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lundi 30 septembre 2013

Pierre de Dashka




Une fantastique découverte par les scientifiques de l'Université de la République Russe de Bachkirie vient jeter un nouveau pavé dans la mare "bien tranquille" de l'Histoire de l'Humanité : Une tablette en pierre représentant une carte en relief de l'Oural, estimée à 120 millions d'années !
 
Docteur en sciences physiques et en mathématiques, professeur à l'Université d'état de Bachkirie, Alexandre Chuvyrov et son étudiant chinois Huan Hun, décidèrent, en 1995, d'étudier l'hypothèse d'une migration ancienne possible des chinois en Sibérie et en Oural. Au gré de leurs expéditions en Bachkirie, ils trouvèrent plusieurs gravures rupestres en vieux chinois ( traitant surtout de commerce, de mariage et de décès ), confirmant ainsi leur hypothèse.
 
Pendant leurs recherches, ils découvrirent dans les archives du Gouverneur général d'Ufa des notes du 18ème siècle qui rapportaient l'existence d'environ 200 tablettes de pierre gravées inhabituelles près du village de Chandar, dans la région de Nurimanov. D'autres notes indiquaient qu'aux 17ème-18ème siècles, des expéditions de scientifiques russes dans l'Oural avaient étudié 200 tablettes blanches comportant des signes et des motifs. D'autres notes encore, indiquaient qu'au début du 20ème siècle, l'archéologue A. Schmidt avait également vu ces tablettes blanches en Bachkirie.
 
En 1998, le Pr Chuvyrov et son équipe se mirent en quête... mais sans succès ; à tel point qu'ils commencaient à penser que tout cela n'était que légende. C'est alors que le 21 juillet 1999, Vladimir Kraïnov, ex-président du conseil local de l'agriculture, révéla au Pr Chuvyrov l'existence d'une tablette enfouie dans sa cour . Une semaine plus tard, les travaux commencèrent pour extraire la pierre de Dashka qui fut emmenée à l'Université d'Ufa pour étude.

Après l'avoir nettoyée, les scientifiques n'en crurent pas leurs yeux... cette pierre était une carte tridimensionnelle !
 
Cette pierre de près d'une tonne, mesure :
  • 1m 48 de hauteur
  • 1m 06 de large
  • 16 cm d'épaisseur
Elle est composée de trois couches :
- La base, épaisse de 14 cm est en dolomite.
- La deuxième couche, ( la plus intéressante ), sur laquelle "l'image" est gravée, est en diopside, mais la technologie de son "traitement" nous est encore inconnue...
- La troisième couche, épaisse de 2 mm, est en porcelaine de calcium et assure donc la protection de la carte contre tout impact extérieur.

Son passage aux rayons X a révélé qu'elle était d'origine artificielle. Cette pierre a été usinée à l'aide d'outils de précision, son relief n'a pas pu être exécuté par un graveur de pierre. Elle ferait partie d'un "puzzle" de 340 m x 340 m, et le Pr Chuvyrov pense pouvoir localiser 4 autres éléments de l'ensemble... à suivre...
 
Comme le relief général de la Bachkirie n'a pas trop changé en quelques millions d'années, ils parvinrent assez rapidement à identifier le mont d'Ufa et surtout son canyon, tout ceci en tenant compte de la géologie locale ainsi que des mouvements tectoniques. A l'aide de spécialistes en cartographie, physique, géologie etc., les différentes rivières de l'Oural ainsi que la faille d'Ufa à Sterlitimak, etc. furent identifiées. Tout ceci confirme la grande ancienneté de la carte à l'échelle 1:1,1 km.
 
Plus étonnant encore, en plus de toutes les différentes rivières de la région, cette carte montre un système géant d'irrigation avec notamment deux systèmes de canaux de 500 m de large, 12 barrages entre 300 et 500 m de large pour 10 km de long et 3 km de profondeur chacun. Ces barrages servant à alimenter les différents réseaux ont nécessité l'extraction d'au moins 1024 m3 de terre. En comparaison, le canal de la Volga au Don semblerait n'être qu'une simple éraflure. La Belaya actuelle semble avoir été à l'origine une rivière artificielle.
 
Les scientifiques ont pensé tout d'abord que cette carte pouvait être l'oeuvre des anciens chinois à cause des inscriptions verticales qui figurent sur la tablette. Mais les inscriptions n'ont pu être déchiffrées même si le Pr Chuvyrov pense qu'un des symboles représente la latitude d'Ufa. Le Pr Chuvyrov et son équipe pensèrent également que la carte datait de 3000 ans, mais plus son étude avançait, plus son âge grandissait. Les datations au radiocarbone ont donné des résultats erratiques et non concluants.
 
Une analyse plus fine de la pierre a révélé la présence en son sein de deux coquillages caractéristiques, l'un de 50 millions d'années, l'autre de 120 millions d'années. Mais rien ne permet de dire que ces coquillages n'étaient pas déjà à l'état de fossile lors de la création de la carte. Le Pr Chuvyrov et son équipe pensent que cette carte a été fabriquée alors que le pôle magnétique était situé en Terre François Joseph il y a 120 millions d'années !
 
De nombreuses questions concernant cette pierre restent en suspens, non seulement en ce qui concerne sa datation mais également sur ses auteurs et sa fonction ? Selon le Centre de Cartographie Historique du Wisconsin, USA, qui a étudié les éléments de la pierre de Dashka, cette carte de navigation n'a pu être effectuée qu'à partir de relevés aériens. Ce type de travail est en cours au Etats-Unis. Il nécessite un traitement informatique extrèmement puissant et l'utilisation de données satellitaires. Les américains prévoient l'achèvement de ces travaux d'ici 2010.
 
Il semble que ceux qui vivaient à cette époque et qui ont construit cette carte n'utilisaient que les voies maritimes ou aériennes car il n'y a aucune trace de route. Les auteurs de cette carte ( une civilisation antérieure disparue ? ) n'habitaient peut-être pas à cet endroit mais prévoyaient-ils une colonisation ? Le Pr Chuvyrov est évidemment très circonspect quant aux auteurs de cette carte :
"Je n'aime pas parler d'OVNI ou d'extraterrestres. Appelons donc l'auteur de cette carte simplement - le créateur".
 
 

La source concernant cette découverte est un article paru dans le quotidien russe La Pravda le 30 avril 2002.
 


                                         Pierre-dashka.jpg

Seuls des relevés aériens auraient permis le traçage de cette carte !!
 
 
Alexandre Chuvyrov est docteur en physique et sciences mathématiques. Il dirige actuellement la faculté de physique technique. Ses travaux de recherche portent notamment sur les matériaux (cristaux, métaux, verre anti-radiations) et la physique appliquée.
 
 
La carte confirme l'existence d'une civilisation avancée a l’air secondaire, à l’époque du crétacé !!
 
 
 
 
Crétacé ?
Si on représente l’histoire de la vie en 24 heures, le Crétacé correspond environ au temps entre 23 h et 23 h 30.     
L’être humain est apparu une minute et demi avant minuit, et la civilisation moderne à moins d’une seconde de minuit.
La Terre s’est formée il y a 4,6 milliards d’années et la vie est apparue 800 millions d’années plus tard.
Le Crétacé est une période qui s’étend de 145 à 65.5 millions d’années avant aujourd’hui. Son nom se réfère au dépôt qui a l’aspect de la craie.

                                             Terre-Permien-Trias-Cretace-1.jpg
 
 Conclusions :
Cette carte en pierre qui date de 120 millions d’années, nous montre à quel point nous sommes complètement ignorant de notre passé bien mystérieux !

Si on y regarde de plus prés, on s’aperçoit que nous ne savons pas grand chose de notre passé, de notre présent, et encore moins de notre futur.
 
-         Pour notre passé :  On le voit bien, avec cette pierre, avec les pyramides  seulement 4 000 ans, les Incas, les mayas, avec Jésus, Sumer, L’Atlantide etc etc…
On échafaude des hypothèses, des théories qui sont remises en cause à chaque découverte, et ainsi de suite…
          
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-  Pour notre présent : on connaît à peine 10% des fonds marins qui représentent 71% du globe terrestre, et l’homme n’a jamais foulé environ 10% des terres ( surtout les continents Arctique, et Antarctique). Donc plus de 70% de notre planète nous sont totalement inconnus !  
Et nous on est la, avec notre petite prétention humaine bien arrogante, on croit tout savoir sur tout, alors que l’on est ignorant de tout pratiquement. Combien de mystères nous restent ils à découvrir à élucider rien que sur notre planète, je ne parle même pas de notre système solaire, et encore moins de l’univers !
 
Qu’avons nous appris à l’école qu’apprenons-nous à nos enfants sur la vie, sur la terre, sur l’univers etc, des hypothèses, des théories, bourrées d’erreurs, bourrées de sornettes, du grand n’importe quoi en sommes, un seul exemple : La théorie de l’évolution  !

                           
 


Eloignement Lunaire

Tous les scientifiques reconnaissent que la Lune s’éloigne de la terre de 3 à 5,8 cm par année et que la Terre ralenti graduellement .

Les marées terrestres devancent légèrement la Lune dans son orbite et produisent un torque qui accélère la Lune. L’énergie perdue par la Terre est gagneé par la Lune et celle-ci s’éloigne.
Le phénomène est d’ailleurs connu depuis un bon moment. Au 18e siècle on s’y est intéressé et à la fin du 19e s. George H. Darwin (le fils de Charles) en a fait une étude classique.
 
L’attraction gravitationnelle de la lune soulève des marées sur la Terre. Ces marées affectent deux composants terrestres : les océans et la croûte terrestre. Puisque la Terre est plutôt rigide on peut supposer que les marées touchant la croûte terrestre soient petites mais non négligeables semble-t-il lorsqu’on doit calculer la stabilité orbitale de satellites.
 
La direction de l’orbite terrestre est la même que celle de l’orbite lunaire autour de la Terre.
La Terre tourne quelque peu plus rapidement que tourne la lune autour de la Terre.
Ce qui a comme effet que le renflement des marées sur Terre (soulevés par la Lune) sont entraînés "devant" la Lune (ou devant la ligne que l’on pourrait tracer entre les deux centres).
Le renflement des marées sur Terre, précédant la Lune exerce une petite torque sur la Lune et l’accélère légèrement.
Ce torque, étant exercé sur la Lune de manière continuelle a comme effet d’accélérer la Lune. Étant accéléré, la Lune tend à s’éloigner de la Terre.
 Il y a un effet de rétroaction : plus la Lune se trouve près de la Terre, plus grandes seront les marées, et plus grandes seront les marées, plus grand sera le torque des marées sur la Lune et plus grande sera la vitesse d’éloignement de la Lune.
Autres détails :
Puisque actuellement on observe que la Terre ralenti, il s’en suit que dans le passé elle allait plus rapidement.
Puisque on observe actuellement que la Lune s’éloigne de la Terre, il s’en suit que dans le passé son orbite était plus prés de la Terre.
Mais de manière générale, quel est l’intérêt de la question de l’éloignement lunaire ?
Les mêmes équations qui permettent de déterminer où sera situé la Lune dans  10 000 ans permettent aussi de remonter le temps et posent une limite pour l’âge du système Terre - Lune.
 
Plus on remonte dans le temps, plus la Lune s’approche de la Terre. D’autre part plus on remonte dans le temps plus la Terre devait tourner rapidement et, par conséquence, les journées étaient plus courtes.
En se basant sur les données d’observation on arrive à un âge maximal pour de système Terre - Lune de 1 à 2 milliards d’années car c’est à cette époque que la Lune atteint, dans son orbite, un seuil important, la limite Roche.
La Lune et la Terre se rencontrent… La limite Roche est donc un seuil au-delà duquel un satellite ne peut approcher sa planète hôte sans se désintégrer.
Mais la Terre est censée avoir existée depuis plus de 4,6 milliards d’années ! 
Que faut-il en penser ?                                                                                    À moins de supposer qu’un ange ait placé la Lune dans un orbite parfaitement circulaire il y a 2 milliards d’années, il faut supposer que l’approche de la limite Roche constitue aussi une limite pour l’âge de la Terre.
Ce simple constat comporte des conséquences fort intéressantes, ou fort pénibles, tout dépend du point de vue.
 Dans les discussions sur les origines, le temps est un facteur crucial. Si on élimine les milliards d’années postulés généralement, TOUT l’édifice conceptuel échafaudé par la théorie de l’évolution s’écroule. L’évolution est logiquement inconcevable sans de très longues périodes de temps où les mécanismes de la sélection naturelle peuvent opérer.
Lorsqu’on examine attentivement la littérature scientifique on observe un phénomène étrange. Là où les données d’observation coïncident avec la théories acceptée on les claironne dans le médias afin que tous puissent les connaître, mais là où les données scientifiques contredisent cette théorie, dès que possible, on les balaie sous le tapis et on se comporte comme s’ils n’existent pas.
Lorsqu’on comprends bien les enjeux de la question on peut alors comprendre la motivation de certains d’exclure à tout prix certaines données d’observation.
Évidemment, on peut songer à toute les options et à toutes les explications… sauf celles qui exigeraient de remettre en question le cadre théorique orthodoxe concernant l’âge de la Terre.
De telles remises en question sont trop douloureuses et, de plus, les budgets de recherche pourraient en subir des contrecoups… Pour ceux qui pourraient douter de telles propos il suffit de penser au fureur que provoqua dans les milieux de l’astrophysique les écrits d’Immanuel Velikovsky.
 
Au-delà des discussion sur la valeur de ces données,interdictions,critiques,censures,marginalisation et boycott des éditeurs furent le lot de l’auteur. On l’a banni.
 
 
Tous les moyens sont bons pour assurer l’orthodoxie des élites. Les marges de manoeuvre du scientifique moderne sont bien plus étroites qu’on pourrait le penser. Sir Fred Hoyle, astronome anglais de renommé mondiale, fait allusion à ce processus de filtration/censure des idées dans le contexte des publications scientifiques (in Horgan 1995 : 47)
 
"Si la Lune ne peut avoir plus de 1 à 2 milliards d’années l’évolution de la vie sur Terre n’est pas nécessairement affecté pour autant car l’explosion du Cambrien a eut lieu il y a seulement 600 millions d’années, c’est-à-dire APRÈS le rencontre Lune - Terre.
La vie sur Terre aurait pu donc évoluer en toute quiétude. Pas de problème."
Il est vrai que l’explosion des espèces marines est bien postulé après la période où la Lune se trouve près de la limite Roche, mais il est essentiel de noter que l’explosion du Cambrien n’est pas le début de la vie sur Terre.
À la période cambrienne on postule déjà l’existence d’organismes bien développés, c’est-à-dire les invertébrés et une multitude d’autres formes de vie complexes. Il faut aussi noter que l’évolution est un processus très lent et qu’on suppose que la vie sur Terre a commencé bien avant 600 millions d’années.
 
En fait, on postule que les premières cellules viables et mais aussi les premiers organismes multicellulaires sont apparues au Précambrien.
Dans un article paru dans la revue Nature, Watanabe, Martini et Ohmoto (2000) sont d’avis que les organismes vivants ont commencé à coloniser les continents il y a 2.6 milliards d’années et que la mer fut remplit de microorganismes il y a 3,8 milliards d’années. Un autre article par Henry Gee dans la revue Nature appuye cette date.
 
Une découverte faite par des chercheurs américains basé sur une échantillon de roche provenant de l’Australie semble affirmer l’idée que la vie serait même apparu bien auparavant. Les analyses de cette roche semble indiquer que la vie serait apparu dans la première milliard d’années de l’existence de la Terre.
On ne peut donc prévoir si cette découverte sera acceptée ou rejetée par la communauté scientifique mais si elle se voyait acceptée cela ne ferait qu’augmenter la taille du problème ici.
 
Maintenant la question de base ici est assez simple. Si , d’un côté, la vie sur Terre est apparue il y a 3,5 ou même 3,8 milliards d’années et, de l’autre, les données lunaires indiquent qu’un événement Gerstenkorn a dû se produire il y a 1 à 2 milliards d’années il faut constater qu’il y a un "léger" problème.
 
Un "léger" problème car tout nous indique qu’un tel événement n’interagirait pas de manière "bienfaisante" avec la vie existant sur Terre. Peu importe l’évolution qu’on a pu postuler avant 1 ou 2 milliards d’années ce scénario implique une table rase de la vie au moment de l’événement Gerstenkorn. Retour à la case départ. Tout le travail de l’évolution et de la sélection naturelle réalisé auparavant serait réduit à zéro. L’auteur scientifique Kurt Lambeck fait les remarques suivantes au sujet des implications d’un événement Gerstenkorn.
 
 
On peut deviner que plusieurs millions d’années seraient nécessaires uniquement afin que la Terre puisse se refroidir à nouveau après un tel événement.
Au bout du compte, même si on admet une âge de 4,6 milliards d’années pour la Terre cela ne règle en rien la question du temps disponible pour les processus évolutifs, car si on tient compte des données empiriques de l’éloignement lunaire (même en écartant la question du refroidissement de la Terre après un événement Gerstenkorn) il est difficile de ne pas admettre le constat que les 1 à 2 milliards d’années qui restent sont insuffisants pour l’évolution de la vie.
 
Évidemment un tel constat est inadmissible pour les grandes institutions scientifiques car elle exigerais des remises en question fondamentales, impensables sur la question des origines. Cet effet de marées est connu ailleurs dans le système solaire. Io, une des lunes de Jupiter est affecté par le champ gravitationnel de Jupiter et cela provoque de la friction au point où il y a des éruptions violentes de magma sur Io qui se projettent à des kilomêtres dans l’espace .
Évidemment dans les milieux en astrophysique, le rencontre Terre - Lune il y a environ 1.2 milliards d’années est chose connue. Mais puisque cette rencontre ne peut être concevable dans le contexte évolutionniste, il n’a pas eu lieu…
On écrit alors une fable (en langage scientifique, on dit qu’on établit de nouveaux postulats) voulant que par le passé les plaques continentales de la Terre auraient été configurés de manière précise à éviter tout effet de marées.
Pas d’océans vers l’équateur, uniquement aux pôles. Rien de plus simple…
 
Il est fort facile de faire de la science lorsqu’on peut ignorer des données et jouer à volonté avec les postulats de départ.
 
                   L’éloignement lunaire restera donc un sujet oublié !

dimanche 23 juin 2013

LE MONDE EXTERIEUR / LE MONDE INTERIEUR

Je vous propose de découvrir un documentaire en 4 parties sur les notions de monde extérieur et de monde intérieur.

Une pépite à découvrir pour peut être mieux percevoir la réalité du monde.

Ce documentaire parle de l'Akasha, de l'Univers Fractal et de plein de choses intéressantes si comme moi vous êtes curieux.





mardi 18 juin 2013

Les secrets des Poles

D’énormes secrets… aux pôles Nord et Sud de la Terre… !

Commençons doucememnt par un sujet d'actualité récent... 

 
Le Groenland s’inquiète de sa pollution radioactive…


 

Il y a plus de 40 ans, en 1968, un B-52 américain porteur de 4 bombes nucléaires s’est écrasé près de la base US de Thulé . 
 
« C'est indiscutable et nous pouvons donner une réponse claire : il n'y a aucune bombe, il n'y avait pas de bombe et les Américains ne cherchaient pas de bombe » avec leur sous-marin robot à l'été 1968, souligne un chercheur.
 
 
La bombe nucléaire perdue à jamais ?
Les Etats-Unis ont perdu une bombe nucléaire dans la région de Thulé  en 1968 et cette bombe n'a jamais été retrouvée en dépit des nombreuses recherches effectuées dans cette région.
 
Cette affaire déjà connue a été remise au goût du jour par la BBC. La BBC rappelle que les Etats-Unis, qui possèdent une base à Thulé, ont perdu cette bombe sous la glace à la suite d'un crash d'un bombardier qui avait à son bord quatre bombes nucléaires. Les trois autres ont été retrouvées.
 
"On a fait des tas d'enquêtes sur le milieu marin, le poisson et les mammifères, mais très peu à terre sur la santé des habitants. Le temps est venu de s'intéresser aux êtres humains aussi" tempête Lars-Emil Johansen, un des deux hauts représentants du Groenland au Danemark et président de la commission parlementaire chargée des affaires de l'île à Copenhague.
 
C'est pourquoi, le Groenland a décidé de réclamer une enquête sanitaire sur les Inuits qui habitent cette région.
 
Y a-t-il encore un danger ? Selon des responsables américains, la radioactivité a dû se dissoudre dans cette masse d'eau et le danger est désormais écarté.
 
Source : http://www.ushuaia.com/info-planete/actu-en-continu/nucleaire-4158589.html 
 
  
Interessont nous tout d’abord à cette base de  ‘’ Thulé ‘’…
 
L'ordre de Thulé est une société secrète allemande de Munich, qui à l'origine était un groupe d'études ethnologiques s'intéressant tout spécialement à l'Antiquité germanique et au pangermanisme aryen. Ses mythes racistes et occultistes inspirèrent le mysticisme nazi et l'idéologie national-socialiste.
 
Les membres de ce groupe pensent que Thulé était ce qui subsistait d'un continent aujourd'hui disparu, appelé Hyperborée, et que ce continent était le berceau de la race aryenne. « Ultima Thulé » aurait été la capitale du premier continent colonisé par les Aryens.
 
L’Hyperborée serait un continent aux confins septentrionaux du monde habité, pour les Grecs et les Romains, cette terre est comme parfaite, avec le soleil qui y brille constamment,  et abritant de grandes quantités d'or.
 
Selon plusieurs auteurs grecs et latins, il aurait existé dans des temps très reculés un continent situé à l'Extrême-Nord, qu'ils appelaient Hyperborée (Ultima Thulé), lequel aurait été peuplé d'hommes transparents. Ceux-ci, en s'alliant aux autres hommes, auraient donné naissance à des êtres humains de plus en plus opaques, mais leurs descendants auraient néanmoins conservé leurs facultés, supérieures à celles des humains ordinaires.
 
Quelques uns des membres important de l’ordre de Thulé sont bien connus jugez vous même : Adolf Hitler -  Hermann Göring -  Heinrich Himmler - Rudolf Hess..
 
La base aérienne US de Thulé est située à 1 524 kilomètres du Pôle Nord.
 
l'administration Bush souhaitait faire de la base militaire de Thulé un des maillons du bouclier antimissile américain. Elle est un maillon important de la chaîne de radars du NORAD depuis le début de la Guerre froide, et une station de surveillance de satellites de l'Air Force Space Command.
 
Sa piste de 3 000 mètres accueille environ 2 600 vols militaires et internationaux par an.
 
Le Danemark ne prit pas la peine de consulter la population locale, représentée par le Conseil des Chasseurs, pour donner son feu vert à la construction et à l’agrandissement de la base aérienne américaine, et ordonna en mai 1953 le déplacement des autochtones de Thulé (les Inughuits), une petite communauté inuite vivant de la chasse et de la pêche traditionnelles.
 
Les 187 âmes du peuple le plus septentrional au monde furent contraintes de quitter leurs terres millénaires en quelques jours pour s’exiler à Qaanaaq, à 150 kilomètres au nord. Ils ne recevront un dédommagement qu'en 1999.
 
La base militaire, fut transformée en secret en base pour bombardiers stratégiques, et devint une véritable enclave de l’armée américaine, accueillant des milliers de militaires.
 
En 1954, l'armée américaine procéda à la construction de la Globecom Tower, un mât radio d'une hauteur de 378 mètres. Ce mât est isolé contre la terre et utilisé pour les transmissions télex sur grandes ondes. Il est construit sur un sol chaud en permanence. Au moment de sa construction, il s'agissait de la troisième plus haute construction humaine.
 
En 1959, la base de Thulé fut la principale base de soutien pour la construction du Camp Century à quelques 150 miles de la. Creusé dans la glace, le Camp Century était officiellement une base de recherche scientifique. Alimenté par un réacteur nucléaire, il fut en fonction entre 1959 et 1967.
 
Un B-52 américain  s’abîma dans la mer Arctique le 21 janvier 1968, près du Groenland. Ce bombardier transportait quatre bombes nucléaires, dont trois se pulvérisèrent sur la banquise et en mer, et une n’a jamais été repêchée.
 
De nombreux Inuits, réquisitionnés pour participer aux opérations de nettoyage après la catastrophe, sont décédés des suites de leur contamination par la radioactivité.
 
En 1982, Thulé devint une base de l'Air Force Space Command ( USAF) L' USAF Space Command est la force spatiale des États-Unis.
 
Pour ce qui concerne la base de Camp Century, les premiers forages profonds ont été entrepris au Groenland à Camp Century en 1966, sous pretexte d’études sur le climat, les chercheurs sont remontés plus de 100 000 ans en arrière sous les glaces, et ont trouvés selon certaines sources, des vaisseaux aliens, des corps aliens, des technologies alien très avancées, et des constructions de cités inconnues, informations non confirmées bien entendu !
 
Notons que les forages profond de Camp Century ont permis d’établir selon les scientifqiues, que lors du dernier stade de la glaciation, il est vraisemblable que le volume de glace était de l'ordre de quelque 80 millions de kilomètres cubes, et que c'est essentiellement la fusion des inlandsis formés alors en Europe et Amérique du Nord qui a conduit à une augmentation du niveau des mers de l'ordre de 120 mètres !
 
En plus de cet épisode, les datations de plages ou récifs coralliens émergés ont permis d'établir l'existence de hauts niveaux marins il y a 120 000 et 80 000 ans, et de façon plus incertaine, il y a 100 000 ans.
 
C’est également bien entendu un endroit idéal pour lancer des expéditions aérienne entre autre, pour l’ étude de l’ ouverture polaire Nord qui mènerait au monde souterrain de l’Agartha.
 
D’ailleurs on comprend mieux le pourquoi du comment du crash d’un B52 armé de bombes nucléaires, qui sans doute tentait de  ‘’ forcer ‘’ cette ouverture qui nous est interdite et qui est bloquée par quelques systèmes qui nous sont totalement inconnus, mais tellement éfficace par contre !
 
D’ailleurs les américains n’en sont pas à leur dernier essai dans ce domaine, ils ont récidivés il y a peu mais je ne retrouve plus les infos concernant  2 ou 3 explosions nucléaires au pôle pour la recherche de pétrole selon la version officielle ! Ne retrouvant hélas aucune info sur ce sujet, vous serez obliger de me croire sur parole !
 
Souvenons également de l’opération High Jump menée par l’amiral Byrd, dont certaines sources affirment que cette opération avait pour but officieux de mener une attaque contre les forces aliens situées aux pôles, et cette mission Hig Jump la plus grosse opération militaire de tous les temps dans les glaces du pole, rentra au bercail avec quelques pertes, en matériel et en vie humaine.
 
Cette énorme opération militaire avait pour but, sois disant, de cartagraphier le pôle, mais la mission revint tres rapidement avec des pertes, ils auraient pris une raclée mémorable plusieurs fois de suite ! mais la encore ces infos ne sont pas confirmées bien entendu.
 
Sauf que, tous les évènements désastreux ont conduit l'amiral Richard E. Byrd, le responsable de cette opération, à interrompre cette exploration. Une grande partie des photographies de cette région était sans valeur, car dans cette région les boussoles étaient inutilisables, ce qui rendait impossible la localisation des clichés.
 
Ainsi, de nos jours, cette région reste la plus inconnue du monde : seule la côte est clairement délimitée sur les cartes, les terres intérieures restant inexplorées pour la plupart.
 
La motivation n´était pas scientifique, mais bien entendu militaire. Effectivement, plus de 50% des bateaux, qui ont participé dans cette opération, étaient des bateaux militaires, chose étrange pour une opération ayant pour but officiel d’explorer l´Antarctique géologiquement et géophysiquement.
 
Cet impressionnant déploiement de forces fit appel à 5 000 hommes, 13 navires et 26 avions.
 
De plus, cette théorie du mensonge/complot est soutenue par un interview de M. Byrd, directement après cette opération High Jump.
 
L’ors de cette opération le 30 décembre 1946, l´avion « George I » entra en collision mystérieusement avec une montagne lors d'un vol de patrouille, alors qu'officiellement il photographiait la région. On retrouva les survivants 2 semaines plus tard, mais 3 des 9 occupants de l'appareil étaient déjà décédés (Wendell K. Hendersin, Fredrick W. Williams et Ensign Maxwell A. Lopez).
 
Le sous-marin USS Sennet selon la théorie officielle entra en collision avec un grand bloc de glace lors d'une exploration, et dut repartir vers la Nouvelle-Zélande.
 
Remarquons au passage qu’ exactement dans cette région, en 1938, l´opération Nouvelle-Souabe des Nazis s'était déroulée. Officiellement, l´opération Nouvelle Souabe des Nazis, était d´établir un camp militaire dans cette région. On doit aussi dire que les Nazis ont d´abord demandé à l’amiral Byrd de faire cette opération Nouvelle Souabe, mais il a refusé.
 
Bien entendu pour le sceptique moyen, Thulé et l’hyperborée n’ont jamais existées, la base militaire US de Thulé n’a qu’un but scientifique, la base de Camp Century n’a rien découvert ( ovni - constructions- technologies aliens etc ), une ouverture aux pôles conduisant au monde souterrain habité par une race sage et pacifique n’est que pure délire, l’opération High Jump n’avait qu’un simple but scientifique, et les incident ne sont que de simples accidents etc etc…
 
La Théorie bouddhiste par exemple affirme qu’il existe une race de super-hommes et de super-femmes qui viennent de temps en temps à la surface pour surveiller le développement de la race humaine. Elle affirme également que ce monde souterrain a des millions d'habitants et beaucoup de villes, dont la capitale est Shambala.
 
La philosophie antique déclare que l’Agartha existe depuis des milliers d’années. Le peuple a une connaissance et une expérience scientifiques bien supérieures à celles de notre civilisation. D’ailleurs les moines Tibétains et le Dalaï Lama sont en relationavec ce peuple selon de très fortes présomptions, souvent avérées.
 
En Inde, le Ramayana, un des textes les plus célèbres de l'Inde, raconte l'histoire du grand avatar Rama. Il décrit Rama en tant qu’ "émissaire d'Agartha", et arrivé sur un véhicule aérien.
 
En Inde il y a une croyance antique, qui dit qu’une race souterraine de serpents demeure dans les villes de Patala et de Bhogavati. Selon la légende, ils font la guerre sur le royaume d'Agharta. "Les Nagas", ou "les habitants des profondeurs", sont décrits comme une race très avançée, avec une technologie fortement développée.
 
Nul doute que cette civilisation, existe, d’ailleurs à ce propos je vous conseil fortement la lecture du fabuleux livre : « Le monde perdu de l'Agharta : le mystère de l'énergie vril. »  de Alec Maclellan dont voici la préface :


 

‘’ Depuis des siècles, divers chercheurs ont continuellement voulu connaître la vérité sur l'ancienne légende d'un royaume souterrain et secret, qui serait relié à tous les continents de la Terre par l'intermédiaire d'un vaste réseau de tunnels et de galeries.
 
Les habitants de ce royaume digne d'une utopie sont censés ne plus avoir de lien avec le monde connu depuis des temps immémoriaux, et seraient les gardiens d'une énergie secrète appelée "Vril" qui leur assurerait la maîtrise de l'homme et de la nature.
 
Des déserts empreints de mystère de l'immensité asiatique aux jungles d'Amérique du sud, en passant par diverses légendes plus proches de nous touchant aux mondes souterrains - sans oublier les parcours de certains personnages pour qui l'aventure représentait un mode d'existence -, se croisent ici les figures d'une même "famille" comme, entre autres, Joseph Alexandre Saint-Yves d'Alvevdre, Lord Edward George Earle Bulwer Lytton, Helena Petrovna Blavatsky et Louis Jacolliot d'une part - et Ferdinand Ossendowski et Nicholas Roerich d'autre part.
 
Immense succès de librairie dans le monde anglophone, "Le monde perdu de l'Agharta" a été traduit dans de nombreuses langues, à l'exception du français toutefois - choses qui est maintenant faite, à l'adresse de tous ceux qui cherchent et pour leur plus grand plaisir.