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vendredi 13 décembre 2013

CES ETRANGES PYRAMIDES DONT ON PARLE PEU

Si nous regardons les civilisations qui ont peuplé notre planète depuis l'aube des temps, la forme pyramidale des monuments semble être plus apprécié par les anciens bâtisseurs et, dans le même temps, le plus énigmatique.

La pyramide a été utilisé comme un type d'architecture en particulier en Egypte et un certain nombre de civilisations précolombiennes dans le 'Amérique centrale. Cependant, plusieurs archéologues contemporains continuent de découvrir des édifices monumentaux de forme pyramidale dans tous les coins de la planète.

En voici quelques unes parmis les moins connues


LES 7 PYRAMYDES DE L'ILE MAURICE





D'énormes murs d'enceinte en pierre, un système d'ancienne route, pavée et en partie des plateformes surélevées avec des falaises impressionnantes,des rampes surplombant la mer, un vaste système hydraulique de terrasses , ainsi que des grottes organisée le long du sud au nord, . Cela pourrait être un vaste complexe construit dans les temps anciens par une civilisation avancée.




CES PYRAMIDES QUE LES EGYPTIENS REFUSENT DE VOIR





Au nord du Soudan, dans le désert de Nubie, se cache un trésor de 220 pyramides, tombeaux des rois et princesses de Méroé et de Napata, classées patrimoine mondial par l’Unesco. Le roi Kashta, ses fils et petits-fils Piânkhy, Shabaka et Tanoutamon y sont enterrés. 
Nous avons visité par le passé ces pyramides situées à une centaine de kilomètres au nord de Khartoum, dans la cité antique de Méroé. De petite forme, pointues et à pente forte, ces pyramides avaient fait la grandeur du royaume koushite. 

Un royaume qui avait connu trois périodes (Kerma, Napata et Méroé). Kerma était un rival de l’ancien empire égyptien. Les Kerméens avaient même réussi à couper les routes qui permettaient aux pharaons d’Egypte d’acheminer des produits de l’Afrique noire. Les pharaons de la XVIIIe dynastie, Ahmosis et ses successeurs, avaient engagé une entreprise coloniale et occupé le royaume de Kerma pendant plus de cent ans.
Les pharaons égyptiens avaient mis tout leur poids pour effacer les traces civilisationnelles de Kerma. Ils avaient échoué. « La prospérité du royaume de Kerma était fondée sur l’exploitation des terres agricoles, le développement de l’élevage, l’exploitation des richesses minières, notamment l’or, mais le pays a su tirer profit de sa position stratégique sur les routes commerciales entre le Sahara et la mer Rouge, l’Egypte et l’Afrique », écrit l’égyptologue Brigitte Gratien.



L’histoire est là

Napata était le royaume qui avait succédé à celui de Kerma et qui était situé à Djebel Barkal, à la frontière entre le désert et les terres cultivées du Nord-Soudan. Napata avait pris sa revanche.
 Le roi Piânkhy avait réussi à dominer toute l’Egypte à partir de la Nubie. Cinq pharaons de la XXVe dynastie étaient originaires de Napata, dont Chabaqa, Chabataqa et Taharqa. Méroé constituait la troisième période du royaume koushite.

 Il avait existé en 2500 avant Jésus-Christ. Méroé était aussi fort que sa voisine du nord. Il était même arrivé à occuper toute l’Egypte pendant presqu’un siècle, marqué par le règne de cinq pharaons noirs.
 Le royaume Méroé ne fut battu que par les Ethiopiens, après un âge d’or particulièrement long. « Les Méroïtes possédaient une administration efficace, des armées redoutées, des temples sans cesse embellis, une écriture ingénieuse, une agriculture prospère.
 Et surtout, ils tenaient les seules voies de commerce terrestre reliant le monde méditerranéen à l’Afrique subsaharienne, les pistes par où transitaient les caravanes convoyant l’or, l’ivoire, l’ébène, les peaux de panthère, les plumes d’autruche, les singes et les fauves », écrit l’historien Claude Rilly.





LES 35 PYRAMIDES DE SEDEINGA AU SOUDAN





Au moins trente-cinq petites pyramides, ainsi que des tombes, ont été découvertes sur un site appelé Sedeinga au Soudan. Découvertes entre 2009 et 2012, les chercheurs sont surpris de voir à quel point les pyramides sont densément concentrées.

En une seule saison, l'équipe de fouilles a découvert treize pyramides entassées sur environ 500 mètres carrés. Elles datent d'environ 2 000 ans, à une époque où fleurissait le Royaume de Koush au Soudan. Il partageait une frontière avec l'Egypte et, plus tard, avec l'Empire romain.


L'aspiration des habitants du royaume à construire des pyramides a apparemment été influencé par l'architecture funéraire égyptienne. A Sedeinga, affirment les chercheurs, la construction des pyramides a continué pendant des siècles.






« La densité des pyramides est énorme », a déclaré le chercheur Vincent Francigny, associé de recherche à l'American Museum of Natural History à New York, et directeur des fouilles de la Mission Archéologique Française à Sedeinga, « Parce que cela a duré des centaines d'années, ils ont construit toujours plus de pyramides, et au bout de quelques siècles, ils ont commencé à remplir tous les espaces qui étaient encore disponibles dans la nécropole. »


Les plus grandes pyramides découvertes ont environ 7 mètres de large à leur base et la plus petite, vraisemblablement construite pour l'enterrement d'un enfant, étant longue de seulement 75 cm !


Les sommets des pyramides ne sont pas joints, probablement endommagés par le passage du temps et la présence d'une route de caravane de chameaux.


Francigny pense que le sommet devait être orné d'une pierre représentant un oiseau ou une fleur de lotus au-dessus d'un orbe solaire.


Les constructions ont continué jusqu'à ce que, finalement, ils aient manqué d'espace pour construire les pyramides. « Ils ont atteint un point où il y avait tellement de gens et de tombes qu'ils ont dû réutiliser les plus anciennes » explique Francigny.

Le cercle intérieur


Parmi les découvertes, il y avait plusieurs pyramides comprenant une structure circulaire interne (Voir photo ci-dessus) reliée aux quatre coins de la pyramide par des croisillons. Claude Rilly, le chef d'équipe, et Francigny ont noté dans leur rapport que le symbole de la pyramide ressemble à un « jardin à la française ».


Seule une pyramide, en dehors de Sedeinga, est connue pour avoir été construite de cette façon. La raison pour laquelle les habitants de Sedeinga utilisaient cette conception reste encore un mystère. « Cela n'ajoutait rien à la solidité ou à l'aspect externe du monument », écrivent Rilly et Francigny.


Cependant, une découverte faite en 2012 pourrait fournir un indice : « Ce que nous avons découvert cette année est très curieux », ajoute Francigny, « la tombe d'un enfant n'était recouverte que par une sorte de cercle, presque complet, en brique. »






Il est possible que lorsque la construction des pyramides est devenue une mode à Sedeinga, elle ait était combinée avec une tradition locale, la construction d'un cercle, ou tumulus. Ce qui aurait entraîné la naissance de pyramides avec des cercles en leur sein.


Une offrande pour grand-mère ?


Les tombes à côté des pyramides ont été largement pillées, peut-être dans l'antiquité, lorsque les archéologues ont fait les fouilles.


Les chercheurs ont trouvé des restes de squelettes et, dans certains cas, des artéfacts.

L'une des découvertes les plus intéressantes était une table d'offrandes trouvée dans les vestiges d'une pyramide. Elle semble dépeindre la déesse Isis et le dieu à tête de chacal, Anubis. Elle porte une inscription, rédigée en langue méroïtique, dédié à une femme appelée « Aba-la », qui peut être un surnom pour « grand-mère », selon Rilly :

Oh Isis! Ô Osiris!

Ceci est Aba-la.
Faites-lui boire de l'eau en abondance.
Faites-lui manger le pain en abondance.
Faites-lui faire servir un bon repas.

La table d'offrande avec l'inscription était un dernier adieu à une femme, peut-être une grand-mère, enterrée dans une pyramide, il y a près de 2 000 ans.
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A noter également concernant les pyramides soudanaises les fameuses pyramides  de Meroé.



LA PYRAMIDE MYSTERIEUSE DE GALILEE




Des chercheurs ont découvert une structure en pierre géante immergée en mer de Galilée. Clairement construite par l'Homme, elle pourrait bien dater du troisième millénaire avant notre ère... Nurserie de poissons ou tour funéraire ? Retour sur cette mystérieuse découverte. 

Des scientifiques ont découvert une structure de pierre géante sous les eaux de la mer de Galilée. Ce lac d'eau douce, aussi appelé lac de Tibériade, se situe au nord-est d'Israël. Il est principalement alimenté par le Jourdain, qui s'y déverse au nord et continue son chemin par le sud. Habitées depuis des millénaires, les bordures du lac regorgent de vestiges historiques. Le monument a été trouvé à 500 m du site préhistorique Ohalo I et à 1,2 km du site Ohalo II, datant du dernier âge de glace, voilà près de 19.400 ans. 

La construction, de forme conique, présente une base de 70 m de diamètre et mesure 10 m de haut. Les chercheurs estiment que le cône dans son ensemble pèse quelque 60.000 tonnes. La structure aurait été une sorte de cairn géant, constitué de pierres ─ des basaltes ─ empilées les unes sur les autres. La forme et la composition de ce monument ne ressemblent à aucune structure naturelle déjà rencontrée. D'après l'équipe scientifique, dont les résultats sont publiés dans l'International Journal of Nautical Archaeology,ce monticule imposant a donc été construit par l'Homme. 







Un monument construit voilà plus de 4.000 ans ? 

Pour déterminer le rôle d'une telle structure, il faut d'abord comprendre comment elle a été construite. Le mégalithe est submergé, mais l'a-t-il toujours été ? Il se peut que le cairn ait été réalisé sous l'eau. Par ailleurs, ce type de monument rocheux attire les poissons. Le site pourrait alors être une sorte de zone de pisciculture, ou plutôt une nurserie de poissons. Des structures de ce type ont déjà été retrouvées en mer de Galilée. Elles étaient toutefois beaucoup plus petites, leur diamètre ne dépassant pas quatre mètres ! Les nurseries de poissons déjà mises au jour n'ont pas encore été datées. 

Il est aussi possible que ce monument ait été construit à la surface, lorsque le niveau de l'eau du lac était plus bas. L'immersion a pu se produire soit à la suite de mouvements tectoniques, soit à cause de la montée des eaux. Dans ce contexte, établir la relation entre les communautés humaines ayant vécu autour du lac au fil de l'histoire et cette construction est essentiel, pour la dater et déterminer son rôle. D'après les chercheurs, la théorie la plus probable est que la structure soit un mégalithe du troisième millénaire avant J.-C. 







Au cours de l'âge du bronze et de l'âge du fer, la zone où a été décelée la structure mégalithique était un site florissant. Toutefois, c'est seulement au troisième millénaire avant notre ère que de telles structures peuvent être mises en relation avec des groupes de populations humaines établis. Tel fut le cas d'un site mégalithique similaire, Khirbet Beteiha, retrouvé submergé à une trentaine de kilomètres : il comprend trois cercles de pierres concentriques, dont le plus grand affiche 56 m de diamètre. S'il s'agit là de l'hypothèse la plus probable, il faudra attendre l'excavation de la structure pour en être sûr. 


Le Mystere des pyramides de Güimar (Iles Canaries)



Sur la côte est de l'île de Ténérife se trouve un parc ethnologique, c'est celui des pyramides de Guïmar.


Mais qu'est ce donc, une vague fumisterie ? Un parc à touristes supplémentaire ? Une découverte ethnologique et historique de premier ordre ? Pour se faire une opinion, commençons l'histoire à son début.

Découverte des pyramides par Thor Heyerdahl


Tout débute avec Thor Heyerdahl (1914-2002).

Au début des années 1990, ce norvégien, féru d'archéologie, mythologie, botanique, océanographie et d'anthropologie ... s'intéresse de prés à l'île de Ténérife.
En particulier à la région de Guimar ou il étudie les édifices à étages.
Jusqu'alors, sur l'île, ces constructions n'éveillaient que peu d'intérêt. On considérait jusqu'alors qu'elles avaient été construites par les agriculteurs que les pierres gênaient dans leur travail.... ces pierres ont d'ailleurs été réutilisées pour construire les habitations environnantes et si aujourd'hui on compte 6 pyramides sur l'île, il reste des traces prouvant qu'on en a dénombré jusqu'à 9.

Pour Thor, cette thèse des constructions élaborées par les paysans ne tient pas ... certaines pierres sont taillées, et ne proviennent pas des champs alentours mais sont d'origine volcanique, il semblerait de plus que des fondations aient été creusées à la base des pyramides.

En étudiant d'un peu plus prés ces édifices, il se rend compte qu'ils sont très précisément orientés nord-sud, exactement sur l'axe du solstice d'été.

Le chaînon manquant entre les continents


Thor Heyerdhal y voit là une preuve supplémentaire lui permettant d'étayer sa thèse suivant laquelle des peuples auraient traversé l'Atlantique bien avant Christophe Colomb, il imagine immédiatement un lien entre ces pyramides et celles d'Amérique du Sud.
Cela va tout à fait dans le sens des recherches qu'il avait menées jusque là, le point d'orgue ayant été la fameuse traversée du Pacifique par le Kon Tiki en 1948 qui lui a permis de prouver que la traversée des océans était possible avec une embarcation faite de balsa.

Un site ethnologique, mais pas de preuves scientifiques


Dès lors le site de Guimar est considéré comme ethnologique.

Malheureusement Thor n'a pas réussi à dater les pyramides ; mais il est néanmoins parvenu à montrer le fait troublant que l'orientation de celles-ci était exactement sur le solstice d'été, c'est à dire que chaque 21 juin, en se plaçant au sommet des pyramides, on peut observer le rare phénomène de double coucher du soleil. Ce jour là, l'astre se couche dans l'alignement des pyramides derrière un crête dénommée "la Caldera de Pedro Gil" pour réapparaître quelques instants plus tard à travers une ouverture rocheuse.
Ceci confère alors aux pyramides la double fonction de marqueur du solstice et d'observatoire astronomique.

Voilà donc l'histoire des pyramides de Guimar ... alors qu'est ce donc ?

Des constructions élaborées par les paysans pour déblayer leurs champs, faire sécher des fruits ?
Des observatoires astronomiques ?
Des lieux de cultes de civilisations plus anciennes ?
Aujourd'hui le mystère reste entier ... mais pour vous faire votre propre opinion, ne pas hésiter à vous rendre sur site.
En 1998, Thor a ouvert les portes de l'endroit et aujourd'hui à côté des pyramides, un petit musée expliquant les thèses de cet archéologue norvégien passionné est érigé.

En Novembre 2005, les reproductions des embarcations ayant permis à Thor Heyerdhal de traverser les océans ont été fortement endommagées. Afin de les restaurer, son ami bolivien Braulio Corane a quitté les rives du lac Titicaca en Février 2007.


LA PYRAMIDE DE CAIUS CESTIUS ( ROME)





A l’extérieur de la porte San Paolo, se trouve l’étrange Pyramide de Caius Cestius, monument funéraire que ce fonctionnaire a fait ériger pour sa sépulture entre le 18 et le 12 av JC.
Haute de 37 mètres, en ciment recouvert de plaques des marbres, elle s'inspire des modèles égyptiens, très à la mode à Rome après la conquête de l'Egypte en 30 av JC.

Une petite porte sur le côté ouest à été ouverte au XVIIème - lorsque la pyramide a été retrouvée - introduit dans le cunicule qui conduit à la cellule funéraire rectangulaire.
Les murs sont crépis et peints, avec des candelabres qui encadrent des figures féminines.
Au IIIème  siècle le monument a été incorporé au Mur d’Aurélien.



DES PYRAMIDES AU PÔLE SUD



Des chercheurs américains et européens annoncent avoir découvert des pyramides en Antarctique. Les pyramides ont la forme de ceux en Égypte et elles seraient artificielles, donc construite par la main de l’Homme. 



En 2012 la nouvelle avait été sortie de la découverte de ces pyramides, mais maintenant les équipes ont pu aller investiguer directement sur les sites.
L’emplacement n’a pas été précisée, mais les chercheurs affirment que la première pyramide est sur la rive et les deux autres sont situés à 16 kilomètres de la côte.
La datation de ces trois structures serait de 2600 ans avant Jésus Christ.


PYRAMIDE DE GANUNG PADANG (INDONESIE)





Danny Hilman, géologue senior du Centre indonésien de recherche géotechnique et est titulaire d'un doctorat de l'Institut de Technologie de Californie, est sur le point de ce qui pourrait être une découverte choquante sur l'histoire de la plus ancienne pyramide de l'humanité la planète.
L'équipe dirigée par Hilman travaille sur le site de Ganung Padang, une colline cachée parmi les volcans en Indonésie, à environ 120 kilomètres au sud de Jakarta, plein de pierres géantes qui en font le plus grand site mégalithique Asie du Sud.
Le site Ganung Padang, découvert en 1914 par deux colons hollandais, s'étend sur la colline avec une série de terrasses construites avec des pierres rectangulaires énormes d'origine volcanique. Mais, selon Hilman, les mégalithes de la surface ne sont que la pointe d'un immense iceberg. Le chercheur, en fait, croit que les pierres sont visibles sur la colline, en fait, le sommet d'une pyramide, une réalisation beaucoup plus complexe que la simple terrasses.




Hilman est convaincu que l'ancienne structure pourrait précéder le début officiel de l'histoire de dix mille ans ou plus, ce qui suggère que Java peut avoir existé une civilisation très avancée. «Il est vieux de plus de 9000 ans, pourrait remonter jusqu'à il ya 20 mille ans," dit Hilman. «C'est fou, mais ce sont les données." Si l'hypothèse du chercheur est correcte, nous sommes sur le point d'une découverte qui pourrait réécrire l'histoire de l'humanité.
Hilman a trouvé des preuves qui confirment que la plupart de la colline de 100 mètres est en fait artificiel, construit sur des milliers d'années par les trois cultures différentes.
Merci à une série d'enquêtes menées avec le radar au sol, carottage et analyse des murs, les chercheurs ont observé des tendances dans l'agencement des roches qui témoignent de l'origine non-naturelle.
Certains blocs sont maintenus ensemble par une sorte de mortier et sous des tas d'outils en pierre ont détecté l'existence de chambres souterraines, les escaliers et les terrasses, toutes les preuves de construction massive, le résultat de la conception et de la planification.
La découverte la plus excitante a été offert par la datation au radiocarbone d'échantillons trouvés sur le site, ce qui indique qu'il peut y avoir une structure construite il ya plus de 9000 ans.
"La structure du bâtiment est très bien», dit Hilman. "Nous concluons que l'agencement des joints en forme de colonne limite le périmètre entier de la colline. Nous croyons qu'il ya une construction à couche unique, mais plusieurs niveaux ".
Tel que rapporté par le Sydney Morning Herald , Hilman soupçonner que la pyramide a été construite en trois phases au cours de millénaires, et de trois cultures différentes. «C'est vraiment énorme», dit Hilman. «Les gens croient que l'âge de pierre était primitive, mais ce monument montre que c'est une opinion erronée."
La recherche a tellement impressionné le président de l'Indonésie, Sasulo Bambang Yudhoyono, d'avoir nommé un groupe de travail à l'appui de l'enquête, donnant à l'ensemble un contingent militaire de terrain pour la défense de la place. Le président Yudhoyono a demandé à l'équipe de faire des enquêtes rapides, décrivant les travaux de chercheurs comme une "tâche d'importance historique, d'une grande valeur pour l'humanité."

LES MYSTERIEUSES PYRAMIDES EGYPTIENNES






En Août 2012, Angela Micol, archéologue amateur Caroline du Nord, a dit qu'il a repéré deux possibles complexe de la pyramide inconnue en Egypte, l'identification d'un groupe énorme, près de trois fois la taille de la Grande Pyramide de Gizeh.

Les sites ont été identifiés par Micol grâce à des images satellites de Google Earth. [Voir article 2012 ].

Apparemment, certains confirmation viendrait d'une expédition envoyée avant les coordonnées de la découverte, qui a révélé l'existence de cavités et les puits. "En outre, il a été constaté que ces formations sont étiquetés comme des« pyramides »sur des cartes différentes de l'antiquité", a déclaré à Micol Discovery Nouvelles .

"Les images parlent d'elles-mêmes", a déclaré le chercheur quand il a annoncé sa découverte l'année dernière. «Il est très clair que les sites peuvent contenir, mais la recherche de terrain est nécessaire pour vérifier ce qu'ils sont, à savoir des pyramides."

La découverte de Micol couvre deux sites potentiels situés à environ 90 kilomètres de distance. Le premier est situé à seulement 12 kilomètres de la ville d'Abu Sidhum, le long du Nil, offre quatre monticules dans la position inhabituelle.

Le second complexe, cependant, est situé à environ 100 kilomètres au nord du Fayoum Oasis et a un monticule tronqué à environ 150 pieds de large, et trois petits monticules en alignement en diagonale.

"Après les nouvelles de la découverte, j'ai été contacté par un couple d'Egyptien qui prétendait avoir des références historiques importantes à deux sites", a déclaré Michal.Il est Kamal Medhat El-Kady, ancien ambassadeur du Sultanat d'Oman et sa femme Haidy Farouk Abdel-Hamid, un avocat et ancien conseiller à la présidence égyptienne.Le couple est connu pour être le meilleur collecteur de cartes anciennes, de vieux documents, livres, manuscrits et rare historique et politique.
Tel que rapporté par le couple, les formations observés par Micol près d'Abu Sidhum et dans le Fayoum sont tous deux déclarés comme complexe pyramidal dans quelques vieilles cartes et documents.
"Pour ce cas seulement, il n'y a pas moins de 34 cartes et 12 anciens documents qui indiquent les deux sites», a déclaré Farouk El-Kady et Discovery Nouvelles. Comme pour le site près du Fayoum, le couple a poursuivi trois cartes en particulier: une carte de Robert de Vaugoudy datant de 1754, une carte rare dessinée par les ingénieurs de Napoléon Bonaparte, et une carte et documents appartenant au major Brown, irrigation directeur de la Basse-Egypte à la fin des années 1880.
Les documents indiquent l'existence de deux pyramides enfouies qui ajouteraient aux pyramides déjà connues d'El-Lahun et Hawara. "Ils seraient les plus grandes pyramides connues de l'humanité», explique le couple. "Nous ne pensons pas que nous exagérons quand nous disons que les deux structures seraient éclipser les pyramides de Gizeh."
Les sources documentaires indiquent que les anciennes pyramides sur le site du Fayoum auraient été délibérément enterrés, dans une tentative de «damnatio souvenirs», c'est-à dissimuler délibérément la mémoire collective. Mais pourquoi?
pyramides-egypte-inconnu-02.jpg
Bien que le site du Fayoum n'a pas encore été étudié de près, il a plutôt atteint une expédition préliminaire de près d'Abu Sidhum, fournissant des données pertinentes à comparer avec les documents fournis par El-Kady et Farouk.
"Ceux qui se cache piles certainement un site antique," il a dit Discovery Nouvelles Mohamed Aly Soliman, un archéologue menant l'expédition. "Tout d'abord, la terre autour du site est un terrain plat normal. C'est juste désert, le sable et les monticules pietre.I, cependant, sont différents. Ils sont trouvés des tessons de poterie et de coquillages partout. "

Citant les travaux de Ioannis Liritzis, professeur de archéométrie de l'Université de l'Egée, Soliman rappelle que les roches utilisées dans la construction des pyramides contiennent jusqu'à 40% de fragments de carapace.
Soliman estime que les habitants avaient soupçonné que les formations étaient d'origine ancienne. En effet, dans le passé, ont essayer de creuser un des monticules, mais a dû abandonner en raison de l'extrême dureté de la roche qui, selon la Micol, pourrait être granit.
«Nous avons utilisé un détecteur de métal sur le monticule et a constaté que les deux sites ont une cavité orientée nord longue", a déclaré Soliman. "Il doit être en métal à l'intérieur de la cavité." Soliman souligne également que la plupart des pyramides égyptiennes montre une entrée de tunnel face au nord, preuves à l'appui de l'hypothèse des deux chercheurs.
C'est possible qu'un groupe d'archéologues amateurs ont fait une découverte qui va éclipser les pyramides de Gizeh? Ou les monticules sont rien de plus que des formations rocheuses naturelles affleurent? "Pour déterminer si c'est quelque chose de naturel ou artificiel, doit effectuer une enquête approfondie sur le terrain. Il ne suffit pas d'identifier une dune de sable dans le désert ", dit l'archéologue Patrick Rohrer Discovery Nouvelles.
Pour cette raison, Micol a créé la Fondation d'archéologie satellite, une fondation à but non lucratif, mais pour la collecte de fonds pour mener à bien la recherche.
"En raison de l'agitation et des difficultés économiques en Egypte, la vie n'est pas facile pour les archéologues», explique Michal. "Pour le moment, nous n'avons pas trouvé de archéologue égyptien intéressés à en savoir un peu plus sur ces sites."
"Maintenant que nous avons un certain document de rétroaction, mon but est d'aller en Egypte avec une équipe de scientifiques et de vidéastes aux États-Unis, avec l'objectif de valider la preuve trouvée dans l'avant-équipe de l'expédition et de montrer que ces sites sont complexes pyramidaux oubliés », a déclaré Michal.



LA MYSTERIEUSE PYRAMIDE DE FALICON






La petite pyramide de Falicon continue à perdre ses pierres. A terme, on ne la dis­tin­guera même plus. (Photo Patrick Blanchard)
A quelques kilo­mètres au nord de Nice, sur le ter­ri­toire de la commune de Falicon(1), une petite pyramide érigée à flanc de colline a de plus en plus de mal à défier le temps.
L’érosion et le van­da­lisme trans­forment pro­gres­si­vement en tas de pierres informe ce monument de huit mètres de côté sur six de haut environ, implanté au-​​dessus de l’ouverture d’un gouffre. Ce qui reste du sommet est très lar­gement dégradé et deux faces sont pra­ti­quement effon­drées. Un état d’abandon regret­table car la plupart des experts en la matière s’accordent à dire que la construction remonte au IIe siècle après Jésus-​​Christ. Certes, de nom­breuses thèses ont été émises à son propos. Trop sans doute, ce qui a cer­tai­nement nui à la cré­di­bilité de sa valeur his­to­rique. Cer­tains y ont vu l’œuvre des Tem­pliers que l’on met à toutes les sauces depuis leur " brû­lante " élimi­nation par Phi­lippe le Bel. On a parlé aussi d’un centre cultuel des Celtes qui occu­paient la région avant la colo­ni­sation romaine.
Tou­tefois, les connais­sances acquises sur ce peuple montrent que celui-​​ci ignorait la forme pyramidale.
Il a quelques années, une thèse a même défendu l’idée que la construction n’avait pas plus de deux cents ans car ce n’est qu’en 1803 que son exis­tence est men­tionnée pour la pre­mière fois dans un livre signé par un auteur niçois. D’après les tenants de cette version, le bâtisseur était un contem­porain de Bona­parte qui avait voulu rendre ainsi un hommage au général devenu Premier Consul après la cam­pagne d’Egypte. Mais on peut alors se demander pourquoi cet homme n’a pas fixé le témoi­gnage de son admi­ration cour­tisane en un lieu plus visible et acces­sible plutôt que dans un coin de cam­pagne, loin des regards.



Le culte du dieu Mithra

En fait, pra­ti­quement tous les véri­tables spé­cia­listes défendent depuis de nom­breuses années l’hypothèse romaine. Le monument aurait été édifié en l’honneur de Mithra, dieu bel­li­queux conduisant ses ado­ra­teurs à la vic­toire. Une divinité très popu­laire parmi les légion­naires de l’époque des Césars qui l’avaient connue et " adoptée " au cours de leurs expé­di­tions sur les bords du Tigre et de l’Euphrate où elle sévissait à l’état " endémique "…
Le culte de Mithra se déroulait tou­jours dans des sanc­tuaires édifiés à proximité ou à l’intérieur de grottes. Or, la pyramide de Falicon domine l’ouverture d’un gouffre, la grotte dite de " Rata­pi­gnata ". Et celle-​​ci pré­sente bien les carac­té­ris­tiques des lieux de culte de Mithra : pré­sence de sept marches d’accès (cor­res­pondant aux sept degrés d’initiation), exis­tence d’un cours d’eau et une entrée donnant vers le midi.
Reste la question de la forme pyra­midale du sanc­tuaire. " Les légions romaines étaient en partie com­posée de troupes auxi­liaires enrôlées dans les pays conquis, explique le pro­fesseur Henri Broch(2), directeur du labo­ra­toire de bio­phy­sique à la faculté des sciences de l’université de Nice-​​Sophia-​​Antipolis. On peut donc penser qu’il y avait des Egyp­tiens parmi la gar­nison de Ceme­nelum (Cimiez). "

On peut d’ailleurs ajouter à l’appui que le culte de Mithra était par­ti­cu­liè­rement répandu en Basse-​​Egypte dans les pre­miers siècles notre ère.
Plus de mystère donc sur l’origine de la pyramide de Falicon ? Il serait auda­cieux d’être aussi formel : la thèse " Mithra " com­porte, elle aussi, une part trop impor­tante de déduc­tions pour qu’on la considère incontestable.
Tou­tefois, à l’avenir, on ne pourra ni l’étayer ni en avancer une autre de manière cir­cons­tanciée si la pyramide de Falicon continue à se dégrader. Pauvre monument qui continue à maigrir car ses pierres se des­cellent et sont emportées par des col­lec­tion­neurs un peu " allumés " ou de simples vandales.
Mais, situé sur une pro­priété privée, cet édifice n’a jamais fait l’objet d’un clas­sement à l’inventaire du Patri­moine qui aurait permis que des mesures de pré­ser­vation soient prises.
Une démarche faite en ce sens au début des années 80 par la muni­ci­palité de Falicon est demeurée sans effet. Et depuis, plus rien n’a été tenté.








LES ETONNANTES PYRAMIDES CUBAINES






En 2000, un groupe de chercheurs tombe sur un site bien étrange, dans les profondeurs au large du cap Saint-Antoine, au nord-ouest de Cuba : une ville enfouie, comme la mythique Atlantide. L'année suivante, un autre groupe de chercheurs se lance dans la même expérience, pour vérifier. Et leur constat a été identique.
Ces ruines ont pu être découvertes grâce à des sonars puissants, pouvant reconnaître des structures de pierre jusqu'à presque 200 mètres de profondeur. Les scientifiques s'y sont très vite intéressés, mais ont gardé la découverte secrète.
Récemment, c'est par hasard qu'un couple de chercheurs d'épaves est tombé sur la cité enfouie. Pour obtenir plus de précisions sur ce qu'ils venaient de découvrir, ils ont envoyé des robots très performants, afin de prendre des photos et récupérer des échantillons. Les résultats montrent qu'il s'agit de blocs de granit très lisse.

Plus anciennes que les pyramides d'Egypte

es recherches ont également démontré que ces structures rocheuses se trouvaient autrefois hors de l'eau, et qu'elles avaient pu être modifiées par l'humain, il y a 6 000 ans de cela, soit 1 500 ans avant l'édification des pyramides d'Egypte.
Certains chercheurs voient déjà dans cette découverte une raison d'envisager une réécriture de l'histoire de la civilisation humaine, voire même un début d'explication au mystère qui entoure l'origine humaine.
Reste que cette ville enfouie comporte des pyramides de taille équivalente à celle du plateau de Gizeh, en Egypte, et que plusieurs sphinx ont été découvert sous l'eau. Des pierres ont même été retrouvées disposées comme sur le domaine de Stonehenge, et des écritures ont été découvertes sur les pierres...


Cette liste n'est bien sur pas exhaustive et je n'ai volontairement pas parlé des pyramides les plus connues, ni de celle construite à l'époque moderne qui sont parfois tout aussi intriguantes.

J'effectuerai d'ici peu une mise à jour concernant les pyramides chinoises et japonaises.

1 commentaire:

  1. De mon côté je parle beaucoup de la grande pyramide sur mon journal internet en ligne gillespyramidekheops (20 lettres attachées ou http://theseinedite)
    Vous pouvez prendre connaissance facilement de mon projet culturel et de ma découverte technique (voir animation en flash)
    gj

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