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mercredi 27 juin 2012

Les 12 enseignements de Boudha

1) Le salut par ses propres moyens est pour tout homme la tâche immédiate. Quand un homme gît, blessé par une flèche empoisonnée, il n’en retarde pas l’extraction en demandant des détails sur l’homme qui l’a décochée, ni sur la forme de la flèche. Il y aura du temps pour le développement de compréhension de la doctrine pendant le parcours du chemin. En attendant, commencez dès aujourd’hui à affronter la vie telle qu’elle est, en ne vous instruisant jamais que par votre expérience personnelle.

2) Le premier fait de l’existence est la loi du changement ou de l’impermanence. De l’atome à la montagne, d’une simple pensée à un empire, tout passe par le même cycle d’existence : la naissance, la croissance, le déclin et la mort. Seule la vie persiste et cherche sans cesse à se manifester sous des formes nouvelles. "La vie est un point, n’y construis pas ta maison..." La vie est un phénomène de mouvement et celui qui s’accroche à la forme, quelque splendide qu’elle paraisse, souffrira en résistant à ce courant.

3) La loi du changement s’applique également au concept de l’âme. Dans l’individu, il n’y a pas de principe qui soit immortel et immuable. Seul "l’Innommé... l’Ultime Réalité ne change pas ; toutes les formes de la vie, y compris l’homme, sont des manifestations de cette réalité." Pas plus que l’ampoule électrique ne possède la lumière, l’homme ne possède la lumière, l’homme ne possède la vie qui circule en lui.

4) L’univers est l’expression de la loi. Tous les effets ont des causes, et le caractère de l’homme est la somme de ses pensées et de ses actes antérieurs. Le karma, qui signifie action-réaction, gouverne toute existence. L’homme est le seul ordonnateur de son entourage et de la façon d’y réagir, ainsi que de sa condition future et de son ultime destin. Par des pensées et une conduite bien dirigées, il peut purifier graduellement sa nature intérieure et ainsi, par une pleine connaissance de soi, parvenir à se libérer de la renaissance. Cette évolution demande de longues périodes de temps, comprenant vies après vies, sur cette terre. Mais finalement toute forme de vie atteindra l’Éveil.

5) La vie est indivisible quoique ses formes changeantes soient innombrables et périssables. Il n’y a en réalité pas de mort, bien que toute forme doive mourir. La compréhension de l’unité de la vie éveille la compassion, un sentiment d’identité avec la vie sous d’autres formes. La compassion a été appelée "la loi suprême, l’éternelle harmonie" : celui qui trouble l’harmonie de la vie souffrira en conséquence et retardera son propre éveil.

6) La vie étant une, l’intérêt d’une de ses parties doit être celui du tout. L’homme, dans son ignorance, croit qu’il peut lutter avec succès pour ses propres intérêts, et cette énergie mal dirigée de l’égoïsme produit la souffrance. Il apprend, par cette souffrance, à en réduire et finalement à en éliminer la cause. Le Bouddha enseigna Quatre Nobles Vérités : a) l’existence universelle de la souffrance, b) sa cause : le désir mal dirigé, c) son remède : l’élimination de la cause, d) le Sentier Octuple du développement personnel qui conduit à la fin de la souffrance.

7) Le sentier Octuple comporte : (1) La compréhension juste. (2) La pensée juste. (3) La parole juste. (4) L’action juste. (5) Les moyens d’existence juste. (6) L’effort juste. (7) L’attention juste. (8) La concentration juste : la maîtrise de l’esprit qui parvient à élever l’être au samadhi, ou la contemplation de la réalité, qui mène à l’Éveil total. Comme le bouddhisme est une façon de vivre, plutôt qu’une théorie de la vie, le parcours de ce sentier est indispensable pour la délivrance personnelle. "Cesse de faire le mal, apprends à faire le bien, purifie ton coeur : ceci est l’enseignement des Bouddhas."

8) La réalité ne peut être décrite. Un Dieu avec des attributs n’est pas la réalité finale. Mais le Bouddha, un être humain, devint le Tout-Eveillé. Le but de la vie est d’atteindre l’Éveil. Cet état de conscience, Nirvana, l’extinction des limites de la personnalité, peut être réalisé dès cette existence sur cette terre. Tout homme et toute autre forme de vie contiennent la possibilité d’Éveil. Le moyen pour y arriver, c’est de devenir ce que nous sommes. "Regarde en toi, tu es Bouddha."

9) Entre l’Éveil potentiel et l’Éveil véritable se trouve le Chemin du juste milieu, la Voie Octuple qui mène "du désir à la paix", un procédé de développement personnel entre les opposés, évitant les extrêmes. Le Bouddha parcourut cette voie jusqu’au bout et la seule foi requise par le Bouddhisme est la croyance raisonnable que là où a passé un guide, il nous est possible de marcher à notre tour. La voie doit être suivie par l’homme entier, non seulement par ce qu’il y a de meilleur en lui. Il faut que le coeur et l’intelligence soient développés ensemble. Le Bouddha était aussi bien le Tout-Compatissant que le Tout-Eveillé.

10) Le Bouddhisme attache une grande importance à la nécessité de la concentration intérieure et à la méditation qui, à la longue, conduisent au développement des facultés spirituelles. La vie subjective est aussi importante que l’accomplissement des tâches quotidiennes et des périodes de tranquillité sont indispensables pour l’activité intérieure et le bon équilibre de la vie. Le Bouddhiste doit être toujours attentif et calme, évitant l’attachement intellectuel et sentimental à la parade de l’illusion. Cette attitude, toujours renforcée de défense contre les événements qu’il sait avoir créés lui-même, l’aide à garder le contrôle de ses réactions.

11) Le Bouddha disait : "Travaillez avec diligence à votre propre salut." Le Bouddhisme ne connaît d’autre autorité pour la vérité que l’intuition individuelle et cette autorité n’existe que pour l’individu lui-même. Chaque homme subit les conséquences de ses propres actions et évolue par elles tandis qu’il aide son prochain à atteindre la même délivrance. La prière à Bouddha, ni à aucun Dieu, ne peut empêcher un effet de suivre sa cause. Les moines bouddhistes sont des maîtres et des modèles, mais en aucun sens des intermédiaires entre l’individu et la réalité. La plus complète tolérance est pratiquée envers toutes les religions et philosophies, car nul homme n’a le droit d’intervenir dans la marche de son prochain vers le but.

12) Le bouddhiste n’est nullement pessimiste et ne cherche pas à s’évader de la réalité. Il ne nie pas l’existence de "Dieu", ni de l’âme, quoiqu’il applique à ces termes sa propre interprétation. C’est au contraire une logique, une religion, une science spirituelle, un mode de vie raisonnable, pratique et qui embrasse tout. Depuis deux mille cinq cents ans, il a satisfait les besoins de près d’un tiers de l’humanité. Il attire l’occident parce qu’il n’a pas de dogmes et qu’il satisfait le coeur comme la raison ; qu’il insiste sur la confiance en soi, allié à la tolérance envers d’autres opinions ; qu’il embrasse la science, la religion, la philosophie, la psychologie, la morale et l’art, et considère l’homme comme seul créateur de sa vie présente et seul ordonnateur de sa destinée.

De bien étrange disparitions en FRANCE

4 jeunes hommes ont disparu en ce début du mois de Décembre dans des circonstances similaires. Après m’être un peu penché sur ces affaires je dois dire que la répétition du scénario et l’absence totale d’indices sur les circonstances possibles de la disparition de ces jeunes, apparament sans histoire, est assez troublante. J’avoue que j’ai du mal à comprendre. Simple accident ? crime crapuleux ? enlèvement ? fugue ? Le soucis c’est que dans ces 4 cas, il n’y a aucun liens entre eux, aucun signe de vie, aucun indice tangible, et pour l’instant aucun corps retrouvé… A part ça, les médias ne semblent pas trop interessés par cette affaire…



Deux jeunes disparaissent dans des conditions similaires sans se connaitre
Tout d’abord il y a ces deux jeunes disparus à 24 heures d’intervalle après une sortie en boite à Nantes…

Que sont devenus Rémy Calmejane et Grégoire Rigault ? Le mystère reste entier depuis la disparition, à 24 heures d’intervalle de deux étudiants nantais à la sortie de la même boite de nuit.

Rémy Calmejane, 19 ans, étudiant en STAPS, n’a plus donné signe de vie depuis le 3 décembre vers 4 heures du matin. Il a été vu pour la dernière fois par des amis à la sortie de la discothèque le Calysto à quelques pas de la Loire.

De son côté, Grégoire Rigault, 24 ans, étudiant à l’Institut national des techniques économiques et comptables a été vu pour la dernière fois 24 heures après Rémy Calmejane exactement.

Les appels à témoins et les recherches, effectuées avec des chiens et des plongeurs, n’ont rien donné. Le père de Rémy, Pierre Calmejane, qui semblait en début de semaine privilégier, « soit un accident, soit une mauvaise rencontre », a écarté jeudi soir la piste de l’accident. « Mon fils est un étudiant bon vivant, qui n’a pas de problème de fugue ou de tendance suicidaire, a-t-il expliqué. Il avait bu, c’est clair, mais, selon ses copains, il ne titubait pas, il pouvait marcher, il a une constitution sèche de sportif : s’il est tombé dans l’eau, il n’est pas tombé tout seul ».

Alors que certains avaient émis l’hypothèse que les deux jeunes étudiants étaient amis, Pierre Calmejane s’est dit « sûr et certain » que son fils ne connaissait pas Grégoire Rigault.

La mère de ce dernier, de son côté est certaine qu’il ne s’agit « ni d’un suicide, ni d’une fugue. On était bien avec lui, et proches, il venait de rénover entièrement son appartement que nous l’avions aidé à acheter, il voulait réussir dans la vie, a-t-elle déclaré, très éprouvée.
Les recherches pour retrouverles étudiants n’ont rien donné et aucune piste n’était encore privilégiée par les enquêteurs hier. «Il n’y a pas d’élément permettant d’exclure ou de privilégier» la piste criminelle ou accidentelle, a déclaré le procureur de la République Nantes, Xavier Ronsin. «Il n’a pas été établi procéduralement que les deux disparus se connaissaient», a-t-il ajouté

Un étrange message sur Internet
Les forces de l’ordre se sont notamment intéressées à des messages postés sur le fil info du site internet SFR. Dans les commentaires d’un article consacré à la disparition des étudiants nantais, un internaute surnommé « Montargis » aurait mis en ligne entre le 9 décembre à 23 h 17 et le 10 décembre à 0 h 10 trois commentaires : « 3jeune », « tony enlever », « demain ». Lundi, ces messages étaient effacés, seuls subsistant les réactions d’internautes intrigués : « Montargis tu fais des blagues douteuses. Si tu sais quelque chose dis le clairement ! ».

Dans le doubs et à Calais, deux autres disparition non élucidées
Les enquêteurs sur la trace d’un étudiant disparu depuis dix jours dans le Doubs privilégient la thèse de la noyade, « même si la piste d’un lien avec la disparition des deux étudiants à Nantes n’est pas exclue », indique un proche de l’enquête.

Anthony Carteron, 21 ans, qui s’était rendu à une soirée en discothèque dans la nuit du 9 au 10 décembre, n’a plus donné signe de vie depuis.

D’autres rumeurs tendent à rapprocher ces affaires aux disparitions d’un jeune de 26 ans de Calais, Jérôme Cano, dans la nuit du 10 au 11 décembre, à la sortie d’une soirée en boîte de nuit, et celle de François Thillmann, un étudiant luxembourgeois de 28 ans, qui a été vu pour la dernière fois le 11 décembre à Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), alors qu’il venait de quitter une soirée, à 3 heures du matin.

Le parquet de Nantes se refuse cependant à faire un lien entre les différentes affaires…

si on compte bien ça fait bien 4 jeunes dont on est actuellement sans nouvelle et non 2 comme le mentionne l’article de la Dépêche et d’autres articles de presse. En quelques jours dans les mêmes circonstances, ça fait un peu beaucoup non ? Surtout quand un internaute envoie un message 24 h avant pour avertir de la disparition d’Anthony sur Internet et que ce message est effacé (bien que le n°IP de la personne ayant posté ce commentaire aurait peut être pu servir aux recherches ?)

Si on récapitule :
-Rémy Calmejane : dans la nuit du 3 au 4 décembre vers 4 heures du matin à la sortie de la discothèque le Calysto à Nantes
-Grégoire Rigault : dans la nuit du 4 au 5 vers 4 heures du matin : à la sortie de la discothèque le Calysto à Nantes
-Anthony Carteron, 21 ans : dans la nuit du 9 au 10 décembre dans le Doubs
-Jérôme Cano : dans la nuit du 11 décembre à Ivry sur Seine

Mise à jour

* Metropole Lilloise

Nouvelle disparition inquiétante à Lille

lundi 21.02.2011, 18:45 - La Voix du Nord
Nouvelle disparition inquiétante à Lille. PHOTO PHILIPPE PAUCHET Nouvelle disparition inquiétante à Lille. PHOTO PHILIPPE PAUCHET

Un étudiant âgé de 22 ans, habitant dans le Vieux-Lille, a mystérieusement disparu dimanche matin. Selon les premiers éléments, Jean-Mériadec Le Tarnec, étudiant en troisième année de droit à La Catho, à Lille, revenait d'une soirée chez des amis et rentrait chez lui. [Mis à jour à 18 h 45]

Le jeune homme a été vu pour la dernière fois vers 6 h 30, dimanche matin, au niveau du square Daubenton, près du monument aux morts sur la façade de l'Esplanade, quartier Vauban. Il se dirigeait vers son logement rue Doudin, dans le Vieux-Lille.


Jean-Mériadec Le Tarnec mesure 1,70 m et est de corpulence mince. Il porte les cheveux courts et bouclés et ses yeux sont verts. Au moment de sa disparition, il portait un jean bleu, un pull léger bleu, une veste en velours brun et des mocassins bruns. Élément distinctif : son parapluie vert et blanc avec un manche en bois.

Toute personne étant susceptible de fournir des renseignements concernant cette personne est priée de prendre contact avec la Sureté départementale du Nord, au 03 62 59 80 84.

L'alerte a été donnée par sa famille, inquiète de ne pas avoir de nouvelles dans la journée. Son téléphone ne fonctionne plus.

Les policiers ont aussitôt mis en place d'importants moyens de recherches, avec les Sûretés urbaine et départementale. Des brigades canines sont intervenues. Cette disparition arrive quinze jours après celle de Thomas Ducroo, 26 ans, dans le Vieux-Lille (et toujours pas retrouvé depuis).

Mise à jour

 Sixième disparition en moins d'un an
Une nouvelle disparition inquiétante à Bordeaux, en Gironde. Un homme de 29 ans s'est volatilisé dans la nuit du jeudi 21 au vendredi 22 juin, en pleine Fête de la musique. Vers 2h du matin, plusieurs personnes l'auraient aperçu en train de se débattre dans la Garonne. Un peu plus tard, un autre témoin assure avoir vu un corps dériver dans le fleuve. Un sac à dos appartenant au jeune homme, et contenant des papiers d'identité, a été repéché. La police bordelaise a lancé un appel à témoins. L'homme aperçu par des témoins avait les cheveux longs, était barbu et portait un blouson noir. Il s'agirait d'un Marseillais sans domicile fixe. Les autorités étudient actuellement plusieurs hypothèses, mais penchent pour une chute accidentelle provoquée par une forte alcoolisation. Vendredi 22 juin, en fin de matinée, un hélicoptère de la gendarmerie survolait le fleuve.
En moins d'un an, cinq personnes sont mortes, noyées dans la Garonne.

Mise à jour


Julien Teyssier, Vincent Zecca, Maxime Le Bot... Au total, en moins d'un an, six jeunes hommes ont disparu dans les mêmes conditions: une soirée alcoolisée au bord de la Garonne. 

Le scénario est toujours le même: une soirée alcoolisée au bord de la Garonne et un homme qui manque à l'appel. Depuis près d'un an, six jeunes hommes auraient disparu à Bordeaux selon ce schéma. Alcoolisation à outrance? "Serial pousseur"? Trafic d'organes? Les rumeurs se multiplient. La police, qui privilégie la première hypothèse, refuse d'établir un lien entre les différentes affaires. Passage en revue de ces disparitions.  
Un homme de 29 ans - juin 2012
La plus récente remonte à la nuit de jeudi à vendredi, marquée par la Fête de la musique. Un homme âgé d'une trentaine, cheveux longs et veste noire, aurait été aperçu vers 2h du matin par des badauds en train de se débattre dans la Garonne. Le fleuve a été passé au crible, en vain. Selon la brigade criminelle de la sûreté départementale chargée de l'enquête, il s'agirait d'un Marseillais, sans domicile fixe de 29 ans. Un appel à témoins a été lancé. Mais la police réclame la plus grande prudence et cherche à vérifier si quelqu'un manque vraiment à l'appel.  
Julien Teyssier - mai 2012
Le corps de Julien Teyssier, un jeune homme de 25 ans disparu le 28 avril à Bordeaux, a été repêché dans le fleuve le 9 mai. Selon des témoignages, le soir de sa disparition il fêtait dans différents bars du centre-ville une proposition d'embauche avec des amis. Dans ce dossier, la police privilégie la piste d'une noyade due à l'ivresse.  
Vincent Zecca - mars 2012
Originaire de Corrèze, Vincent Zecca, 19 ans, avait disparu dans la nuit du 3 au 4 mars après une soirée fortement alcoolisée avant que son corps ne soit repêché dans la Garonne, trois semaines plus tard. La police privilégie la piste accidentelle mais la famille du jeune homme a déposé plainte pour "homicide". Son avocat évoque des "éléments troublants" dans la disparition de l'étudiant.  
Maxime Le Bot - février 2012
Le 4 février, un autre jeune homme, Maxime Le Bot, 24 ans, avait disparu lui aussi après une soirée arrosée à Bordeaux. Le corps de cet étudiant en cinquième année à l'Inseec, école supérieure de commerce et de gestion de Bordeaux, a été repêché en avril dans la Garonne.  
Valentin Bernaben - décembre 2011
En décembre 2011, Valentin Bernabeu, élève à l'École nationale supérieure d'architecture et de paysage de Bordeaux, s'était vu refuser l'entrée d'une boîte de nuit en raison de son taux d'alcoolémie. Deux jours plus tard, son corps était repêché dans le fleuve, rapporte Sud Ouest.  
Thianibié Hie - juillet 2011
En juillet 2011, c'est un autre étudiant, en musique, Thianibié Hie, qui avait, ivre, enjambé une barrière avant de chuter dans le fleuve. Son corps avait été retrouvé le 30 juillet.