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mercredi 7 décembre 2011

PROJET S.E.A.L




Voilà un projet qui fut longtemps classé "Top Secret" et est resté totalement inconnu du grand public.
De quoi s'agit il?
A la fin de la 2nde Guerre Mondiale, un professeur de l'Université d'Auckland détaché auprès de l'armée a déclenché des explosions sous marines dans le but de provoquer des Tsunamis artificiels. Les essaies eurent lieu en Nouvelle Zélande.

A l'époque, les travaux du professeur LEECH semblaient si importants, que l'état major U.S envisageait la création d'une arme qui permettrait de stopper la guerre, parallèlement au programme nucléaire.
Les détails de ces recherches sont contenus dans des documents connu sous le nom de projet SEAL, publiés par le ministère des affaires étrangères Néo Zélandais. On y apprends que même après guerre, les militaires U.S voulaient envoyé le professeur LEECH dans l'atoll de Bikini (site de test nucléaire américain), pour continuer ses travaux sur la bombe à Tsunami.

Le principe était sommes toute assez simple, il consistait à un ensemble d'explosif sous l'eau afin que les ondes provoquées par l'explosion provoque un raz de marée. On procéda à des tests à petite échelle dans des bassins artificiels et des tests grandeur nature à proximité d'Auckland.

 http://sos-crise.over-blog.com/ext/http://www.wanttoknow.info/documents/project_seal.pdf

 Les travaux de LEECH furent poursuivis durant la guerre froide et ce dernier fut élever au rang de Chevalier de l'Empire Britanique  par George VI. Par la suite, les services secrets US s'employèrent  à faire croire que ces recherches n'avaient jamais existé  et que tout ceci n'était qu'un leurre pour mettre la pression sur le bloc communiste. Cependant l'authenticité de ce projet a été établie lorsqu'en 1999 une partie de la fameuse documentation a été déclassifiée. Officiellement, les études se poursuivent aujourd'hui encore à l'Université de Waikato.
Officiellement, à la fin de la guerre du Vietnam, les USA et l'URSS ont renoncé aux armes militaires environnementales.

Cependant, à partir de 1975, il est prouvé que l'ex URSS a entrepris des recherches sur le principe de la MHD, afin d'étudier la croûte terrestre et de prévoir les séismes. Les soviétiques étudièrent alors la possibilité de provoquer de petits séismes, pour décharger les tensions de la croûte terrestre afin d'éviter des séismes majeurs. Très vite, ces recherches furent militarisées et elles aboutir à la construction de PAMIR, la fameuse machine à tremblements de terre. Cette machine tire son nom de la chaîne de hautes montagnes du Tadjikistan où fut tester la machine secrète.

A la chute de l'URSS, les responsables de ce programme, motivés par l'appât du gain décidèrent de s'exiler aux USA, mais bien que le Pentagone fit main basse sur leurs travaux, ils ne les payèrent jamais. Ce n'est qu'en 1995, que les USA recrutèrent d'autres scientifiques russes pour reprendre le projet. Ces derniers construisirent une machine bien plus puissante appelée PAMIR 3 qui fut testée avec succès. Cette technologie et les scientifiques furent déplacés sur l'un des sites HAARP, afin  de fusionner les 2 technologies.

Pour en revenir au projet SEAL, officiellement, le projet n'aboutit jamais, bien qu'il fut reconnu que le concept d'"inondations offensives" soit réalisable. Les expérience de LEECH ont permis de découvrir que l'on doit utilisé des explosif en surface plutôt qu'au fond de la zone. En effet la bulle crée par la déflagration transmet mieux son énergie à la masse d'eau lorsqu'elle intervient à proximité de la surface.
LEECH s'est également aperçu que dans son concept de base, une bombe unique ne suffit pas à provoquer un raz de marée. Il faut répartir plusieurs charges afin de fabriquer un train d'onde destructeur.
Néanmoins, un raz de marée provoqué par des bombes ne pourrait pas pénétrer loin à l'intérieur des terres car la longueur d'onde issu des explosions est nettement trop courte.

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