphère de superstition toujours plus dense et croissante, qui donna naissance à une des légendes modernes les plus connues au monde, qui a aussi été le point de départ de nombreux romans à succès.

Par la suite, l'événement fut rendu encore plus suggestif par l'adjonction d'anecdote impressionnantes sur certains présages néfastes qui se seraient passés le jour de l'ouverture de la crypte. On fit par exemple circuler la rumeur selon laquelle, au moment de la sortie de la tombe du dernier ouvrier, se serait déchaînée une inquiétante tempête de sable, juste devant le tunnel qui conduisait à la tombe. A cet événement surnaturel, aurait fait suite l'apparition à l'horizon d'un majestueux faucon (symbole de l'autorité royale dans
l'ancienne Egypte) dirigé vers l'ouest, le lieu où les anciens égyptiens pensait que les âmes des morts se rendaient.

Au récit de cet épisode - dont on ne trouve par ailleurs aucune "preuves" historiques - s'en ajoutent d'autres toujours plus fantastique, qui finirent par affoler les pages des tabloïd du monde entier. Un des épisodes les plus invraisemblables concernait justement la mort de Lord Cararvon, survenue à 1h55 du matin : on dit par exemple que à l'instant précis où expira le noble britannique toutes les umières de la ville du Caire se seraient éteintes. Un présage néfaste auquel aurait fait suite aussi la mort de son chien. Certains improbables témoins racontèrent même que la pauvre bête, avant de mourir, était encore en train d'hurler de terreur, car elle percevait la présence d'une entité hostile qui était en train de la hanté. Et au fur et à mesure que la liste des morts s'allongeait, les organes d'informations continuaient à alimenter la légende avec n'importe quelle
circonstance "surnaturelle" capable de confirmer l'histoire de la malédiction, selon laquelle Toutankhamon aurait réussi à venger la profanation de la tombe royale, en tuant tous les auteurs du "sacrilège".

Mais quelque chose, dans tous ces comptes, ne tournait pas rond. Howard Carter, c'est-à-dire le principal responsable de l'expédition, et le découvreur effectif de la tombe, restait étrangement immunisé par les conséquences de l'"épouvantable punition".

Les circonstances réelles dans lesquelles Carnarvon perdit la vie restent toutefois assez obscures, puisque déjà quelques temps avant son décès le noble britannique manifesta de symptômes assez clairs d'empoisonnement. Le conte, en effet, après avoir contracté la présumée infection létale,
commença à souffrir inexplicablement de la chute de ses dents et de leur continuel effritement, qui sont des conséquences typique d'un empoisonnement à l'arsenic. Mais, comme le démontre les enquêtes
chimiques et bactériologique conduite dans la tombe le matin suivant l'ouverture officielle, cette substance était totalement absente des chambre funéraire de Toutankhamon.

La mort de Mace, qui avait travaillé en étroite collaboration avec les découvreurs de la tombe,
laissait également de forts doutes, qui sont par ailleurs confirmés par la biographie de Mace, publié en 1992 par l'écrivain Christopher C. Lee. Dans cette œuvre, on retrouve le texte d'une lettre écrite par Mace, le
14 janvier 1927 à son vieil ami A. Lythgoe. Dans la missive Mace révélait que ses conditions de santé exécrables provenait d'un mystérieux empoisonnement à l'arsenic. Mais sur la façon dont Mace
aurait pu subir un telle intoxication létale, le biographe n'a pas pu fournir d'explications plausibles.

Un secret à cacher
L'écrivain américain Arnold C. Brackman, dans son livre "The search for the gold of Toutankhamon" (1976), se disait convaincu que à l'époque de l'ouverture de la tombe la seule découverte archéologique qui aurait pu
constituer un "grave scandale politique et religieux" étaient les documents historiques remontant à l'époque de Tutankhamon. Brackman suggérait que grâce à eux il aurait été possible de démontrer de manière irréfutable l'étroite relation entre le premier pharaon monothéiste de l'histoire, "l'hérétique" Akhenaton (aujourd'hui atteste comme père de Toutankhamon) et Moïse, le législateur israélite qui selon la tradition de l'Ancien testament "conduisit le peuple d'Israel hors d'Egypte".

Pour confirmer cette hypothèse nous trouvons un important témoignage de Lee Keedick, que l'écrivain Thomas Hoving a reporté textuellement dans son volume de 1978, "Tutankhamon - the untold story". keedick a raconté avoir assisté à une discussion animée entre H. Carter et un haut fonctionnaire anglais, survenue en 1924 à l'ambassade britannique du Caire. Durant la lutte houleuse Carter menaça de révéler publiquement " le bouillant contenu des documents qu'il avait trouver dans la tombe", documents qui - selon ce que Carter lui-même affirmait - "racontaient le véritable et scandaleux compte-rendu de l'exode des Hébreux de l'Egypte". Toutefois, il semblerait qu'au terme de la discussion Carter ait trouvé un accord avantageux pour se taire, et de fait, depuis lors, ces papyrii ont disparus comme par magie.

Les documents disparus

L'existence de ces objets est enregistrée et cataloguée durant la rédaction du premier inventaire officiel, mais elle fut bruyamment démentie par Howard Carter- quand on commençait déjà à en parler un peu partout - peu après la mort soudaine de Lord Carnarvon (celle "due à une piqûre de moustique"). Carter expliqua qu'il avait erronément classé certains bandages du pharaon comme des papyrii, à cause de l’absence de lumière
électrique dans la crypte.

Mais sont explication était décidément bien fragile : si en effet il s'agissait d'un simple méprise dans le catalogage, les membres de son équipe aurait du s'en apercevoir très vite, vu l’intérêt qu'entre-temps les précieux documents avaient suscité. L'évident mensonge de Carter eut donc l'effet opposé à celui
désiré : au lieu d'ensevelir pour toujours la nouvelle de la découverte, les "papyrii disparus" de Toutankhamon devinrent l'objet de moqueries et de spéculations, qui se transformèrent en véritables suspects, quand
il fut confirmer que Carter et carnarvon avaient plus d'une fois fait de fausses déclarations à la presse. On su en outre que les deux protagonistes de la découvertes étaient furtivement entrer dans les locaux de la tombe avant son ouverture officielle, pillant à l'occasion de nombreux objets du mobilier funéraire ayant appartenu au pharaon.


Une confirmation de la découverte des papyrii se trouve dans une lettre que Cararvon envoya en novembre 1922 à son ami, l'Egyptologue Alan H. Gardiner. Dans la missive réservée Lord Carnarvon décrivait en détails les objets découverts dans la tombe, et parmi les autres chose il affirmait "il y a une boîte avec à l'intérieur quelques papyrii". Cette présence fut par la suite confirmée par une missives successive de
Carnarvon à Sir Edgar A. Willis Budge, le gardien des antiquités égyptiennes du British Museum, datée du 1er décembre 1922. Dans la lettre Carnarvon affirmait avoir trouvé dans la crypte du pharaon certain document de grande importance historique.

L'existence des papyrii était également confirmée par un des bulletins officiels qui partaient quotidiennement de Luxor, durant les fouilles. Dans la dépêche télégraphique envoyée par Arthur Merton le 30 novembre 1922, on pouvait lire :"...une des boîtes trouvées dans la tombe contenait des rouleaux de papyrus desquels on peut s'attendre à retrouver des masses d'informations historiques".

Comme c'est bien connu, dans le cas d'une importante découverte archéologique, le découvreur évite de faire des déclarations officielle jusqu'à ce qu'il n'ait pu vérifier de fond en combles l'authenticité de sa propre découverte.


Il est donc peu probable que 4 jours après la découverte, aucun membre de l'équipe n'ait encore pris le soin d'effectuer les vérifications. Nous savons en outre que Howard Carter ne démenti jamais les déclarations faites par Lord Carnarvon, et tant l'inventaire, que la première version des faits, furent modifiés seulement après la mort de ce dernier.

Selon certaines sources, le conte de Carnarvon aurait même confirmé la découverte des papyrii dans une interview donnée le 17 décembre 1922 - donc 21 jours après la découverte officielle - à un envoyé spécial du Times.

D'importants indices ultérieurs arrivent de l'égyptologue Alan Gardiner, qui à l'époque fut mis au courant de la découverte par Lord Carnarvon lui-même, et qui publia ses propre opinions sur la valeur effective des découvertes sur le "Times" le 4 décembre 1922. Dans l’interview Gardiner déclarait : "Mes préférences me
portent à être particulièrement intéressé à la boîte des payrii qui a été retrouvée... D'autre part, ces documents pourraient d'une quelconque façon faire la lumière sur le changement de la religion des hérétiques
(c'est-à-dire les pharaon de El Amarna) vers la précédente religion traditionnelle, et ce serait extraordinairement intéressant...".

La "scandaleuse" histoire d'Israel

Bien que ne pouvant pas disposer des précieux documents, la majeure partie des grands historiens sont désormais parvenus à un pas de la solution du mystère qui entoure la période historique de Toutankhamon (fils du pharaon hérétique) et de la naissance du peuple juif. Ces conclusions confirment les rumeurs qui filtraient, à l'époque quand ce même Howard Carter admis devant certains témoins lors d'un discussion animée, que le véritable secret à caché concernait l'histoire d'Israel. Les études les plus récentes conduites dans ce domaine démontrent en effet que selon toutes probabilités le peuple d'israel tire ses origines du mélange racial entre les tribus sémites Hyksos et es autres minorités ethniques qui suivirent le pharaon hérétique Akhénaton avec sa caste sacerdotale Yahud. par ailleurs, et ce depuis l'époque de l'occupation napoléonienne de l'Egypt, que l'érudit Jean-François Champollion suggéra l'existence d'un lien étroit entre l'Ancien testament et la période égyptienne de El amarna et son pharaon monothéiste. il s'agit donc d'une hypothèse déjà largement partagée dans le passé par d'illustre égyptologue, et même confirmée par Sigmund Freud. Le père de la psychanalyse, qui était juif, avait été à fond les textes sacrés à la recherche des véritables origines du peuple israélites, et au terme de ses recherches il avait écrit : "Je voudrais me risquer à une conclusion : si Moïse était égyptien, et s'il transmis aux hébreux sa propre religion, c'était la religion d'Akhenaton, la religion d'Aton". D'autres illustres chercheurs d'origine juive, comme par exemple Messod et Roger Sabbah ("Les secrets de l'exode"), sont arrivés aux mêmes conclusions sur les origines du peuple juif.

Les nouvelles découvertes archéologiques ont donc contraint les chercheurs à revoir drastiquement leur propres positions.

Robert Feather, auteur de l'important livre "Le dernier mystère de Qumran", a montré de manière exhaustive comment le dit "rouleau de cuivre" de la Mer Morte (les "rouleaux" furent cachés dans les grottes de Qmran par la communauté juives des Esséniens) soit indubitablement d'origine égyptienne, et comment une bonne partie de la rédaction de l'Ancien testament soit en réalité à attribué à la caste sacerdotale du pharaon
hérétique Akhenaton (Aménophis IV), les prêtres Yahùd.

Ces affirmations sont à mettre en relation avec les dernière théorie, qui identifie les première tibus d'Israel avec les Shasu - Hyksos (ethnie sémites originaire de la zone Mésopotamienne), qui adoptèrent la
puissante caste sacerdotale égyptienne des Tahùd sous le guide du monarque monothéiste Amenophis IV/ Akhenaton, qui régna durant la période où aurait vécut le biblique Moïse. Tandis que le patriarche des
hébreux Abraham, si on s'en tient aux sources bibliques, provenait justement de la ville de Ur (devenue ensuite Babylone et aujourd'hui Baghdad), et avait donc des origines mésopotamiennes.

Akhenaton et l'histoire négligée de son peuple

Le nord de l'Egypte fut envahi par les Shasu - Hyksos aux alentours su XVIIe siècle a.C., et leurs rois s'établirent comme légitimes pharaons égyptes pendant deux dynastie, la XVe et la XVIe. Les Hyksos était un peuple sémite culturellement très avancé, qui disposait de technologie militaire d'avant-garde, comme les puissant chars de guerre mésopotamiens (chars, cavalerie lourde, casques et cuirasses), auxquels ils devaient très certainement leur rapide succès militaire.

A la fin cependant les rois Hyksos furent vaincus et chassés définitivement au-delà du delta du Nil, tandis qu'une partie de leur peuple fut capturée et contrainte à l'esclavage. Les réfugiés Hyksos passèrent ainsi du statut de dominateur à celui de prisonnier, et leur permanence en Egypte s'étendit pendant environ 400 ans : la même période de temps indiquée par la bible comme "captivité égyptienne des hébreux".

Avec l'arrivée du pharaon hérétique Amenophis IV (qui s'est renommé Akhenaton), la minorité Hyksos se convertit au culte monothéiste d'Aton, suivant le sort de son bref règne. Qu'advint-il après la chute de
Akhenaton ? Ce n'est aujourd'hui pas encore très clair, car les régents qui lui succédèrent en effacèrent toutes les traces dans l'histoire. L'exode biblique apparaît donc comme indubitablement connecté aux
vicissitudes du pharaon hérétique Akhenaton (les seules qui leur garantissent un fondement historique), qui instaura la nouvelle foi monothéiste dévouée au culte de ineffables Dieu Aton.

C'est à lui que Akhenaton dédia la construction d'une ville entière, Akhet.aton (ensuite Tell el Amarna), le lieu où il rassembla son nouveau peuple autour du culte du soleil. On a beaucoup débattu sur l'hérésie d'Aton,
un monothéisme en réalité très atypique qui renfermait en lui, sans le renier, le complexe polythéisme égyptien. De nombreux scientifiques préfèrent donc utiliser le terme de "hénothéisme", expliquant que Aton
n'aurait pas été la seule divinité, mais bien le dieu suprême dont la vénération aurait pu remplacer toutes les autres puisqu'elles en dérivent.

Parmi les convertis a cette forme de monothéisme il y eut aussi les minorités ethniques alors présentent en Egypte, qui une fois réunie dans culte d'Aton donnèrent lieu à la naissance d'un peuple cosmopolite et multiracial, dont les membres d'origine sémite constituaient la majorité. A l'intérieur de cette nouvelle nation il y avait aussi des races typiquement africaines, comme celle des Falashà éthiopien qui aujourd'hui encore revendiquent leurs origines juives. ces derniers toutefois, une fois le règne d'Akhenation sur l'Egypte
terminé, retournèrent dans la région africaines d'appartenance (l'Ethiopie), séparant ainsi leur destin de celui des autres rescapés hérétiques.

Les deux exodes donc - celui historique du pharaon monothéiste Akhenaton d'une part, et celui biblique de Moïse d'autre part - se vérifièrent exactement durant la même période historique, au point que les deux événements narratifs résultent tout à fait superposables l'une sur l'autre. La Bible elle-même en outre nous
informe que Moïse grandit comme un prince à la cour des pharaons, après avoir été retrouvé dans un panier qui flottait le long du Nil. Un épisodes fabuleux qui a l'incomparable saveur d'une invention littéraire
destinée à justifier la présence du patriarche dans la maison du pharaon. Il semble donc évident que les scribes de l'Ancien Testament voulurent sceller la véritable origine de Moïse et de son peuple à leur
propre ancêtre.

L'enquête de Messod et Roger Sabbah

Ce qui semble désormais certain, dans tous les cas, c'est la correspondance entre l'exode multi-ethnique survenu à El Amarna, au terme du règne d'Akhenaton en Egypte, et celui décrit dans la Bible avec
la figure de Moïse. Parmi les nombreuses preuves recueillies en ce sens aux cours des années, il y en a certaines qui sont particulièrement significatives, comme par exemple le Psaume 104 de l'Ancien Testament :
selon l'interprétation la plus diffuse parmi les scientifique laïque, la Psaume n'est autre quie la réélaboration "du Grand hymne à Aton", un texte que le pharaon hérétique en personne à fait rédiger (Le Grand
hymne à Aton a été retrouvé dans la tombe du pharaon Ay à Akhet-Aton / Tell el Amarna).

Selon l'interprétation digne de foi de Messod et Roger Sabbah, en outre, le terme hébreux "adonai", utiliser pour dire "mon seigneur", traduit dans le langage des hieroglyphes égyptiens correspond à la parole Aton, tandis qu'une partie des scientifiques la traduit par adon-ay, c'est-à-dire, seigneur "Ay", le nom du premier
successeur de Akhenaton.

Même l'origine controversée de la prière chrétienne du Notre Père ("Notre père qui êtes aux cieux..."),
nonobstant ce que l'Église Catholique laisse entendre, semble être, selon certains scientifique, un hymne religieux qui remonte à l'Egypte ancienne, précisément à la période où était en vigueur le culte du
Dieu-Soleil (d'où serait né des termes comme "le très haut" ou "le seigneur des cieux").

Il y a un siècle Albert Churchward, scientifique expert de mythologie, affirmait : "Les Evangiles canoniques
peuvent être considérer comme un recueil de dires prélevés dans les mythe et dans l'eschatologie des égyptiens". Bien plus récemment les co-auteurs de "Les secrets de l'exode", Messod et Roger Sabbah, sont
arrivés à soutenir la même thèse en partant de l'examen rigoureux des sources les plus anciennes que nous ayons à disposition, comme certains textes sacrés écrit en araméen.

De cette façon ils ont évité de consulter les textes déjà traduits ou déformé par les interprétations précédentes, récupérant la précieuse signification originale. (Il est bon de savoir en effet que l'araméen n'utilisait pas les voyelles, et le traduire signifie toujours d'une façon ou d'une autre l’interpréter à sa propre discrétion).

Les auteurs ont exécuter un travail d'exégèse rigoureux et approfondi, qui a profité des études herméneutique digne de foi de Salomon Rashì, un traducteur d'hébreux médiéval très connu et respecté même dans le milieu juif orthodoxe, surtout parce qu'il est devenu le dépositaire exclusif de leur tradition orale perdue.

Le secret de la boîte n°101

Une fois éclaircie l'importance historique des papyrii éventuellement présentes dans la tombe de Toutankhamon il est possible de retourner examiner les indices qui suggèrent que ces derniers aient été occultés, tandis que le motif pour lequel ces documents étaient, et sont encore aujourd'hui considéré, politiquement explosifs devrait devenir de plus en plus clair.




Laissons un moment à part l'événement de la découverte, et faisons un bref saut en arrière dans l'histoire.

La naissance du Sionisme

Les idées sionistes commencèrent à se diffuser au sein de la communauté juive à travers les publications et les discours de Binjamin Ze'ev, plus connu comme Theodor Herzl. Son volume "Der Judenstaat" (l'état juif) de 1896 devint ainsi une sorte de "texte sacré" chez les plus fervents militants sionistes. Theodor Herzl è passé à l'histoire comme le fondateur officiel de la World Zionist Organization (la première organisations sioniste au niveau mondiale), un mouvement qui fonde sa propagande sur deux questions fondamentales : le concept de "race juive", et son lien essentiel avec le Terre Promise, Eretz Israel (qui ne signifie pas "Terre d'Isreal" dans le sens géographique, mais Terre des descendants de Jacob, c'est-à-dire "israelites"). Le lobby sioniste ne fut jamais un mouvement politique quelconque, car il pu compter dés le début sur l'appui exclusif de pouvoirs fort de l'époque.

Le support financier des futurs colons juifs en effet fut assuré par le sommet historique des éminents banquiers et franc-maçons qui se tint à Bâle en 1897, durant les travaux du Premier Congrès Sioniste.

Le congrès était présidé par le baron Edmond de Rothschild, lequel mis à l'ordre du jour la naissance d'un institut de credit qui avait pour but principal de soutenir la cause sioniste.

Les sionistes, de leur côté, malgré le manque de fondement tant historique que biologique, cherchaient par tout les moyens à valider et diffuser le concept de "race juive" : une idéologie qui trouva sa propagande dans des œuvres comme celles de Vladimir Jabotinsky (un des plus grands activistes historiques du sionisme révisionniste). Ces derniers en effet, à cause justement du procès d'intégration qui était effectivement en cours à cette époque, considéraient que la pureté ethnique des juifs était en grave danger, en arrivant à soutenir que la seule solution possible pour y remédier était la construction d'un état juif.

A ce point il n'est pas difficile d'imaginer comme l'éventuelle diffusion du contenu des papyrii, qui réécrivaient la racine historique de l'origine du peuple juif, aurait desservi la cause sioniste de manière probablement létale. (Comme cela a déjà été dit, à cette époque la cause n'avait pas encore rencontrer un grand succès. Ce fut seulement dans les années 30, avec l'arrivée au pouvoir d'Adolf Hilter, que la politique sioniste commença à obtenir un large consensus au sein même de la communauté juive. suite à la propagande anti-sémite du dictateur allemand, de nombreux juifs acceptèrent bien volontiers la proposition de déménager définitivement en Palestine, amorçant ce programme d'immigration consistant qui amena par la suite à la naissance de l'état juif.

Paradoxalement donc la politique de ségrégation raciale mise en œuvre par le Fuhrer joua en faveur des Sionistes qui poussaient à une émigration juive de masse vers la Palestine. L'histoire doit encore éclaircir de façon approfondie les différents points de contact qui de fait s'enregistrèrent entre les nazis et les sionistes,
dans cette convergence d'intérêts paradoxale.

Conclusion

Nous somme donc face à une troisième hypothèse, pour chercher d'expliquer la série impressionnant de morts suspectes qui est à la base de cet événement : hasard statistique, malédiction du pharaon, ou 'intervention humain", visant à empêcher la diffusion des contenus des précieux papyrii ?

Cet article suggère clairement la troisième hypothèse, mais il n'existe aucune preuve concrète qui légitime cette accusation envers les sionistes de l'époque. Il existe cependant une curieuse connexion, difficile à ignorer : la présence du bron Edmund de Rothschild dans le cercle des personne qui connurent en premier la
vérité sur le bouillant contenu des documents. L'éminent banquier jouissait en effet d'un canal d'information privilégié, étant parent direct d'Alfred de Rothschild, le financier qui couvrit les dettes du désargenté conte de Carnarvon.

A. De Rothschild, à son tour, était le père naturel de la femme de Carnarvon, lady Almina, la fille de
Marie Felice Wombwell, une femme légalement mariée à l'anglais George Wombwell. Ce degré de parenté entre un des membres les plus puissants de la famille juive et Lady Almina - elle aussi parmi les victime de la "malédiction" - est clairement témoigné dans les mémoires du VI conte de Carnarvon, et il apparaît donc évident que, si réellement on avait retrouvé un compte-rendu historique sur les véritables origines du peuple juif, un membre influent du lobby sioniste comme E. Rothschild l'aurait certainement su
."

SOURCE : Article publié par MARJY sur le Forum www.secret-realite.net

lundi 6 août 2012

cOMMENT RECONNAITRE UN DESINFORMATEUR

3- Les 8 traits d'un désinformateur


1) L'évitement. Ils ne parlent jamais des problèmes de manière directe ni n'argumentent de manière constructive. Ils évitent généralement les citations ou les références. À la place, ils insinuent tout et son contraire. Virtuellement, tout à propos de leur présentation insinue que l'autorité et les experts en la matière ne possèdent aucune crédibilité.

2) Sélectivité. Ils tendent à choisir les adversaires prudemment, soit en appliquant l'approche frappe et cours contre de simples commentateurs supportant leurs adversaires ou en se concentrant plus fortement sur les opposants clés qui sont connus pour aborder directement les problèmes. Si un commentateur devient trop discutailleur sans aucun succès, la focalisation va changer pour également inclure le commentateur.

3) Coïncidence. Ils ont tendance à apparaitre subitement sur un sujet controversé avec pourtant aucun passé de participant sur une discussion générale dans l'arène publique concernée. Ils ont, de même, tendance à disparaitre une fois que le sujet n'est plus intéressant pour la masse. Ils étaient surement censés être ici pour une raison, et ont disparu avec cette raison.

4) Travail d'équipe. Ils ont tendance à opérer en groupes auto-satisfaits et complémentaires. Bien sûr, cela peut arriver naturellement sur n'importe quel forum public, mais il y aura surement une lignée d'échanges fréquents de cette sorte, là où les professionnels sont impliqués. Des fois, l'un des participants va infiltrer le camp opposé pour devenir une source pour un argument épouvantail ou d'autres techniques conçues pour diminuer la force de frappe de l'adversaire.

5) Anti-conspirateur. Ils expriment presque toujours un certain mépris envers les théoriciens de la conspiration et, généralement, pour tous ceux qui pensent que JFK n'a pas été tué par LHO. Demandez-vous pourquoi, s'ils possèdent un tel mépris pour les théoriciens de la conspiration, est-ce qu'ils se concentrent sur la défense d'un seul sujet discuté sur un newgroup abordant les conspirations ? Certains peuvent penser qu'ils sont là pour essayer de faire passer tout le monde pour des fous sur chaque sujet ou pour tout simplement ignorer le groupe pour lequel ils expriment un tel mépris. Ou, certains peuvent plus justement conclure qu'ils possèdent une raison cachée pour que leurs actions disparaissent de leur chemin.

6) Émotions artificielles. Un genre étrange de sentimentalisme artificiel et une peau inhabituellement dure une capacité à persévérer et à persister même face à un flot accablant de critiques et d'intolérances. Cette technique provient d'un entrainement des services de renseignement qui, peu importe à quel point la preuve est accablante, réfute tout et qui empêche d'être émotionnellement réactif ou impliqué. Pour un expert de la désinformation, les émotions peuvent sembler artificielles. La plupart des personnes, si elles répondent avec colère, par exemple, vont exprimer leur animosité à travers leur rejet. Mais les professionnels de la désinformation vont généralement avoir des problèmes pour maintenir " leur image " et sont d'humeur changeante à l'égard de prétendues émotions et de leur style de communication plus calme et impassible. C'est juste un métier et ils semblent souvent incapables de " jouer leur rôle ". Vous pouvez piquer une colère absolue à un moment, exprimer un désintérêt ensuite et encore plus de colère plus tard un yo-yo émotionnel. En ce qui concerne le fait d'avoir la peau dure, aucune quantité de critiques ne va les dissuader de faire leur travail et ils vont généralement continuer leurs vieilles techniques sans aucun ajustement aux critiques sur la mise au jour de leur petit jeu - alors qu'un individu plus rationnel va vraiment s'inquiéter de ce que les autres peuvent penser et va chercher à améliorer son style de communication ou tout simplement abandonner.

7) Incohérent. Ils ont aussi une tendance à faire des erreurs qui trahit leurs vraies motivations. Cela peut éventuellement venir du fait qu'ils ne connaissent pas vraiment leur sujet ou qu'ils soient un petit peu " freudien ". J'ai noté que, souvent, ils vont simplement citer des informations contradictoires qui vont se neutraliser elles-mêmes. Par exemple, un petit joueur déclarait être un pilote de l'armée de l'air, mais avait un style d'écriture très pauvre (orthographe, grammaire, style incohérent). Il ne devait pas avoir fait d'études supérieures. Je ne connais pas beaucoup de pilotes de l'armée de l'air qui n'ont pas un diplôme universitaire. Un autre a notamment déclaré ne rien savoir d'un certain sujet, mais s'est prétendu, par la suite, expert en la matière.

8 ) Constante de temps. On a récemment découvert, en ce qui concerne les Newsgroups, le facteur temps de réponse. Il y a trois façons de le voir fonctionner, surtout lorsque le gouvernement ou une autre personne avec un certain pouvoir est impliqué dans une opération de dissimulation.8.a) N'importe quel post sur un NG (Newsgroups) posté par un partisan de la vérité ciblé peut résulter en une réponse immédiate. Le gouvernement et les autres personnes habilitées peuvent se permettre de payer des gens pour s'asseoir devant et trouver une opportunité d'occasionner des dégâts. PUISQUE LA DÉSINFORMATION DANS UN NG NE MARCHE QUE SI LE LECTEUR LA VOIT UNE RÉPONSE RAPIDE EST NÉCESSAIRE, ou le visiteur peut être aiguillé vers la vérité.

8.b) Lorsque l'on a affaire à un désinformateur d'une manière plus directe, par email par exemple, LE DÉLAI EST NÉCESSAIRE il y aura généralement un minimum de 48-72h de délai. Cela permet à une équipe de se concerter sur la réponse stratégique à adopter pour un meilleur effet et même d'obtenir une permission ou une instruction d'une voie hiérarchique.

8.c) Dans l'exemple des NG 1) ci-dessus, on aura ÉGALEMENT souvent le cas où de plus gros moyens sont mis en place après le délai de 48-72h. Cela est surtout vrai lorsque le chercheur de vérité et ses commentaires sont considérés comme plus importants et potentiellement révélateurs de la vérité. Ainsi, un révélateur de vérité sera attaqué deux fois pour le même péché.

 Merci à Benjam6974 pour ces infos