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vendredi 29 mars 2013

ENORME ANOMALIE IONOSPHERIQUE AU DESSUS DE L'INDE

Voici une info qui me parait importante que j'ai trouvé sur le site de mon ami MERLIN

La source originale est un article italien  : http://www.segnidalcielo.it/2013/03/28/allarme-in-tutto-il-mondo-per-una-enorme-anomalia-ionosferica-sullindia/


L'enregistrement d'une anomalie énorme ionosphère et de la gravité, met en alarme des scientifiques du monde entier. Les données scientifiques fournies par les satellites, l'anomalie énorme ionosphérique est centrée sur l'Inde. Il n'a jamais rien vu de tel dans le passé.



Il ya une zone de faible gravité sur l'Océan Indien et de l'Inde du Sud qui signifie qu'il ya une sorte de trou ou le lieu d'un «blanc» autour de l'Inde du sud-ouest. mais personne ne peut donner une explication de cette énorme «trou» ionosphérique.





Il ya aussi un changement et des anomalies gravitationnelles sur notre pienata et peut avoir des effets mondiaux car il ya souvent une corrélation avec la pression de l'ionosphère et de tremblements de terre. Anomalies de gravité de la Terre et le basculement des pôles peut avoir une nouvelle vague de tremblements de terre de 6,0 degrés + R. Enregistrements des tremblements de terre tels que le 24 Mars 2013, en Russie 6,1 6,0 Îles Fidji - 25 mars au Guatemala 6.2 et 6.0 dans Taiwan le 27 Mars, peut-être en corrélation avec cette anomalie énorme.








HAARP le 27/03/2013

HAARP le 28/03/2013

lundi 11 mars 2013

L'HOMME QUI NE DESCENDS PAS D'ADAM


Il s'appelait Albert Perry. Décédé il y a quelques années, c'était un Afro-Américain vivant en Caroline du Sud, lointain descendant d'esclaves que la traite négrière avait amenés d'Afrique de l'ouest dans le Nouveau Monde. On n'en saura guère plus sur lui, si ce n'est, comme le rapporte le New Scientistqu'un jour, une de ses parentes envoya un échantillon contenant son ADN à une entreprise proposant d'en extraire des informations sur ses origines. Ces tests de généalogie génétique sont réalisés à partir d'ADN mitochondrial, qui est transmis par la mère à ses enfants et retrace la lignée maternelle (la mère, la grand-mère maternelle, la mère de celle-ci, etc.), ou bien – et seulement pour les mâles – à partir du chromosome Y. Celui-ci donnera des informations sur la lignée paternelle (le père, le grand-père paternel, son père, etc.).
Lorsque l'échantillon d'Albert Perry atterrit dans le laboratoire chargé d'effectuer cette analyse, un problème inédit apparut : la séquence génétique portée par son chromosome Y ne ressemblait à rien de connu. Pour le dire autrement, on peut faire remonter tous les chromosomes Y des hommes de la Terre au plus récent ancêtre masculin commun, un homme qui vivait en Afrique il y a environ 140 000 ans. Ce dernier est surnommé l'« Adam génétique » en référence au premier homme de l'Ancien Testament (il y a aussi une Eve mitochondriale). Mais le chromosome Y d'Albert Perry ne descendait pas de cet Adam-là.
Cette surprenante exception a poussé une équipe internationale à approfondir les recherches sur ce chromosome Y si particulier et les résultats de ce travail viennent d'être publiés dans l'American Journal of Human Genetics (AJHG). Puisque, de toute évidence, l'Adam génétique d'il y a 140 000 ans n'était plus le bon, tout l'arbre phylogénétique du chromosome Y humain, qui retrace sa généalogie dans le monde entier, était à reconstruire. En comparant entre elles les variations génétiques de différents groupes ethniques, en les comparant aussi avec celles de notre proche cousin le chimpanzé et en estimant la vitesse à laquelle ces mutations apparaissent, ces chercheurs ont pu remonter dans le temps et greffer l'arbre généalogique précédemment en vigueur sur un tronc plus ancien d'où partait la branche qui a porté le chromosome Y d'Albert Perry.
Et l'arbre a pris un bon coup de vieux. Selon leurs calculs, le nouvel Adam génétique, l'ancêtre dont sont issus le chromosome Y de tous les hommes actuels et le chromosome Y d'Albert Perry, vivait toujours en Afrique, mais il y a près de 340 000 ans. Comme l'a déclaré au New Scientist Jon Wilkins, du Ronin Institute dans le New Jersey, qui n'a pas pris part à cette étude, depuis que l'on fait de la génétique on a « regardé les chromosomes Y. Déplacer à ce point la racine de l'arbre du chromosome Y est extrêmement surprenant. »
Mais en plus de constituer une surprise, ce bouleversement pose un gros problème de date, tout simplement parce que, il y a 340 000 ans, l'homme moderne n'était pas encore né ! D'après les données fossiles, son apparition date d'il y a environ 200 000 ans. Comment Albert Perry, qui était sans nul doute un Homo sapiens, a-t-il pu se retrouver porteur d'un chromosome Y datant d'un Homo "archaïque" alors que tous ses congénères disposaient d'une version plus récente ? Casse-tête ? Pas vraiment si l'on considère que le scénario de l'évolution de l'homme est non pas linéaire mais semblable à un buisson dont les branches se séparent... puis se recroisent. Une hypothèse probable est que, il y a plusieurs milliers d'années, le groupe ethnique d'Homo sapiens dont Albert Perry est descendu s'est mélangé avec un groupe d'humains "archaïques". Ces derniers ont aujourd'hui disparu mais ils ont, lors de cet échange de gamètes, réinjecté dans la population d'hommes modernes un chromosome Y qui n'y était plus présent sous cette forme. Un chromosome qui s'est ensuite transmis de père en fils pendant des générations et des générations, jusqu'à Albert Perry... et à quelques autres.
En explorant des bases de données génétiques, les auteurs de l'étude ont fini par mettre la main sur les Mbo, un peuple africain vivant dans le sud-ouest du Cameroun, dans la région du Littoral. Dans cette base de données se trouvaient 11 hommes Mbo (sur 174 enregistrés) dont le chromosome Y présentait des caractéristiques analogues à celles du chromosome Y d'Albert Perry – lequel était probablement leur lointain cousin. Les chercheurs notent que les Mbo vivent à moins de 800 kilomètres du site préhistorique nigérian d'Iwo Eleru, où des paléoanthropologues ont établi qu'Homo sapiens a cohabité et s'est reproduit avec les descendants d'une lignée plus ancienne. Pour ces généticiens, une découverte comme celle du chromosome Y d'Albert Perry souligne à quel point les bases de données sont lacunaires : « Il est probable, écrivent-ils, qu'une bien meilleure compréhension de la phylogénie du chromosome Y, et des variations génétiques en général, serait obtenue si des relevés plus denses et plus réguliers étaient effectués dans toute l'Afrique subsaharienne, étant donné son haut niveau de diversité génétique. »
Pierre Barthélémy 

Source : Le Monde

dimanche 16 décembre 2012

L'ARMEE SE PREPARE T ELLE A FAIRE FACE AU PEUPLE?

Alors que la Suisse a exprimé récemment ses craintes vis à vis d'une crise Européenne qui pourrait être suffisamment grave pour amener de nombreux pays de la zone Euro à prendre d'assaut ses frontières (lien - lien), l'Allemagne, et maintenant la France planifient des entrainements militaires à grande échelle dans le but non avoué de « mater la résistance ».

Il est à mes yeux évident qu'ils se préparent à des manifestations massives à venir des citoyens en vue des prochains plans de restriction qui ont jusqu'ici étés réservés à la grêce, l'espagne, le Portugal et l'Italie dans un quasi-silence médiatique ! Nous sommes les prochains sur la liste, ca ne fait maintenant plus aucun doute...

Alors qu'un article de Mécanopolis révélait, il y a quelques jours, que l'Allemagne s'apprêtait à construire le plus important centre d'exercice européen pour l'entraînement à la lutte contre les émeutes (lien), la France vient d'inaugurer une « ville fantôme équivalent d'une cité de 5000 habitants » afin de faire face aux « nouvelles formes de combat ».

Le programme « Scorpion »

L'armée de terre a présenté le 29 novembre dernier, à Sissonne, les nouvelles techniques de combat dans les villes. Un programme baptisé « Scorpion » qui doit être lancé prochainement et qui devrait coûter 400 millions d'euros chaque année pendant dix ans.

L'exercice, recourant à une vingtaine de véhicules, plusieurs hélicoptères et un peu moins de deux cents combattants s'est déroulé dans le nouveau centre d'entraînement aux actions en zone urbaine (Cenzub) en présence du chef d'état-major, Bertrand Ract-Madoux, d'un aréopage de généraux et d'une quarantaine de journalistes.

Interrogé par le quotidien L'Ardennais (lien), un colonel présente ce qu'il appelle des « constatations sociologiques » : en 1950, les villes abritaient 22 % de l'humanité pour 75 % aujourd'hui. Pas de doute, selon les stratèges, c'est bien dans les cités que les conflits de demain vont se dérouler.

Le gouvernement français, par la voix de Manuel Valls, peut bien prétendre qu'il s'oppose à l'idée de mobiliser l'armée dans les quartiers et les cités, le programme Scorpion démontre manifestement que l'armée s'y prépare.
L'Allemagne se prépare-t-elle à combattre ses citoyens ?

L'Allemagne se prépare manifestement à combattre ses citoyens. Dans le plus grand secret se construit sur une surface de 232 km2, qui était déjà l'un des plus grand terrain d'exercice militaire d'Allemagne, Altmark, en Saxe-Anhalt, le plus important Centre d'exercice européen pour l'entraînement à la lutte contre les émeutes (CRC).

Au centre de l'intérêt se trouve l'entraînement à la répression de soulèvements populaires. Pour atteindre la plus grande réalité possible, on y construit une ville fantôme de plus de 500 bâtiments, couvrant une superficie de 6 km2 pour un budget de plus de 100 millions d'euros. Ce projet comprendrait des installations industrielles, une connexion à une autoroute fictive et un aéroport avec 1700 mètres de piste d'herbe. La Bundeswehr, armée allemande, qui est le maître d'ouvrage, s'apprête à commencer cette année encore la construction de cette ville fantôme.

Par Julian Diesdorf - Mecanopolis

A QUOI SERVENT LES TAXES VERTES,

Alors que le prix du gaz augmente en France, celui de l'électricité va bientôt exploser au Royaume-Uni, suite à une taxe prétendument « verte ». Cette taxe servira notamment à financer les réacteurs EPR qu'ambitionnent de construire EDF et Areva. EDF devrait aussi largement bénéficier de la nouvelle loi sur l'énergie, qui vise à dédommager les opérateurs en cas de manque de rentabilité...

Le gouvernement conservateur de David Cameron prépare une augmentation drastique de la taxe sur les factures électriques, censée financer les énergies faiblement émettrices de CO2. L'objectif est de collecter 9,4 milliards d'euros (7,6 milliards de livres) d'ici 2020. Des analystes financiers estiment qu'il en résultera une hausse de près d'un tiers des factures d'électricité (Lire ici en Anglais), qui sont déjà supérieures de 10 à 15% en moyenne aux factures françaises. Et ce, dans un contexte d'austérité budgétaire particulièrement brutale au Royaume-Uni.

À qui bénéficiera cette taxe « verte » ? Avant tout aux constructeurs de centrales nucléaires, qui pourront s'en accaparer la plus grande part. EDF est la première concernée, puisqu'elle prévoit de construire, avec Areva et Bouygues, quatre nouveaux réacteurs EPR au Royaume-Uni. Le programme de « renaissance nucléaire » initié en leur temps par les travaillistes de Tony Blair prévoyait pas moins de douze nouveaux réacteurs. Le projet d'EDF à Hinkley Point dans le Somerset (deux réacteurs) est le seul qui ait dépassé le stade conceptuel [1]. Son coût est actuellement estimé à 17,3 milliards d'euros. Le projet vient d'obtenir sa première licence administrative, mais sa réalisation est encore loin d'être assurée.
EDF fait-elle la loi à Londres ?

La nouvelle loi sur l'énergie, dévoilée jeudi 29 novembre - et déjà applaudie par EDF selon le Financial Times - instituera également un seuil de prix de l'électricité en deçà duquel le gouvernement britannique dédommagera les entreprises pour assurer la rentabilité de leurs investissements. Le niveau de ce seuil doit être fixé ultérieurement. Certaines sources évoquent jusqu'à 204,5 euros (165 livres) par MWh, soit plus de trois fois le prix actuel de l'électricité - vendue en gros - au Royaume-Uni. Le genre de rumeur qui permettra à EDF d'afficher sa modération tout en obtenant un prix garanti largement supérieure au prix actuel...

L'entreprise publique française est un acteur de poids sur le marché de l'énergie britannique : en plus d'être l'un des six principaux distributeurs du pays - qui vient d'ailleurs d'augmenter ses tarifs de 11% d'un coup, alors même que la filiale britannique réalisait 1,6 milliard de livres de profit -, elle contrôle le parc actuel, et vieillissant, de centrales nucléaires, ainsi que plusieurs centrales au charbon. Elle construit par ailleurs - toujours avec l'aide financière du gouvernement britannique - des parcs éoliens et des centrales au gaz, dont l'une vient d'être occupée pendant une semaine par des militants de la justice climatique.
Lobbying et restaurants chics

Depuis des mois, le groupe français fait monter la pression pour obtenir du gouvernement britannique le maximum de concessions. Ce dernier, confronté à l'héritage de la libéralisation totale du marché de l'énergie dans les années 1980, fait face à des décisions difficiles pour assurer l'avenir de l'approvisionnement énergétique du pays. Le gouvernement est tiraillé entre les partisans de l'énergie éolienne, ceux du nucléaire, et ceux du gaz, emmenés par le chancelier George Osborne, lequel vient d'annoncer une série de mesures pour favoriser l'exploitation des gaz de schiste.

Malgré les déboires accumulés par les chantiers de l'EPR en Finlande et en France, la perspective de nouveaux réacteurs financés à leur corps défendant par les contribuables et consommateurs britanniques reste bel et bien à l'ordre du jour. Le gouvernement a même lancé un plan d'action pour renforcer la chaîne d'approvisionnement du nucléaire (source) en Grande-Bretagne. Un document révélé par le quotidien The Guardian donne une petite idée de la nature du travail de « persuasion » effectué par EDF et les intérêts nucléaires.

Il révèle que les hauts fonctionnaires de l'Office pour le développement du nucléaire ont été régulièrement invités depuis trois ans dans des restaurants londoniens très selects par divers groupes et lobbies de l'industrie nucléaire, mais également par des entreprises directement intéressées, dont les françaises EDF, Areva et Alstom. Ce n'est pas en France qu'on verrait de telles pratiques...

Par Olivier Petitjean