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mardi 27 décembre 2011

AZF : La vérité cachée

Le 21 septembre 2001, , à 10h18 une explosion sans précédent ravageait la ville de Toulouse.
Bien qu'en raison des des attentats US du 11/09, dans un premier temps l'hypothèse d'attentats perpétrés par la mouvance islamiste circula rapidement, la cause officielle est tout autre. La catastrophe serait du à l'entreposage dans une même zone de produits chimiques incompatibles.

Pourtant en 2008 après 7 ans d'enquête judiciaire et scientifique, l'ingénieur Pierre Grésillaud fournit preuve à l'appui un tout autre scénario.

Ce 21 septembre 2001 l'explosion d'un tas d'ammonitrate posé dans le hangar 221 de l'usine AZF de Toulouse, provoque une explosion gigantesque dont l'onde de choc est ressentie dans un rayon de 20Km et qui a provoqué un séisme artificiel de magnitude 3.6 qui fut enregistré par tout les sismographes dans un rayon de 700 km.
De l'enquête officielle il ressortira que la centaine de morts dus à la catastrophe et les milliers de blessés, les dizaines de milliers de gens souffrant de traumatismes psychologiques, sont le fruits d'un entreposage hasardeux en sandwich d'ammonitrate et de résidus chlorés.

Cependant cette version est largement contestée, à la fois par les employés du sites AZF, par des scientifiques issus de divers domaines de compétences mais aussi par les riverains de l'agglomération toulousaine qui rapportent que de nombreux phénomène se sont produit sur le site et ce bien avant l'explosion.

On peut dès lors se poser la question de savoir pourquoi tant les enquêteurs officiels que les magistrats ont volontairement ou involontairement fait l'impasse sur un certains nombres de rapports scientifiques dans des domaines aussi variés que l'acoustique, la chimie, l'électricité ou encore la sismologie.

D'ailleurs dans cette affaire la sismologie est un point sur lequel, il est bon de s'arrêter un peu. En effet si pendant les 7 années d'enquêtes de nombreux rapports ont été réalisés dans différents domaines, et même si ces derniers furent souvent incomplets, ils permirent néanmoins des analyses contradictoires etc...
En revanche toutes les études sismologiques ont été occulté. Aucun expert ne fut jamais mandaté et aucune des données sismiques recueillies par les centres sismologiques comme celui de Strasbourg ou celui du Laboratoire de Detection en Géophysique (qui dépends du CEA DAM) ou celui de la centrale nucléaire de Golfech,  ne furent jamais exploitées. Pire encore à ce jour, le CEA DAM (Commissariat à l'Energie Atomique - Direction des Applications Militaires) s'est arrangé tant avec la justice qu'avec les avocats pour ne pas avoir à transmettre ses relevés sismographiques ultra précis.

Certains sismographe de la région ont vu leur base de données sismographiques purement et simplement effacés notamment celles postérieurs au 21/09 10h19. Ces relevés auraient permis de détecter l'origine du séisme et la nature du sol. De son coté EDF appuyé par le CEA  a tout simplement refusé de transmettre le moindre relevé sismique en provenance de ses centrales nucléaires.

On peut donc se demander pourquoi toutes ces données sismiques restent dans l'ombre de cette affaire. Ceci est d'autant plus curieux, que le séismes provoqué par l'explosion du 21/09 fut de magnitude 3.6 sur l'échelle de Richter et que ce séisme est le 3eme séisme artificiel le plus fort enregistré en France depuis 1980.
Malgré cela la justice se contenta de l'expertise de 2 obscures scientifiques de l'observatoire Midi Pyrennées qui ont affirmé de leur coté que l'ensemble des données sismiques du réseau national ne permettait pas de toute façon de situer le lieu du séisme ni de le dater précisément. Pire les seuls résultats fournit par ces deux guignols sont basé sur les données recueillies par un sismographe au rebut posé à même le sol. Ils ont donc fixé arbitrairement l'heure du séisme à 10h17 et 56s au début de l'enquête pour arriver à 10h17'55"445 en 2006.

L'EXPLOSION EST ELLE A L'ORIGINE DU SEISME ?

La démonstration n'en n'as jamais été faite et pour cause. Jamais aucun expert scientifique n'as été mandaté par la justice pour se penché sur l'origine de ce séisme et sa localisation.
Heureusement, il est possible de consulter les données sur le site du RENASS.


21/09/2001-00:26:10.53  43.07  -0.49    5 2.1 Ml SSW PAU(64)
21/09/2001-05:44:43.39  43.26  -1.59    5 2.4 Ml SE HENDAYE(64)
21/09/2001-05:46:56.06  44.53   6.81    5 1.4 Ml NE BARCELONNETTE(04)
21/09/2001-08:17:55.21  43.63   1.42    0 3.4 Ml NNW TOULOUSE-31-(EXPLOSION)
21/09/2001-22:50:14.57  49.36   6.95    1 2.3 Ml NNE MERLEBACH(57)
21/09/2001-23:53:11.79  46.08   5.60    5 1.8 Ml S NANTUA(01)
 
Grâce à l'ensemble des données relatives à cet événement présentes sur le site, on  découvre
avec stupeur que non seulement l'épicentre peut être localisé avec précision
mais qu'en plus il ne se situe pas sous le site AZF ni même à la SNPE mais à environ 2500 m
de là entre les deux hôpitaux de Rangueil et Larrey sous la colline de Pech David.
De plus contrairement à celui d'Azf cet épicentre respecte la cohérence entre les vitesses moyennes des premières ondes sismiques et leur enregistrement sur les sismographes de l'OMP.

Pire encore les données brutes de l'OMP démontre la présence de 2 séismes. L'un de magnitude 3.4 sous la colinne de Pech David et un autre 9sec plus tard de magnitude 1.4 environ.
La magnitude de ce second séisme correspondant parfaitement à l'impact que pourrait avoir une explosion de cette ampleur sur des sols sédimentaires de même nature que ceux du bassin de la Garonne.
L'énergie de l'explosion étant principalement consommée par la formation du cratère, les ondes de surfaces et l'onde de choc aérienne largement ressenti dans l'agglomération.

Le CEA DAM a annoncé dans des notes scientifiques que cette seconde phase sismique était due à l'impact de l'onde acoustique arrivée quelques 10sec après l'explosion du hangar.
Or cet intervalle de 10 sec entre les deux séismes corresponds curieusement au délai entre deux phases d'incidents électriques survenus juste avant et juste après repères par EDF le jour de l'accident, ainsi qu'au délai entre les 2 explosions perçues sur place par les riverains et les enregistreurs sonores.

Bref vous l'aurez compris, la sismologie revêts une importance capitale dans ce dossier car elle permet d'analyser les faits sous un autre jours, et pour autant elle a été complètement occulté par certains et falsifié par d'autre. En comprends bien que derrière ces faits se cache  des silences complices qui ne peuvent qu'apporter des interrogations et nous inciter à creuser plus avant.

L'énergie colossale qui a engendré le séisme ce matin du 21/09/2001 à Toulouse a eu de bien curieux effets annexes. Des faisceaux Lumineux géants ont été aperçus à différents endroits quelques secondes avant l'explosion.








Certains témoins rapportent même l'observation de tels éléments la veille de l'explosion aux alentours de 19H.

De tels phénomènes, selon les observations qui en ont été faites ne peuvent en réalités correspondre qu'a des Laser Femtoseconde comme le Laser Hercules.
Or on sait aujourd'hui que dans les années 90 une équipe Franco allemande, travaillait sur l'application de ces laser. Ces derniers ont découverts que ces lasers très puissants, concentrés en impulsion très très courtes permettent d'ioniser l'atmosphère sur leur parcours autorisant le transfère dirigé d'ondes électromagnétiques et de la foudre également.
De tels faisceaux ionisé n'ont bien sur pas intérêts à rentrer en contact avec des réseaux conducteurs comme des conduites en fontes ou des lignes à haute tension si ils veulent garder leurs trajectoire aérienne.
C'est bien cette hypothèse de contamination accidentelle ou non qui expliquerait les observations qui ont été faite avant et après l'explosion. La propagations d'ondes dans ces canaux ionisé expliquerait quand à elle le récits des témoins qui rapportent avoir été littéralement tétanisés pendant plusieurs secondes à proximité des ces faisceaux.

Mais ces étranges faisceaux lumineux ne sont pas les seuls faits troublants à prendre en considérations. Sous Terre, il semble qu'il se soit passé des choses étranges également et il semblerait que les militaires ne soient là aussi pas étranger à tout cela.

Quelques secondes avant l'explosion des colonnes de fumées blanches ont été observé par des témoins sur le sites chimique et ce en différents endroits y compris dans la zone militaire de la SNPE.
Certains témoins rapportent qu'une des cheminées du site a vu son sommet décollé à plus de 150 mètres et se scindés en deux et la présence de grosse flammes à l'intérieur et autour de cette cheminée avant et pendant l'explosion. Des débris de cette tour ont été retrouvé sur la rocade au nord .

Pour plus d'information techniques sur cette catastrophes je vous conseil de vous rendre  sur ce Site : azf-10h18.com  qui est le plus complet qui soit sur cette affaire à double tiroir.

Pour ma part afin d'éviter de vous présenter des arguments terribles pendants des pages et des pages alors que vous trouverez tous sur le lien cité ci dessus, je vais si vous me le permettez en venir au conclusions de cette enquête.

Contrairement à ce qui a été avancés par les autorités, l'explosion de l'usine AZF ce 21/09/2001 n'est absolument pas du à une erreur de stockage de produit chimique mais bel et bien à des essais militaires sur les ondes électromagnétiques d'origine nucléaires.

Je reviendrais sur cet article demain pour apporter encore quelques éléments troublants et parfaire la conclusions, choses que je ne peut faire ce soir faute de temps.

2 commentaires:

  1. http://www.legaulois.info/2011/09/azf-attentat-ou-accident-la-verite-sort.html

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  2. Merci de corriger vos fautes d'orthographe

    ça fait pas sérieux !

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