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mardi 31 janvier 2012

LE CRASH DU BOEING 747 D'EL AL EN 1992 : Retour sur un petit mensonge entre Amis

Nous sommes le 4 octobre 1992, le Boeing 747 Cargo de la compagnie israélienne EL AL en provenance de New York se pose à l'aéroport de Schipol à Amsterdam. Officiellement le 747 transporte 114 tonnes de Parfum, d'électroménager et de produits divers.



Trois heures plus tard, l'avion israélien redécolle. Quelques minutes à peine après le décollage, l'équipage signale une panne électrique puis un incendie sur l'un des moteurs. Après une dizaine de minutes, c'est au tour d'un autre moteur de prendre feu, puis les deux moteurs en feu sont littéralement arraché des ailes suite à la rupture de leurs attaches. L'aile droite prends alors feu en raison du kérosène qui se répands.

L'avion tente alors de faire demi tour afin de venir se poser en catastrophe, mais il continue à perdre de l'altitude de manière très dangereuse. Le pilote décide alors d'actionner le Vide vite pour lâcher du carburant et alléger très rapidement l'appareil. Hélas sa manoeuvre ne fera qu'amplifier l'incendie de l'aile de l'appareil.

L'avion continue à chuter et finit sa course folle contre la façade d'un immeuble de  étages le coupant en deux littéralement. On estima alors le nombre de victimes à 50.





Le rapport de l'avion civile au terme de l'enquête qui fût menée, conclut à un accident provoqué la rupture des fixations moteurs.
L'histoire aurait sans doute pu s'arrêter là. Mais plusieurs jours voir plusieurs semaines après le crash, plusieurs riverains du site du crash ainsi que des pompiers et des forces de polices ont développé différentes pathologies allant de simples gênes respiratoires à des cancers très graves, des troubles nerveux.
Tous ces braves gens affirmèrent alors haut et fort que leurs problèmes de santé étaient liés à cette catastrophe.

Pourtant il aura fallu 6 ans pour que les autorités hollandaise sous la pression finissent par ouvrir une enquête parlementaire afin d'éclaircir le mystère de la cargaison de ce 747 israélien et ne fasse pression sur le gouvernement de Tel Aviv pour que la vérité éclate.

Ce même gouvernement israéliens qui par le biais de son premier ministre de l'époque Mr Rabin s'était dit très affecté par cette catastrophe et avait offert plusieurs tonnes de jouets aux enfants de ce quartier défavorisé appelé Ghana Town.

C'est donc à partir de 1998 que l'on commença à s'intéresser fortement à ceux que pouvait bien contenir les soutes du Cargo. Les documents relatifs au fret étaient non seulement incomplets, mais on découvrira même plus tard qu'ils ont été falsifiés peu de temps après le crash.
La cargaison contenait 6.6 tonnes de produits dit dangereux (cosmétiques, colle, peintures et diluants) et 104.7 tonnes de produits non dangereux (matériel militaire, électronique).
Cependant entre le poids réels des matériaux dit non dangereux et la déclaration détaillé il manque 20 tonnes.
De ce fait lorsque la commission parlementaire hollandaise demanda des explications aux israéliens, ces derniers leur opposèrent un fin de non recevoir prétextant que ces précisions ne pouvait être donné sans porté gravement préjudice à la sûreté de l'Etat israélien.
Autre fait troublant. Bien que la boite noir contenant les enregistreur de vol fut rapidement retrouvé, celle contenant les enregistrement des conversations elle, ne fût jamais retrouvée et ce malgré une prime substantielle offerte par les autorités. De la même façon lors de l'enquête, on découvrit qu'il manquait 32 cassettes vidéos retraçant les opérations de sauvetages. Elles ont tout simplement disparues des archives de la police. Des enregistrements audio ainsi que des témoignages ont été également effacés.

Pourquoi tant de mystère autour d'une cargaison composé initialement de produits cosmétiques et d'électroménager selon les autorités israéliennes?

C'est en 1998 par l'intermédiaire du journal NRC Handelsblad que des éléments de réponse apparurent. Le quotidien révèle alors que l'avion transportait en réalité des produits chimiques servant à la fabrication du gaz Sarrin. toujours selon le quotidien, ces produits chimiques provenaient de l'usine SOLKATRONIC CHEMICAL située à MORISVILLE aux U.S.A et devaient être livré à l'ISRAEL INSTITUTE FOR BIOLOGICAL RESEARCH de NES TZIONA près de Tel AVIV.

Le journal indique que le ministre des Transports hollandais de l'époque avait cette information en sa possession depuis 2 ans et que les parlementaires de la commission d'enquête bien qu'ayant les preuves de la présence de produits chimiques à bord du Cargo d'EL AL n'avaient pas chercher à en savoir plus.

Les révélations du quotidien eurent pour effet de booster l'efficacité de la commission parlementaire qui se remit au travail , ainsi que l'ouverture d'une enquête judiciaire. On cherche dès lors à savoir la nature des produits transporté par le vol 1862 d'El Al et les mobiles de ceux qui ont caché la vérité.
Étrangement le chef de la sécurité aérienne de l'aéroport retrouva une cassette audio contenant l'enregistrement de conversations téléphoniques entre le centre de contrôle aérien et un responsable d'El Al.
Dans cet enregistrement, on entends le responsable d'El Al expliquer après l'accident que le Cargo contient des explosifs, des munitions à l'uranium appauvris, du poison, des produits inflammables ainsi que du gaz. Ce dernier précise que ces informations ne doivent pas être communiquées et son interlocuteur de lui répondre  : "Ils n'en sauront rien!"
Devant la commission parlementaire, le chef du contrôle aérien a affirmé que depuis 1973 la consigne était de garder le secret au sujet de tout ce qui concernait la compagnie EL AL notamment la nature de ses cargaison.

Alors que les autorités médicales hollandaise réclamait la levé de ce secret afin de trouvé un traitement pour les patients contaminés, les autorités hollandaises elle ont longtemps douté du bien fondé d'un quelconque rapport entre l'accident et les pathologies de ces malades.
Pourtant les témoignages de ces gens sont explicites. Ainsi l'agent de quartier P. VEEN, qui fût l'un des premiers sur les lieu de la catastrophe, déclara : "J'avais l'impression que mon sang bouillait à l'intérieur de mes veines.". Or d'après une expertise médicale, il souffre d'une affection bactériologique semblable à celle qui frappe les soldats US revenu de la première guerre du Golf.

Peu de temps après, le journal TELEGRAAF mis en évidence le lien entre le BVD et le MOSSAD dans la falsification des feuilles de vol juste après le Crash. Ce même quotidien  a également mis en avant que le statut de la compagnie EL AL dans les aéroports internationaux, lui permettait de ne pas avoir à déclarer le contenu de ses avions cargo, y compris s'agissant de matière dangereuse comme le nucléaire ou les produits chimiques. Le quotidien a également mis en avant le lien entre la compagnie civile EL AL et l'armée israélienne ainsi que le fait qu'à cette époque personne n'était en mesure de dire combien d'avions possédaient la compagnie de transport.

D'autre fait troublant apparaissent au grand jour après l'enquête. Selon des rapports établis par les pompiers intervenus sur les lieux du Crash, plusieurs hommes en combinaisons blanches auraient été aperçus travaillant sur les débris de l'appareil. Lors de l'enquête les pompiers n'ont jamais été entendu à ce sujet.

En outre, le matin suivant le crash, de nombreux avions appartenant à UPS ont été affrétés par EL AL à la demande des officiels israéliens et ont décollé pour Tel Aviv. L'information fut confirmé un peu plus tard par Mr  Shapiro de la société UPS.

On se rends bien compte dans cette affaire, que le secret d'Etat l'emporte souvent sur les intérêts des citoyens. Mais cette affaire mais aussi en avant la connivence entre les Pays Bas et l'Etat Israélien.
Libre à vous de vous renseignez ensuite sur le pourquoi d'une telle connivence.

En marge de ce sujet, je tiens à porter à votre attention le fait que ce crash a été le sujet d'une autre polémique sans rapport avec ce qui est décris ici. En effet, après les attentats du 11/09, on se souvient tous des prises de positions de Thierry Meyssan alors membre du réseau Voltaire sur une opération False Flag menée par les services secrets US pour justifier l'intervention américaine au Moyen Orient.
Vous vous souvenez sans doute également qu'en Europe cette théorie n'avait pour le moins pas été accueillie favorablement loin s'en faut. Mais quel rapport entre Thierry Meyssans et le 11/09 d'un coté et l'affaire du crash d'EL AL de l'autre?
Et bien pour beaucoup d'opposants à la théorie de Mr Meyssan, les photos du crash d'Amsterdam démontre qu'un avion peut se crashé dans un bâtiment sans que de traces visible du fuselage ne soit apparentes. Ce qui leur a permis de mettre en doute la version de Mr Meyssan sur le crash du Pentagone.
Cependant quand on voit ici tout le mystère qui entoure ce vol et l'ensemble des dissimulations et falsifications menées par le Mossad dans cette affaire, on peut douter du bien fondée de cet exemple pour discréditer les thèse de Mr Meyssan.

Pour finir au delà du mystère qui entoure cette affaire, cette dernière mets sur la tapis une question pertinente.
Est il pertinent d'installer des contrepoids en Uranium appauvri dans les avions compte tenu des risques liées à l'aviation civile? Sujet dont se sont bien gardé de parlé les autorités française à la suite du crash du Concorde.
Pourtant les deux sociétés françaises qui usinent des pièces à l'uranium appauvri à savoir la SICN et la CERCA attestent bien qu'elles sont fournisseurs de pièces pour l'aéronautique et la CERCA présente même officiellement AIR FRANCE comme l'un de ses clients.

SOURCES :

http://lesarchivesdusavoirperdu.over-blog.com/

http://www.obsarm.org/publications/cahiers-obsnuc/cahier-en-ligne/cahier5.pdf
http://www.liberation.fr/monde/0101273643-intox-sur-le-boeing-toxique-d-el-al-l-avion-israelien-qui-s-est-ecrase-en-1992-sur-amsterdam-transportait-gaz-et-explosifs
http://www.planetenonviolence.org/Le-Crash-de-Bijlmer-Hollande-Dissimulation-D-un-Enfer-Chimique-Responsables-les-Sionistes_a921.html
http://www.telegraaf.nl/
http://www.francenuc.org/fr_sites/rhone_ann_f.htm


1 commentaire:

  1. Dommage qu'il y ait tant de fautes d'orthographe, le moins que l'on puisse dire est que la langue française ne vous est apparemment pas bien familière...

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